Se débarrasser des arnaques par SMS et du démarchage abusif : guide complet📍

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Comment faire pour retirer mon numéro de téléphone du web ? C’est une interrogation fréquente parmi les internautes en cette année, surtout avec la recrudescence du démarchage téléphonique envahissant, comme ces SMS incessants de l'assurance maladie, ou de l'ANTS.

Votre contact téléphonique est souvent juste à une recherche Google de distance. Malheureusement, cela signifie que vos informations peuvent être utilisées par n'importe qui, des particuliers aux entreprises de marketing par téléphone, et même par des individus mal intentionnés. Bien que le gouvernement ait introduit une initiative de blocage des arnaques, sa mise en place effective n'est pas pour tout de suite, avec des tests prévus pour septembre.

Pour éviter que votre numéro ne soit accessible en ligne, il est crucial de saisir les démarches à suivre pour le sécuriser. Nous partageons ici plusieurs astuces, y compris l’utilisation d’un service de suppression automatique, tel que Incogni.

Pourquoi mon numéro personnel se trouve-t-il en ligne ?

Souvent, lors de nos achats en ligne ou lors de l'inscription à divers services, on nous demande de fournir notre numéro. Cette étape, bien que semblant anodine, est souvent indispensable pour différentes raisons telles que la sécurité, la confirmation de commandes, ou l’accès à certains services.

Toutefois, l’ampleur de ce partage d'informations nous échappe souvent. Lorsque nous téléchargeons de nouvelles applications et acceptons leurs termes et conditions sans vraiment les lire, ces services collectent nos informations, y compris nos numéros de téléphone, souvent sans que nous en ayons pleinement conscience.

Quant à nos informations personnelles, malgré les promesses de sécurité des propriétaires de sites, des fuites de données peuvent survenir, exposant nos informations à qui sait comment les trouver. Parfois, nous ne réalisons l'ampleur du problème que bien trop tard, alors que nos informations personnelles se baladent déjà sur Internet.

De plus, les courtiers en données et les sites de recherche de personnes jouent un rôle dans la diffusion de nos numéros sur le web. En acceptant les conditions générales d'utilisation, ces sites collectent et vendent nos informations à des tiers, rendant difficile de savoir qui détient nos données.

Une fois que notre numéro est accessible ou vendu, les conséquences peuvent être fâcheuses : appels automatisés incessants, SMS frauduleux, démarchage téléphonique agressif, et même des tentatives d'escroqueries. De surcroît, la visibilité de notre numéro peut être exploitée par des escrocs pour collecter davantage d'informations personnelles, accroissant le risque de fraude et d'usurpation d'identité.

Effacer mon numéro de téléphone du web : comment faire ?

Pour vous protéger contre ces menaces, plusieurs étapes peuvent être prises pour effacer votre numéro du web.

Commencez par retirer votre numéro des réseaux sociaux en ajustant vos paramètres de confidentialité. Sur Twitter, par exemple, désactivez l'option permettant de vous retrouver via votre numéro.

Il est aussi possible de demander à Google de retirer votre numéro, mais soyez prévenus que les critères sont stricts. Parfois, il vous faudra contacter directement le propriétaire du site sur lequel figure votre numéro.

Pensez également à ajuster les paramètres de confidentialité de votre téléphone pour restreindre le partage de votre numéro par des applications tierces. Ne négligez pas l'inscription sur des listes comme Bloctel.

Pour une solution plus radicale, envisagez de supprimer vos informations directement auprès des courtiers en données, souvent responsables de leur circulation en ligne. Heureusement, beaucoup offrent la possibilité de soumettre des demandes de suppression. Bien que le processus puisse être long, il est crucial pour protéger votre vie privée.

Incogni : une aide pour supprimer vos données

En quête de solutions pour préserver votre vie privée en ligne ? Laissez Incogni prendre les rênes. Ce service innovant, né de l'expertise de Surfshark, se propose de faire le gros du travail pour vous en matière de protection de données. Pour un tarif mensuel raisonnable de 6,49 € HT (soit 7,78 € pour la France), Incogni s'engage à garder vos informations, y compris votre numéro de téléphone, loin des regards indiscrets.

S'abonner à Incogni est un jeu d'enfant. Il suffit de s'inscrire avec une adresse email et de choisir un mot de passe. Après avoir validé votre compte via un email de confirmation, vous fournirez votre nom et adresse - des informations essentielles pour que Incogni puisse efficacement demander la suppression de vos données. En leur accordant une autorisation limitée pour agir en votre nom, vous pourrez choisir entre un abonnement mensuel ou annuel et vous voilà prêt à reprendre le contrôle de vos données personnelles.

Incogni vous offre un tableau de bord en ligne intuitif, où vous pourrez suivre en temps réel l'avancement des démarches entreprises auprès des courtiers en données. Dès votre inscription, vous verrez la liste des courtiers ciblés et serez informé des actions de suppression en cours. Incogni sélectionne méticuleusement les courtiers susceptibles de détenir vos informations, en s'appuyant sur un algorithme sophistiqué pour optimiser l'efficacité de ses interventions.

Une fois que vous avez confié la tâche à Incogni, vous pouvez mettre de côté vos inquiétudes pour un moment. La législation accorde aux courtiers un délai de 30 à 45 jours pour répondre aux demandes. Pendant cette période, il est possible que vous receviez des communications de leur part, bien que la majorité des échanges soient directement gérés par Surfshark.

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Serif promet que ses apps Affinity ne passeront pas à l’abonnement suite à son rachat par Canva

Félix Cattafesta |

Grosse semaine pour Serif, créateur de la suite de design Affinity vendue sur un système de licence perpétuelle. La boîte a annoncé mardi son rachat par Canva, qui propose des outils du même genre sur le web… et sur abonnement. La nouvelle a logiquement semé un vent de panique chez utilisateurs d'Affinity, craignant de voir l’une de rares alternatives crédibles à la suite Adobe changer de modèle économique. Il n’en sera rien selon Serif et Canva, qui se sont engagés à conserver un système de licences dans un communiqué.

« Des licences perpétuelles seront toujours proposées et nous fixerons toujours des prix équitables et abordables pour Affinity », peut-on lire dans l’annonce-promesse signée des deux entités. L’idée d’un abonnement n’est cependant pas écartée, bien que l’on nous promette que ce choix sera toujours offert aux côtés d’une licence traditionnelle. Le communiqué garantit que le développement d’Affinity ne sera pas mis de côté, et qu’une grosse mise à jour gratuite arrivera dans l’année avec de nouvelles fonctions. Certains aspects de la suite seront intégrés au produit de Canva.

Les deux entreprises veulent se montrer du côté du client, se disant à l’écoute des suggestions pour le futur développement. Il y a cependant des raisons de rester méfiant : les promesses n’engagent que ceux qui y croient, et on peut imaginer bien des façons de rendre les licences moins intéressantes qu’une formule sur abonnement. Rien n’a été communiqué sur certaines interrogations soulevées par le rachat, par exemple concernant l’éventuelle arrivée des outils d’IA générative de Canva dans les logiciels Affinity. Une séance de questions/réponses a été promise pour répondre aux clients, qui devrait avoir lieu dans les prochains jours.

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Twelve South relance sa boutique européenne

Florian Innocente |

Twelve South a réouvert sa boutique en ligne européenne. Un moyen plus simple pour obtenir les produits de cet accessoiriste spécialisé Apple. Basé aux États-Unis en Caroline du Sud, Twelve South est un accessoiriste assez prolifique dont le catalogue se destine tout autant au Mac, qu'à l'iPhone, à l'iPad ou à l'Apple Watch.

Les supports pour MacBook et iMac, les housses pour iPhone et iPad au look de vieux livre, les système de rangement de bracelets, les supports de recharge multiappareils… il y a de quoi équiper de la tête aux pieds tout amateur de produits Apple. L'américain avait déjà une boutique en ligne pour sa clientèle européenne, mais celle-ci fut fermée pendant plusieurs mois.

Test du AirFly Pro : un adaptateur pour utiliser ses AirPods en avion

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Elle est de nouveau opérationnelle — gérée en coulisses depuis les Pays-Bas par le grossiste Mondeno Benelux B.V. Elle propose tout le catalogue, avec l'avantage d'afficher les prix en Euro et de ne pas compter de frais de port à condition d'acheter pour au moins 75 €. Ce qui ne devrait pas être très compliqué dans la plupart des achats. Twelve South ne fait pas dans les prix bas.

ButterFly, un petit chargeur malin pour iPhone et Apple Watch qui veut faire oublier le MagSafe Duo

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En face, la boutique de Twelve South sur Amazon s'est singulièrement vidée. Il n'y a plus grand-chose à se mettre sous la dent et les prix n'y sont pas toujours plus compétitifs. À voir s'il s'agit d'un redémarrage en cours ou si la marque va désormais mettre Amazon au second plan derrière son site européen.

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Free lance une nouvelle Freebox Pop compatible Wi-Fi 7 sans hausse de prix

Stéphane Moussie |

La Freebox Ultra n’est plus l’unique box du marché à tirer parti du Wi-Fi 7. Free lance aujourd’hui une nouvelle version de la Freebox Pop compatible avec la dernière norme sans fil en date, et ce sans changement de prix.

L’abonnement Freebox Pop avec le routeur compatible Wi-Fi 7 coûte 29,99 €/mois la première année, puis 39,99 €/mois. Ce nouveau routeur est réservé aux abonnés en fibre optique (jusqu’à 5 Gbit/s partagés en réception et 700 Mbit/s en envoi). Pour les autres, c’est toujours la version Wi-Fi 6 qui est fournie.

De gauche à droite : Player Pop, Server Pop et répéteur Wi-Fi.

Avec cette mise à jour du Server Pop, Free rend le Wi-Fi 7 plus accessible. « Les nouveaux abonnés bénéficient ainsi de débits Wi-Fi rapides et stables, jusqu’à 2 Gbit/s sur plusieurs appareils en simultané », a indiqué l’opérateur à Univers Freebox. Cependant, les performances ne seront pas maximales.

Contrairement à la Freebox Ultra, la Freebox Pop ne gère pas la bande des 6 GHz, celle qui fournit les plus gros débits à courte portée. La nouvelle Pop se contente en effet des bandes 2,4 GHz 2×2 et 5 GHz 2×2 plus classiques. Néanmoins, grâce à diverses améliorations techniques, son Wi-Fi 7 bi-bande devrait se montrer plus rapide que le Wi-Fi 6.

Nouveau Server Freebox Pop compatible Wi-Fi 7.

Avec cette mise à jour, Free creuse l’écart avec la concurrence en matière de Wi-Fi. Orange, par exemple, ne fournit toujours qu’un routeur Wi-Fi 5 avec son abonnement Livebox Fibre à 42,99 €/mois (six premiers mois à 24,99 €) et ni l'opérateur historique, ni Bouygues Telecom ni SFR ne propose de box Wi-Fi 7. À l'heure actuelle, aucun appareil Apple ne gère le Wi-Fi 7, mais cela finira bien par arriver un jour maintenant que tous les Mac sont passés au Wi-Fi 6E.

C’est le deuxième changement de génération de technologie sans fil pour la Freebox Pop, qui était sortie en 2020 avec du Wi-Fi 5 avant de goûter au Wi-Fi 6 en 2022. Comme une fiche technique dénichée à l’avance l’avait dévoilé, Free a procédé à d’autres modifications sur ce nouveau Server Pop. Un bouton marche/arrêt a été ajouté, tandis que le port USB-C pour l’alimentation et le port USB-A 3.0 pour brancher un disque dur externe ont été déplacés.

Les abonnés actuels qui veulent remplacer leur Server Pop par le nouveau modèle pourront bientôt le faire dans leur espace client au prix de 49 €.

C’est quoi, le Wi-Fi 7 ?

C’est quoi, le Wi-Fi 7 ?

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Pour jouer à des titres Windows sur Mac, 16 Go de RAM sont chaudement recommandés

Félix Cattafesta |

Les propriétaires de Mac voulant lancer des jeux Windows ont tout intérêt à avoir 16 Go de RAM sur leur machine. L’équipe derrière le logiciel CrossOver s’est demandé pourquoi les retours des utilisateurs sur les performances de Counter-Strike 2 étaient aussi contrastés. Après quelques tests, ils en ont conclu que les ordinateurs avec une petite dotation en RAM encaissaient moins bien les jeux Windows, même avec une bonne puce.

MacBook Air M2 et MacBook Pro 13" M2

Counter-Strike 2 n’est pas compatible avec macOS et demande au minimum 8 Go de RAM et 1 Go de mémoire vidéo sur Windows. Un MacBook Pro M1 avec 16 Go de RAM obtient environ 40 i/s sur le jeu de Valve via CrossOver, sans ralentissement sur le long terme. En revanche, la même machine avec une puce M2 et seulement 8 Go tourne beaucoup moins bien : si la partie démarre à 40 i/s, le nombre d’images tombe rapidement autour des 10 i/s. Le jeu finit même parfois par planter. On obtient 80 i/s sur un MBP M1 Pro avec 32 Go de RAM, et plus de 100 i/s sur une machine M3 Pro avec 18 Go.

De tels résultats ne sont pas vraiment surprenants, et il est logique que des ordinateurs plus puissants affichent de meilleures performances. De plus en plus de jeux modernes ont besoin d’au moins 8 Go de mémoire vidéo, et les choses ne vont pas aller en s’arrangeant. Dans la documentation de son Game Porting Toolkit, Apple précise d’ailleurs que les jeux lancés via une couche de compatibilité demandent plus de ressources, et incite à utiliser une machine dotée d'au moins 16 Go de RAM.

CrossOver note que Counter-Strike 2 est un exemple extrême des différences de performances entre 8 et 16 Go de RAM : plusieurs jeux comme GTA V ou Palworld restent parfaitement praticables sur un MBP M2 avec seulement 8 Go. CrossOver propose une banque de données permettant d’anticiper les performances d’un jeu en se fiant aux avis des autres utilisateurs, mais celle-ci ne précise pas la configuration de chacun. Une autre option peut être de passer par Whisky, un projet open source reposant sur la même base que CrossOver.

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Signature Slim Combo MK950 : un nouveau duo clavier/souris chez Logitech

Félix Cattafesta |

Logitech vient de lancer un nouveau clavier : le Signature Slim MK950, qui peut également être acheté en duo avec une souris Signature M750 dans un pack « Combo ». Le lot est disponible en gris ou en blanc, et le clavier embarque un pavé numérique.

Image : Logitech.

Le clavier est assez classique avec sa double disposition des touches pour Mac, Windows et ChromeOS. Il pèse 685 grammes et fonctionne à l’aide de deux piles AA qui devraient fournir une autonomie de 36 mois. Deux petits pieds permettent d’incliner l’accessoire de 8 degrés, et 3 touches sont présentes pour appairer le périphérique à différentes machines.

Logitech insiste sur la compatibilité avec sa fonction Logitech Flow permettant de facilement envoyer des fichiers d’un ordinateur Windows à un Mac (une technologie qu’elle propose depuis des années). Un récepteur Logi Bolt en USB-A est inclus dans la boite, mais on pourra également se connecter en Bluetooth.

Image : Logitech.

Logitech nous promet du matériel ultra silencieux, avec une souris équipée d’une technologie maison étouffant le bruit des clics. On y trouve une molette SmartWheel un peu moins poussée que celle de la MX Master 3S mais permettant tout de même de facilement faire défiler ligne par ligne ou à vitesse grand V sur une longue page. Elle embarque 6 boutons, deux d’entre eux étant sur la tranche.

Image : Logitech.

Les périphériques se configurent depuis l’application Logi Options+, qui permet de mettre à jour le firmware mais aussi de personnaliser certains raccourcis. Le clavier est vendu pour 89,99 €, tandis que le lot avec la souris est à 119 €. La souris n’est étonnamment pas vendue à l’unité en Europe alors qu’elle l’est en Chine.

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macOS Sonoma pouvait supprimer par erreur tout l’historique d’un fichier iCloud Drive 🆕

Nicolas Furno |

Mise à jour le 27 mars : macOS 14.4.1, disponible depuis le 25 mars, corrige le bug de suppression de l'historique des fichiers iCloud Drive, comme le signale Howard Oakley à l'origine de la découverte. Avec cette nouvelle version, les différentes versions des fichiers iCloud Drive sont de nouveau accessibles normalement.


Article original publié le 20 mars : Un bug gênant s’est manifestement glissé dans macOS 14.4. Si vous utilisez iCloud Drive et que vous avez activé l’optimisation du stockage local du Mac, alors vous pourriez perdre l’historique des modifications sans le savoir. Comme le détaille Howard Oakley sur son blog, cela arrive lorsque la copie locale d’un fichier est supprimée pour libérer de la place sur le stockage interne de l’ordinateur. Jusque-là, le système prenait le soin de conserver l’historique des modifications sur les serveurs dédiés à iCloud. La dernière version de Sonoma zappe cette étape, perdant en même temps les anciennes versions du document.

La fameuse option qui pose problème avec macOS 14.4. Image MacGeneration.

L’historique est une fonction bien pratique d’iCloud Drive, une sorte de Time Machine appliqué à chaque fichier stocké dans le système d’Apple. Grâce à elle, on peut revenir en arrière et récupérer une ancienne version d’un fichier, ce qui est très utile pour corriger une erreur. Cet historique n’est normalement pas seulement conservé localement, il devrait aussi être mis en ligne sur les serveurs d’Apple pour être conservé et synchronisé avec tous vos appareils. Le bug de macOS 14.4 concerne justement cette mise en ligne, qui ne se fait plus lorsque la copie locale de l’historique est supprimée.

L’historique d’iCloud Drive en action, ici sur le fichier Markdown qui a servi à écrire cet article. Image MacGeneration.

Cet historique est alors irrémédiablement perdu, d’autant plus que les apps de sauvegarde comme Time Machine ne le sauvegardent pas. Cela revient à une perte de données qui n’est pas forcément gênante si vous ignoriez jusqu’à l’existence de la fonctionnalité, mais qui peut avoir des conséquences sérieuses si vous comptez dessus au quotidien. Notez que le bug ne s’active que lorsque l’optimisation des fichiers est enclenchée, alors si vous avez suffisamment de place sur le SSD de votre Mac, vous pouvez décocher l’option pour être tranquille.

En attendant un correctif officiel qui devrait rapidement arriver, vous pouvez aussi utiliser Revisionist, un outil développé par Richard Oawkley qui exporte chaque version d’un document dans le dossier de votre choix. Ces copies peuvent être même stockées hors d’iCloud Drive pour plus de sécurité.

DeepTools, une série d’outils pour améliorer le versionnement de macOS

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