QNAP TS-216G : un nouveau NAS 2 baies avec un port 2,5 GbE

Stéphane Moussie |

QNAP étoffe sa gamme de NAS avec un modèle de milieu de gamme destiné aux particuliers et aux petites entreprises. Doté de deux baies pour disques durs 3,5" ou SSD SATA 2,5", le TS-216G peut gérer jusqu’à 39 To de stockage.

QNAP TS-216G. Image QNAP.

Il est équipé d’un CPU quad-core ARM Cortex A55 à 2,0 GHz, d’un GPU Mali-G52 et de 4 Go de RAM non extensibles. Un NPU est de la partie pour traiter efficacement les tâches liées à l’IA, comme la reconnaissance d’images du gestionnaire de photos QuMagie. Le fabricant taïwanais propose plus globalement de nombreuses applications et un système d’exploitation très complet.

Niveau connectique, le NAS a notamment un port Ethernet 2,5 GbE, ce que Synology ne propose toujours pas dans cette gamme de prix. Le TS-216G a aussi un port Ethernet 1 Gb, un port USB 3.2 Gen 1 et un port USB 2.0 (tous à l’ancien format USB Type-A).

Le TS-216G fait 165 × 102 × 220,6 mm pour 1,45 kg. Son encoche Kensington permet de le sécuriser avec un câble adapté. Image QNAP.

Ce nouveau NAS est vendu 299 €. Chez QNAP, il est situé entre le TS-233 autour de 205 € (sans port 2,5GbE et avec deux fois moins de RAM, notamment) et le TS-262-4G à 500 € environ (avec un processeur Intel plus puissant et des emplacements M.2 en plus). 

myQNAPcloud Storage : une solution intégrée pour sauvegarder son NAS QNAP en ligne

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Apple teste l'apprentissage automatique en Apple Store pour vendre des Mac

Florian Innocente |

Des employés d'Apple Store à travers le monde doivent évaluer un nouvel outil baptisé "Recommandations de Mac" pour accompagner les vendeurs dans leurs conseils.

On parle beaucoup d'intelligence artificielle pour de nouvelles fonctions espérées dans les prochains systèmes et apps d'Apple, mais celle-ci s'active aussi en ce sens au sein de ses Apple Store.

Image Apple, mai 2024.

Selon nos informations, depuis quelques jours des Apple Store partout dans le monde doivent tester, évaluer et donner leur avis sur un prochain outil baptisé "Recommandations de Mac". Le nom dit bien ce qu'il veut dire, il s'agit de donner au vendeur des éléments pour l'aider à sélectionner le modèle et la configuration de Mac la mieux adaptée au profil de son client. Dans l'explication d'Apple cela donne : « Recommandations de Mac est un outil qui s'appuie sur l'apprentissage automatique pour personnaliser l'expérience d'achat ».

Logitech (re)lance des claviers et souris pour Mac

Florian Innocente |

Logitech complète sa liste d'accessoires Logi « pour Mac » avec cinq claviers et souris expressément désignés comme conçus pour les machines d'Apple. Dans les faits cela peut se traduire par des distributions de touches différentes des modèles standard (pour Mac et PC) ou un alignement sur des offres déjà existantes, mais qui n'avaient pas cette estampille. Et il n'y a pas de "taxe" supplémentaire sur le fait qu'ils sont pour Mac.

Le clavier étendu MX Keys S (agréable à la frappe, costaud et assez imposant) est décliné en coloris blanc cassé. Fonctionnant sur batterie, il utilise la distribution des touches de l'environnement Mac. Comme son devancier, le MX Keys déjà vendu pour Mac, il propose un rétroéclairage "intelligent" qui s'active à l'approche des mains. Il est vendu 119 € et reste disponible en graphite.

Pour le MX Keys S Combo, Logitech a réuni dans un lot son clavier étendu, sa grosse souris MX Master 3S pour Mac et son repose-poignets MX Palm. Il est disponible en graphite pour 219 €

Le MX Keys Mini est le petit frère du grand clavier, sans pavé numérique, mais toujours doté du rétroéclairage "intelligent". Il est vendu en graphite à 119 € (lire aussi Test du clavier Logitech MX Keys Mini pour Mac).

Déjà vu car déjà testé dans un coloris différent, l'Ergo Wave Keys arrive en blanc cassé à 80 €. C'est un clavier complet, avec pavé numérique et repose poignet intégré. L'effet de vague sur les touches au centre et leur légère disposition en V lui confèrent un accent plus ergonomique pour le confort des poignets.

Enfin, pour qui veut une souris compacte dont on se servira en complément à son trackpad, il y la MX Anywhere 3S. Elle existe déjà sans ce suffixe "S". La différence est une plus grande sensibilité du capteur optique pour l'analyse des surfaces (8 000 ppp maximum contre 4 000 ppp).

Détail intéressant, elle a la molette de défilement électromagnétique silencieux que l'on aimerait voir reprise sur nos MX Vertical (où les longs défilements sont laborieux et bruyants). Elle est vendue en blanc cassé et graphite pour 100 €.

Test du Signature Slim Combo de Logitech : un duo clavier/souris simple et efficace

Test du Signature Slim Combo de Logitech : un duo clavier/souris simple et efficace

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Arm annonce sa gamme de CPU 2024, pour les puces de 2025 : Cortex X925 et A725

Pierre Dandumont |

Comme chaque année, Arm a annoncé sa nouvelle gamme de CPU, qui va être mise en place dans les systèmes sur puce de l'année suivante. Cette année, la société n'a renouvelé que son cœur rapide et son cœur « intermédiaire », mais le cœur basse consommation, lui, n'évolue qu'à la marge.

Commençons par le Cortex X925, qui était connu jusqu'à maintenant sous le nom Cortex X5. C'est le successeur du Cortex X4, et il y avait de nombreuses attentes sur cette variante (nom de code Blackhawk) depuis de nombreux mois.

De fortes attentes sur le CPU ARM Blackhawk, alias Cortex X5

De fortes attentes sur le CPU ARM Blackhawk, alias Cortex X5

Arm a énormément travaillé sur le Cortex X925 et annonce de gros gains de performances. Premièrement, la bande passante de la mémoire (historiquement une des limites des puces ARM) évolue. La bande passante du cache de niveau 1 est doublée et le cache de niveau peut atteindre 3 Mo (une valeur plus élevée que sur les précédents cœurs). Ensuite, le nombre d'unités internes a été augmenté, et Arm annonce un IPC — le nombre d'instructions par cycle, en simplifiant l'efficacité du processeur — en hausse de 17 %. Comme la fréquence augmente aussi (avec 3,8 GHz au compteur), le Cortex X925 devrait être 25 % plus rapide que le Cortex X4, un gain très appréciable.

Un CPU plus rapide (image Arm)

Cortex A725, le cœur ennuyeux mais efficace

La gamme Cortex A7xx a longtemps été dans le haut du panier chez Arm, mais en 2024, elle est un peu « ennuyeuse », sans que ce soit péjoratif. Il s'agit d'un cœur qui n'offre ni les meilleures performances (c'est la place du X925), ni la consommation la plus faible (il y a le Cortex A520 pour ce cas de figure). Mais le Cortex A725 offre un bon compromis entre les deux extrêmes et c'est du coup le cœur le plus employé dans un smartphone moderne. Dans une implémentation standard, les fabricants intègrent d'ailleurs souvent quatre cœurs de cette gamme, et c'est ce qu'Arm propose.

Une des nouveautés est la possibilité d'intégrer 1 Mo de cache de niveau 2 au lieu de 512 ko, ce qui améliore les performances. Arm annonce qu'une version 3 nm du Cortex A725 avec 1 Mo de cache prend la même surface physique qu'un Cortex A720 avec 512 ko de cache dans les processus précédents. La société met surtout en avant des gains en consommation plus qu'en performances, contrairement au Cortex X925.

Un cœur basse consommation qui ne bouge pas

Historiquement, les cœurs basse consommation d'Arm sont aussi des cœurs lents (ce qui n'est pas réellement le cas chez Intel ou Apple, par exemple) et ils évoluent moins souvent que les autres. Pour 2025, Arm garde donc le Cortex A520, mais les implémentations montrées n'intègrent que deux cœurs Cortex A520, alors que les puces actuelles en ont parfois quatre. La seule nouveauté annoncée vient d'optimisations pour la gravure en 3 nm, qui devraient permettre de réduire la consommation. C'est typiquement ce que l'on appelle un die shrink : une réduction d'une puce dans le seul but de réduire la consommation et la taille de la puce.

Un cœur basse consommation qui ne bouge pas (image Arm)

Un GPU plus rapide, pas de NPU et de nombreuses optimisations

Dans les autres points, il faut noter que les améliorations sur la mémoire cache ne se limitent pas aux cœurs : le cache de niveau 3, partagé entre les différents cœurs, peut atteindre 16 Mo. C'est encore une fois une des limites habituelles des systèmes sur puce, qui a été corrigée en partie par Apple depuis de nombreuses années. Le GPU, lui, porte le nom d'Immortalis G925. Il offre un gain de 36 % selon Arm, sans trop de détails sur les nouvelles fonctions mais avec deux cœurs de plus (quatorze, donc). Le GPU est moins mis en avant chez Arm pour une bonne raison : de nombreux fabricants de systèmes sur puce n'intègrent pas ses GPU mais leurs propres composants comme les Adreno chez Qualcomm ou les Radeon chez Samsung.

Arm propose comme souvent une implémentation de référence, que tous les constructeurs ne suivent pas (image Arm)

Enfin, Arm n'a pas totalement pris le train de l'IA. Plus exactement, la puissance de calcul du cœur Cortex X925 (dotés d'instructions qui permettent d'accélérer certains traitements) est mise en avant pour l'IA, mais Arm ne propose pas de NPU. Par contre, la société propose la plateforme CSS (Client Compute Subsystem) qui intègre le nécessaire pour que les fabricants puissent intégrer leur propre NPU.

Arm a peur de concurrence

Les nouveautés annuelles sont donc importantes au niveau des performances, et il y a une bonne raison : la concurrence. En plus d'Apple qui a musclé ses puces avec le M4, Qualcomm a maintenant un nouveau cœur performant qui va probablement se retrouver dans les prochains Snapdragon. Il fallait donc bien mettre en avant les performances — le nerf de la guerre — tout en optimisant la consommation sur les autres composants du système sur puce.

Dans les faits, deux questions se posent. Premièrement, qui va intégrer tous les composants d'Arm ? Dans les fabricants majeurs de systèmes sur puce, seul Mediatek risque de prendre toute la gamme (GPU compris). En effet, Samsung tend à intégrer des GPU de chez AMD depuis quelques années et Qualcomm semble recommencer à intégrer ses propres cœurs. La seconde question, plus importante pour certains, va venir des performances réelles : au-delà des annonces, il va être intéressant de voir si le Cortex X925 tient la route face à un Apple M4 et un Qualcomm Oryon. Et si Arm clame évidemment avoir le meilleur CPU actuel, quelques points semblent tout de même montrer qu'Apple et Qualcomm pourraient rester devant, comme la fréquence. Alors qu'Arm annonce 3,8 GHz, les deux autres dépassent allègrement les 4 GHz par exemple. Et si la comparaison entre les puces d'Apple et celles d'Arm pouvait paraître parfois un peu vaine les années précédentes étant donné que le choix se faisait plus entre iOS et Android qu'entre un CPU Apple et un CPU Arm, Qualcomm devrait revenir dans la danse. Vivement 2025, donc, même si les premiers systèmes sur puce seront probablement annoncés à la fin de l'année 2024.

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Promos et cadeaux pour l'inauguration de l'Apple Premium Partner de Toulouse Capitole

Florian Innocente |

La grande boutique du revendeur Apple C&C dans le centre de Toulouse organise deux jours d'inauguration ces 31 mai et 1er juin. Depuis le début 2022, iConcept est passé sous le pavillon italien de C&C comme d'autres Apple Premium Reseller français.

La boutique de Toulouse Capitole évolue avec le statut d'Apple Premium Partner qui a été déjà attribué à d'autres boutiques en France, comme Actimag au Havre ou Inter-Actif près d'Hénin-Beaumont. La décoration change pour se distinguer des APR sans ressembler pour autant à celle des Apple Store et la surface d'exposition est agrandie.

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L'italien C&C achète son troisième réseau d'APR en France

Pour ces deux journées, C&C Toulouse propose de gagner des cartes cadeaux, de participer à un tirage au sort pour gagner un iPhone 15. Les 100 premiers clients auront une surprise et tout le monde peut profiter de réductions sur le matériel Apple (5% sur les iPad et Apple Watch, 10 % sur le Mac) qui peuvent les mettre au niveau de ce que l'on trouve en ligne, mais avec la disponibilité du revendeur en plus.

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Free a recruté plus de nouveaux abonnés que ses concurrents sur le premier trimestre 2024

Nicolas Furno |

Iliad, la maison-mère de Free et Free Mobile, se félicite de la bonne santé de son fournisseur d’accès à internet et son opérateur mobile français dans les résultats financiers pour le premier trimestre 2024. Il faut dire qu’il y a de quoi : avec 212 000 nouveaux abonnés côté mobile et 85 000 nouveaux-venus côté fixe, la stratégie de Free semble porter ses fruits face à celle de ses concurrents. Sur le trimestre qui vient de se terminer, Free et Free Mobile ont ainsi fait mieux que les trois entreprises historiques françaises.

Image MacGeneration.

En comparaison, Orange et Bouygues Télécom ont connu sur la même période une augmentation nettement plus faible du nombre d’abonnés mobiles et SFR a carrément perdu près de 500 000 abonnés. Sur le fixe, seul Bouygues Telecom a gagné des abonnés en plus de Free, mais nettement moins (38 000) et Orange (43 000 abonnés en moins) et surtout SFR (77 000 abonnés perdus) ont creusé l’écart face à Free.

C’est indéniablement une belle performance, sans doute largement liée à des prix qui n’augmentent pas, contrairement à ses trois concurrents qui n’hésitent pas à enchaîner les augmentations. C’est surtout vrai pour Free Mobile, qui reste depuis sa création avec un forfait principal à 20 € par mois. L’entreprise de Xavier Niel s’était engagée à maintenir ces prix au moins jusqu’en 2027 et c’était manifestement une bonne idée en période inflationniste.

L’augmentation du nombre d’abonnés se fait par ailleurs sans tirer les prix vers le bas. Au contraire, le revenu moyen par abonné continue d’augmenter et on observe dans le détail que le forfait mobile le plus cher attire bien plus que celui à 2 € (qui a perdu des abonnés sur le trimestre), tandis que la Freebox Ultra a « soutenu [la] croissance » côté fixe. Lancée fin janvier, cette box haut de gamme qui a sans doute séduit quelques clients supplémentaires. La Freebox Révolution Light lancée en même temps sur l’entrée de gamme a peut-être aussi aidé, Free n’entre pas dans ce niveau de détails.

À l’échelle européenne, Iliad annonce un chiffre d’affaires en hausse de 11,2 % et surtout avoir gagné 698 000 abonnés sur le premier trimestre, ce qui est un record sur le continent d’après l’entreprise. Le plus gros gain vient de la France, suivi de l’Italie avec 276 000 clients supplémentaires et la Pologne (73 000). Si tout va bien, il devrait être le cinquième opérateur mobile européen d’ici la fin de l’année.

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Retrouvez l'anonymat sur Internet en trois clics 📍

Article sponsorisé |

Si seulement effacer nos traces numériques était aussi simple que de fermer une fenêtre de navigateur... Hélas, la réalité est tout autre. Mais heureusement, des solutions existent pour minimiser notre empreinte numérique.

Pour ceux d'entre nous qui cherchent à disparaître des radars des courtiers de données, Incogni offre une solution fiable et simple pour nettoyer nos traces numériques et protéger notre vie privée.

L'anonymat sur le web est un mythe

D'abord, brisons un mythe : l'anonymat sur Internet est une illusion. À chaque site visité, chaque formulaire rempli, nous laissons des empreintes qui ne sont pas si éphémères. Elles sont collectées avec zèle par des courtiers en données, des collectionneurs modernes qui ne cherchent pas des timbres, mais des bits d'informations personnelles.

Ces données, que nous semons souvent à notre insu, se transforment en or numérique pour ces courtiers. Elles sont archivées, vendues, et parfois utilisées à des fins moins nobles. Imaginez un peu : votre adresse email est peut-être en ce moment même sur une liste VIP dans le sombre bureau d'un spammeur.

Ce florissant commerce des données peut engendrer une kyrielle de nuisances pour le commun des mortels, et vous les connaissez très bien. Appels automatisés, SMS non sollicités, emails de marketing incessants... Et ne parlons même pas des risques plus sinistres comme la fraude d'identité ou le vol d'informations bancaires.

Pour se protéger, certains se tournent vers des solutions comme les emails jetables, des VPNs, des relais privés, ou les bloqueurs de publicités. Bien que ces outils puissent vous rendre un peu plus furtif, ils ne font que masquer les symptômes sans vraiment guérir la maladie.

Malheureusement, pour effacer complètement les traces déjà laissées, il faudrait contacter chaque courtier en données individuellement, leur demander poliment de supprimer nos informations, et espérer qu'ils jouent le jeu. Une mission qui peut rapidement devenir aussi décourageante qu'une partie de cache-cache avec des fantômes.

Incogni comme allié

Mais ne désespérez pas. Il existe une solution plus simple et moins épuisante que de jouer au détective numérique : Incogni.

Avec ce service — proposé par Surfshark — vous vous inscrivez, fournissez quelques détails essentiels, et voilà. La plateforme prend le relais, envoyant des demandes de suppression à divers courtiers en données sans votre intervention. Elle vous tient au courant de chaque avancée, par e-mail, ou sur un tableau de bord aussi simple qu'efficace.

Incogni offre des abonnements, avec des options mensuelles ou annuelles. Opter pour l'abonnement annuel est comme choisir un billet de première classe pour une tranquillité d'esprit prolongée (mais sans le champagne), car le service assure un nettoyage régulier et efficace de vos données. Les courtiers ne vous lâcheront pas aussi facilement !

Non seulement Incogni vous libère des griffes des spams et des risques de cyberattaques, mais il le fait en respectant scrupuleusement vos droits selon le RGPD. Vous pouvez donc naviguer sereinement, en sachant que votre vie numérique est mieux protégée. Et quel bonheur de voir et le nom de ces fameux courtiers, et nos données effacées de leurs bases de données...

👉 Ne laissez plus vos données personnelles être le jouet des courtiers — rejoignez Incogni !

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