C’est le moment de prolonger votre abonnement Microsoft 365 grâce à ces promos

Stéphane Moussie |

Votre abonnement Microsoft 365 arrive bientôt à expiration ? Vous pouvez le prolonger à un tarif intéressant grâce aux promos de printemps d’Amazon. Ces offres sont également valables pour les nouveaux clients.

L’abonnement Microsoft 365 Personnel de 15 mois est disponible à 47,99 €. Vous avez en plus au choix un abonnement à Norton 360 Standard ou bien McAfee Total Protection (vous n’êtes pas obligé d’activer ces logiciels de sécurité si vous n’en voulez pas). L’abonnement Microsoft 365 Personnel de 12 mois sans suite de sécurité est à 42,99 €. Chez Microsoft, cet abonnement d’un an coûte 69 €.

Si vous voulez partager ce service avec plusieurs personnes, l’abonnement Microsoft 365 Famille de 15 mois est à 54,99 € avec Norton ou au même prix avec McAfee. Si vous êtes très attaché à Satya Nadella, l’abonnement Microsoft 365 Famille de 27 mois est à en promo à 99,99 € toujours sur Amazon. En comparaison, c’est le prix que fait payer Microsoft sur son site pour une seule année.

Microsoft 365 comprend les applications Word, Excel, PowerPoint et Outlook sur toutes les plateformes, ainsi que 1 To de stockage par personne sur OneDrive et d'autres services. La formule famille est valable pour six personnes maximum.

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macOS 14.4 supprime la commande airport dans le terminal

Nicolas Furno |

macOS 14.4 a laissé sur le carreau airport, non pas les bornes AirPort qu’Apple a abandonné il y a bien des années de cela, mais l’outil en ligne de commande à utiliser dans le terminal. Apple avait prévenu précédemment que cet outil capable d’afficher diverses informations sur la connexion Wi-Fi du Mac était déprécié. C’est avec macOS 14.4 que le ménage a été fait, si bien qu’il est désormais impossible de l’utiliser. Si vous essayez, le terminal vous affichera une erreur signalant que la commande n’existe plus.

AirPort est (de nouveau) mort, vive wdutil. Image MacGeneration.

À la place, Apple suggère d’utiliser l’app Diagnostics sans fil qui est installé dans macOS depuis un paquet d’années. Si vous utilisiez la commande airport1, ce n’est pas pour ouvrir une interface graphique n’est-ce pas ? Fort heureusement, cette app existe aussi sous une forme textuelle avec la commande wdutil. Son fonctionnement est toutefois un petit peu plus complexe, puisque la commande nécessite non seulement les droits administrateur, elle exige aussi un argument.

Selon les besoins, vous pourrez ainsi obtenir de nombreuses informations sur le Wi-Fi de votre Mac en utilisant cette commande :

sudo wdutil info

Et si vous avez besoin de réaliser un diagnostic, c’est cette commande qui vous intéressera :

sudo wdutil diagnose

Un mot de passe administrateur sera demandé à chaque fois, sauf si vous avez un Mac équipé d’un capteur Touch ID et correctement configuré.

Pour les besoins les plus avancés, wdutil n’est pas aussi avancé que la commande ‌airport qu’il remplace, comme le détaille Adrian Granados sur son blog. Ce développeur a notamment créé une app nommée WiFi Signal qui affiche de nombreuses informations sur le réseau Wi-Fi dans la barre de menus de macOS. Ces informations étaient fournies par la commande airport et sa successeure ne donne pas toutes les données attendues. Ce sont des données assez pointues, comme l’index MCS et le nombre de flux de données (spatial streams), et même si elles ne manqueront pas à tout le monde, cela reste une régression.

Le développeur a ouvert une demande en 2021 pour qu’Apple enrichisse ‌wdutils avec ces éléments, il n’a pour l’heure reçu aucune réponse.


  1. Si vous ne l’utilisiez pas, sachez qu’elle n’était pas accessible par défaut et se trouvait à cet emplacement : /System/Library/PrivateFrameworks/Apple80211.framework/Versions/A/Resources/airport.  ↩︎

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Spotify sur Mac se réduit dans un miniplayer

Florian Innocente |

Spotify sur Mac (et Windows) a droit à son Miniplayer, une petite palette de commandes de la lecture des contenus audio et vidéo. C'est une fonction qui aurait pu être proposée depuis longtemps, mais, c'est fait, Spotify a lui aussi un miniplayer. Il n'est offert néanmoins qu'aux abonnés à la formule Premium.

Cette petite fenêtre que l'on placera n'importe où à l'écran propose les commandes de lecture du morceau en cours ainsi qu'un bouton d'ajout du titre à sa bibliothèque et le réglage du volume. La palette est redimensionnable dans tous les sens avec un contenu qui s'adapte. On pourra avoir plus ou moins de boutons de contrôles affichés. En leur absence on survolera le visuel de la jaquette avec la souris pour les faire apparaître.

Plus besoin de garder ouverte la fenêtre principale. Ce miniplayer complète ainsi le menu de contrôle de macOS dans le Finder, disponible chaque fois qu'un contenu audio est en lecture. Ce qui vaut pour la musique et les podcasts audio vaut pour les podcasts vidéo. On pourra suivre du coin de l'œil la conversation en mettant la petite palette dans un coin de l'écran.

Le bouton pour faire surgir le miniplayer est logé tout en bas à droite de la fenêtre principale de Spotify, après la barre de volume.

L'avant-dernier bouton à droite.

Si vous ne le voyez pas, mettez l'application de Spotify à jour (via À-propos de Spotify dans le menu Spotify). Après l'installation de la dernière version, il peut être nécessaire de relancer une deuxième fois Spotify pour voir le bouton du miniplayer.

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Pour la justice américaine, CarPlay prouve les pratiques anticoncurrentielles d’Apple

Félix Cattafesta |

Ça chauffe pour Apple, attaquée en justice pour pratiques anticoncurrentielles par le gouvernement américain. Dans le document détaillant l’action en justice, différents exemples sont évoqués pour appuyer les accusations : Apple bloque le jeu en streaming sur l’App Store, complique l’utilisation d’une montre connectée tierce, se réserve la puce NFC de l’iPhone… Au milieu de tout cela se trouvent deux accusations liées au domaine de l’automobile. Elles concernent CarPlay ainsi que la fonction « Clé de voiture », qui permet d’ouvrir son véhicule via l’app Cartes.

Pour le département de la Justice des États-Unis, les systèmes de divertissement des véhicules sont un nouveau terrain où Apple étend ses comportements anticoncurrentiels. Le document cite l’arrivée du CarPlay nouvelle génération annoncé en 2022 et qui pourra notamment gérer la climatisation, la position des sièges ou encore les ouvertures du véhicule. Or, il semblerait que le régulateur ne saisisse pas tous les tenants et aboutissants de la technologie d’Apple. Extrait :

Après avoir tiré parti de sa position dominante sur le marché des smartphones pour l'appliquer aux systèmes d'infodivertissement des voitures, Apple a annoncé aux constructeurs automobiles que la prochaine génération d'Apple CarPlay prendra en charge tous les écrans, capteurs et jauges d'une voiture, obligeant ainsi les utilisateurs à vivre une conduite comme une expérience centrée sur l'iPhone s'ils veulent utiliser l'une des fonctions fournies par CarPlay.

Ici aussi, Apple s'appuie sur sa base d'utilisateurs d'iPhone pour exercer un pouvoir accru sur ses partenaires commerciaux, y compris les constructeurs automobiles américains, en matière d'innovation future. En appliquant les mêmes restrictions à CarPlay, Apple verrouille encore davantage le pouvoir de l'iPhone en empêchant le développement d'autres technologies de désintermédiation qui interagissent avec le téléphone, mais qui résident en dehors de l'appareil.

La déclaration est surprenante : jamais un utilisateur n’est obligé d’utiliser CarPlay. The Verge a interrogé Sam Abuelsamid, un expert en logiciels de véhicule qui estime l’argument « trompeur ». En effet, les fabricants ne sont pas obligés de laisser la main à Apple sur chaque écran de leurs autos : ils peuvent limiter l’interface aux écrans qu’ils souhaitent. L’expert rappelle qu’une voiture doit avoir un système standard pour les conducteurs sans smartphone, et qu’il est possible de passer à tout moment sur Android Auto (et vice versa).

Nilay Patel de The Verge estime que l’argument du régulateur est différent. La théorie serait qu’Apple pourrait menacer les fabricants de ne plus proposer CarPlay s’ils n’acceptent pas la version « complète », laissant la main sur les différents aspects du véhicule. L’argument pourrait se valoir, mais encore faudrait-il que le gouvernement américain puisse prouver ce qu’il avance. Récemment, le géant américain GM a décidé d'abandonner CarPlay pour se concentrer sur ses propres services, ce qui met du plomb dans l'aile à la théorie.

GM prétend abandonner CarPlay pour la sécurité de ses clients

GM prétend abandonner CarPlay pour la sécurité de ses clients

Le département de la Justice des États-Unis mentionne également la fonction « Clé de voiture », en développement depuis des années et qui est compatible avec un faible nombre de véhicules. Elle se base sur la puce NFC de l’iPhone et sur la technologie UWB en option. Le régulateur y voit une tentative d'emprisonner l’utilisateur :

Apple a également tenté de saper les technologies multiplateformes, telles que les clés de voiture numériques, d'une manière qui profite à Apple mais qui nuit aux consommateurs. Par exemple, Apple a exigé des développeurs d'ajouter les clés numériques développées pour leurs propres applications à Apple Cartes. Le statut par défaut d'Apple Cartes dirige les utilisateurs vers Apple Cartes plutôt que de permettre à des tiers de présenter des clés de voiture numériques uniquement dans leurs propres applications multiplateformes, ce qui accroît la dépendance à l'égard d'Apple et de l'iPhone chaque fois qu'ils utilisent leur voiture.

La technologie d’Apple repose sur un standard qui n'est pas propriétaire établi par un consortium de fabricants et d’entreprises de la tech. Les marques ont le choix de refuser cette technologie, et l’utilisateur n’a pas le couteau sous la gorge. Il est en revanche vrai que le client doit passer par l’app Cartes, ce qui est peut-être dû à des questions d’infrastructure logicielle (la puce NFC est réservée à Cartes). Les constructeurs automobiles n'ont pas la possibilité d'activer la fonction dans leur propre application en refusant l'app d'Apple. L’argument est plutôt valable tant cette obligation force la main des fabricants tout comme des clients, contraints d’avoir une clé dans Cartes.

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Devolo ferme sa filiale française et gère ses ventes depuis l'Allemagne

Florian Innocente |

Devolo va continuer de vendre ses produits en France, mais l'activité commerciale de ce fabricant spécialisé dans le CPL va se recentrer au sein du siège en Allemagne.

Il y a bien une évolution d'ampleur en cours chez Devolo, ce spécialiste allemand des boitiers réseau utilisant la technologie CPL. À la suite de notre précédent article décrivant de possibles changements dans la commercialisation de ses produits en France, Devolo a répondu à nos questions.

Le siège de Devolo en Allemagne. Crédit : Devolo.

Marcel Schüll, responsable de la communication de l'entreprise, explique que celle-ci va fermer sa filiale en France. Devolo France va disparaître et son activité commerciale pour l'Hexagone sera rapatriée au siège de Devolo à Aachen (Aix-la-Chapelle) en Allemagne. C'est de là désormais que seront gérées à l'avenir les ventes auprès des réseaux de distribution comme la Fnac, Boulanger, Amazon, etc.

Devolo étant aussi implanté en Belgique, en Suisse, en Autriche, aux Pays-Bas et au Royaume-Uni, il en ira de même pour ces autres filiales. L'objectif est de faire du siège allemand le centre névralgique pour les ventes globales.

Ce recentrage s'inscrit dans un programme de restructuration interne afin de réduire les coûts. Les produits Devolo vont continuer d'être commercialisés en boutiques et s'adresser aussi bien au grand public qu'aux professionnels, mais la marque veut augmenter son chiffre d'affaires sur le web, conclut Marcel Schüll :

En se concentrant sur le commerce de détail en ligne, Devolo GmbH (Allemagne) peut utiliser ses ressources internes de manière plus efficace. L'optimisation de la structure commerciale de Devolo GmbH contribuera au succès commercial à long terme.

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Promo : le Mac mini M2 à 549,84 € sur Amazon Italie

Félix Cattafesta |

Le Mac mini M2 est actuellement en promo sur Amazon Italie : la machine d’entrée de gamme tombe à 549,84 €, soit 149 € de remise par rapport à son tarif français. Il faudra ajouter à ce prix 7,44 € de frais de port pour une livraison vers la France dans le courant de la semaine prochaine. Le produit est vendu et expédié par Amazon Italie.

À ce prix là, il s’agit du modèle d’entrée de gamme embarquant 8 Go de RAM et 256 Go de stockage. La même machine est à 589 € sur le refurb, ce qui en fait donc une bonne affaire.

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Surface Pro 10 et Laptop 6 : Microsoft dévoile ses premiers PC « boostés à l’IA »

Félix Cattafesta |

Microsoft continue sa démonstration de force dans le domaine de l’IA et vient de présenter deux nouveaux ordinateurs pour professionnels : la Surface Pro 10 et la Surface Laptop 6, tous deux accolés de l’extension « for business ». Ces machines seront expédiées à partir du mois d’avril et ne seront pas disponibles à la vente aux particuliers, mais permettent d’avoir un avant-goût de ce que nous réserve Redmond. Sans surprise, l’intelligence artificielle est au cœur des arguments marketing de cette nouvelle fournée : le communiqué les présente comment les « premiers PC Surface boostés à l’IA ».

Les deux machines embarquent la nouvelle touche Copilot ainsi que les derniers processeurs Intel Core Ultra. Ceux-ci intègrent un NPU, une puce dédiée à l’intelligence artificielle qui promet de meilleures performances dans les expériences liées à l’IA. Dans son communiqué, Microsoft explique qu’elle permet par exemple d'économiser la batterie tout en profitant aux webcams des machines. Les deux appareils sont livrés de base avec 8 Go de RAM / 256 Go de SSD pour un prix de 1 399 €, mais on pourra évidemment faire grimper la fiche technique en mettant la main au porte-monnaie.

Ne dites plus Core i5, Core i3 ou Core i7, mais Core 5, Core 3 ou même Core Ultra 7

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Surface Pro 10. Image : Microsoft.

Mis à part cela, le design n’évolue pas. La Surface Pro 10 arrive toujours avec un écran LCD de 13 pouces, qui a été amélioré avec un meilleur revêtement antireflet. La caméra a été revue avec un angle de vue à 114° pour des enregistrements en 1440p. Un lecteur de cartes NFC va permettre d’utiliser certaines clefs de sécurité comme les YubiKeys. Le clavier est désormais mieux rétroéclairé, et une déclinaison avec option 5G arrivera dans l’année.

Surface Pro 6. Image : Microsoft.

De son côté, la Surface Laptop 6 dispose pour la première fois d’un duo de ports Thunderbolt sur sa version 15 pouces. La machine a eu droit à une révision de sa caméra (qui passe au 1080p) en plus du revêtement antireflet. On nous promet des performances « deux fois plus rapides » que sur la génération précédente grâce au nouveau processeur embarqué. Si Microsoft n’a pas dévoilé de nouvelles fonctions exclusives côté IA, on en saura sans doute plus le 20 mai prochain : l’entreprise a prévu un événement spécial Windows où Satya Nadella devrait présenter ses plans pour la suite dans le domaine.

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