Résultats financiers T2 2024 : Noël au balcon, Pâques au tison

Anthony Nelzin-Santos |

Pour la première fois depuis un quart de siècle, Apple a enchainé quatre trimestres dans le rouge pendant son dernier exercice fiscal. Autant dire que les résultats du premier trimestre de l’année fiscale 2024, qui correspond au dernier trimestre de l’année calendaire 2023, étaient attendus. La bonne réception de la gamme iPhone 15 et l’insolente santé des services ont « sauvé » la firme de Cupertino, dont les fêtes ont été gâchées par la suspension temporaire des ventes d’Apple Watch et la chute spectaculaire des ventes d’iPad.

À moins d’une semaine du special event « Let Loose », la gamme de tablettes est en bout de course. Le soufflé Apple Silicon est retombé si fort que les ventes de Mac ont fait un bond de deux ans en arrière. Le Vision Pro vient de connaitre son premier trimestre fiscal, mais ce n’est pas un produit vendu 3 500 $ dans un seul pays qui fera bouger les lignes. Pire : les ventes d’iPhone, qui représentent plus de la moitié du chiffre dʼaffaires dʼApple, dévissent en Chine. Personne ne sera surpris que les résultats du deuxième trimestre de l’année fiscale 2024 soient négatifs.

Les bureaux d’Apple à Results Way (Cupertino). Image Apple.
Les bureaux d’Apple à Results Way (Cupertino). Image Apple.

En bref

En milliards de dollars.

T2 2024 T2 2023 Évolution
Chiffre d’affaires 90,753 94,836 -4,31 %
Bénéfice 23,636 24,160 -2,17 %
iPhone 45,963 51,334 -10,46 %
Mac 7,451 7,168 +3,95 %
iPad 5,559 6,670 -16,66 %
Autres produits 7,913 8,757 -9,64 %
Services 23,867 20,907 +14,16 %

Chiffre d’affaires et bénéfice

La bonne nouvelle de la soirée ? Apple a battu les prévisions des analystes, qui avaient tablé sur un chiffre dʼaffaires de 90,5 milliards de dollars, soit une baisse de 4,5 % dʼune année sur lʼautre. La mauvaise nouvelle ? Lʼécart dépasse tout juste 250 millions de dollars, le chiffre dʼaffaires baissant de « seulement » 4,31 % pour sʼétablir à 90,753 milliards de dollars.

Image MacGeneration.

Alors quʼelle avait tempéré les humeurs des marchés en améliorant son bénéfice malgré la baisse du chiffre dʼaffaires tout au long de lʼannée 2023, Apple nʼa pas réédité la performance ce trimestre. Nʼexagérons rien, la firme de Cupertino a engrangé 23,636 milliards de dollars ce trimestre, un chiffre qui fait pâlir dʼenvie toutes les entreprises de la Silicon Valley… et quelques états souverains. Nʼempêche, cela représente une baisse de 2,17 % en comparaison dʼun trimestre qui avait déjà connu une contraction de 3,40 %.

Image MacGeneration.
La marge nette dʼApple pointe toujours vers le haut. Image MacGeneration.

Ventes d’iPhone

La coupable est connu : les ventes dʼiPhone chutent de 10,46 %, un gadin sans équivalent depuis les débuts de la pandémie de Covid, pour atterrir à 45,963 milliards de dollars. La contreperformance est telle que Tim Cook et Luca Maestri ne mentionnent pas une seule fois lʼappareil responsable de 51 % du chiffre dʼaffaires de leur entreprise dans leur annonce des résultats du second trimestre.

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Après plusieurs mois de tension sur les approvisionnements, les ventes d’iPhone avaient rebondi au T2 2023 (+1,51 %) pour atteindre un nouveau record de deuxième trimestre à 51,334 milliards de dollars, si bien que la comparaison d’une année sur l’autre est légèrement faussée. Reste que les indéniables difficultés d’Apple sur le marché chinois, largement anticipées par Wall Street, suffisent largement à expliquer cette dégringolade en règle.

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Ventes de Mac

À lʼinverse, le bon vieux Mac fait de la résistance. Après un premier frémissement de 0,58 % au premier trimestre, il reprend plus franchement des couleurs avec une progression de 3,95 % au deuxième trimestre. Apple a vendu pour 7,451 milliards de dollars dʼordinateurs, nettement plus que les 6,8 milliards de dollars attendus par les analystes, un signe encourageant pour la gamme de modèles M3.

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Ventes dʼiPad

Le premier trimestre 2023 nʼaura été quʼune brève interruption sans laquelle les ventes dʼiPad auraient enchainé dix trimestres consécutifs de baisse. En perdant 16,66 % pour tomber à 5,559 milliards de dollars, le chiffre dʼaffaires des tablettes retourne cinq ans en arrière. Espérons que les annonces du prochain special event permettront de relancer un cycle plus positif pour le vilain petit canard des résultats dʼApple.

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Autres produits

Les analystes ne sont pas dupes : à lui seul, le Vision Pro ne peut redresser la catégorie fourre-tout des « autres produits », qui comporte aussi lʼApple Watch et les AirPods, ainsi que les HomePod et lʼApple TV. Apple annonce une nouvelle baisse de 9,64 % de son activité accessoire, un chiffre parfaitement anticipé par Wall Street, qui avait effectivement parié sur un chiffre dʼaffaires de 7,9 milliards de dollars.

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Services

Cʼest le « rocher de Gibraltar » de la firme de Cupertino, pour reprendre lʼexpression de Dan Ives, analyste chez Wedbush Securities. Les services défient la cyclicité des produits matériels, puisquʼils progressent de 14,16 % pour atteindre 23,867 milliards de dollars, un peu plus que les estimations déjà fort optimistes de Wall Street. Tim Cook nʼa pas manqué de saluer ce « nouveau record de recettes ».

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Données financières

« Grâce aux niveaux très élevés de satisfaction et de fidélité des clients, notre parc installé a atteint un nouveau record historique pour tous les produits et tous les segments géographiques », déclare Luca Maestri, « et nos performances commerciales ont conduit à un nouveau record de bénéfice par action pour le trimestre de mars ». Le directeur financier dʼApple maintient une politique agressive de rachat dʼactions pour faire pointer cet indicateur vers le haut.

Les investisseurs oublieront vite les chiffres négatifs du soir après lʼannonce dʼune rallonge exceptionnelle de 110 milliards de dollars pour ce programme et dʼune nouvelle augmentation du dividende. Apple versera ainsi 0,25 $ par action, contre 0,23 $ ces douze derniers mois, et réitère sa volonté de parvenir à une trésorerie neutre.

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Les clés d’accès désormais disponibles sur les comptes Microsoft

Félix Cattafesta |

Les clés d’accès continuent leur petit bonhomme de chemin. La technologie a été adoptée par de nombreuses plateformes au fil de l’eau, allant de GitHub à Nintendo en passant par WhatsApp et même Google. De son côté, Microsoft vient d’officialiser le lancement de la technologie pour ses comptes, à aller mettre en place à ce lien.

Image : Microsoft.

Dès aujourd’hui, la technologie permet de se connecter aux sites Microsoft ainsi qu’à la suite 365 et à Copilot, que ce soit sur mobile ou ordinateur. La prise en charge des autres applications de l’entreprise suivra dans les semaines qui viennent. Les clés d’accès sont enregistrées directement sur les appareils et permettent de s’authentifier facilement à l’aide de FaceID, de TouchID ou du code de l’engin.

Cette annonce tombe à l’occasion de la journée du mot de passe, que Google n’a pas manqué de célébrer à travers un communiqué. Elle y précise que plus de 400 millions de comptes ont activé les clés d’accès et que plus d’un milliard d’identifications ont été faites par ce biais depuis le lancement. Elle ajoute que la technologie est désormais plus utilisée que d’anciens modes de connexion, tels les SMS d’authentification et les apps comme Google Authentificator.

La page dédiée aux clés d’accès de Google.

Google en profite pour annoncer quelques changements à venir. Les utilisateurs membres de son programme de protection avancé pourront bientôt se connecter à l’aide d’une clé d’accès en plus d’une clé de sécurité physique ou d’un mot de passe. La nouveauté est présentée comme tombant à pic alors que les élections américaines approchent, le programme se destinant aux politiques, activistes et journalistes ayant des besoins élevés en matière de sécurité.

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GM n'a pas du tout apprécié travailler avec Apple autour de CarPlay

Nicolas Furno |

Dans un long article, Bloomberg revient sur l’abandon de CarPlay par GM annoncé l’an dernier et entré en vigueur à l’automne dernier aux États-Unis. Les journalistes détaillent les motivations du constructeur américain historique, que l’on connaissait déjà en grande partie : quelques fausses excuses, offrir une meilleure expérience et surtout l’espoir de générer des revenus additionnels liés aux services associés.

Les smartphones sont des bâtons dans les roues des constructeurs automobiles

Les smartphones sont des bâtons dans les roues des constructeurs automobiles

L’article s’intéresse aussi aux relations de travail entre Apple et GM, ou plutôt à l’absence de relation justement et ce, dès le départ. CarPlay a été présenté à plusieurs constructeurs automobiles autour de 2012 et 2013, dont General Motors qui a été invité à Cupertino pour une démonstration de la nouveauté à venir. Mené par Greg Joswiak qui était à l’époque en charge uniquement du marketing de l’iPhone, de l’iPod et d’iOS sous les ordres de Phil Schiller, l’entretien aurait davantage ressemblé à un dialogue de sourds si l’on en croit les sources du site. Greg Joswiak aurait notamment répondu sèchement à un responsable de GM qui voulait expliquer la complexité des développements dans l’industrie automobile, en notant qu’Apple a bien réussi à créer un smartphone en un temps record.

Le tableau de bord de la Blazer EV de Chevrolet, la première voiture du groupe GM à reposer sur le nouveau système d’exploitation maison qui a fermé la porte à CarPlay. Image Chevrolet.

Cette confiance en ses propres produits ne surprendra probablement aucun lecteur ici. Les responsables de GM auraient en revanche été étonnés du manque d’écoute de la part d’Apple et de la méthode de Cupertino, où ses conditions sont imposées sans négociation possible. D’ailleurs, contrairement à Google qui a signé un contrat avec tous les constructeurs automobiles pour apporter Android Auto1, Apple ne voulait même pas signer de contrat. Son idée était de donner une liste d’exigences techniques pour que CarPlay puisse fonctionner dans les voitures, sans intérêt pour une réelle collaboration et persuadée de la supériorité technique de sa solution.

Comme les journalistes de Bloomberg le rappellent bien, ce n’est pas ainsi que les affaires se font traditionnellement dans l’industrie automobile. Surtout pour GM, un géant américain qui avait l’habitude de dicter ses conditions auprès de ses sous-traitants et qui ne pouvait même plus faire de suggestions. Un ancien responsable se souvient d’une fois où l’entreprise voulait suggérer un changement d’interface afin de minimiser la gêne du conducteur sur la route. Un ingénieur d’Apple aurait fermé la porte à toute discussion, en expliquant que leur système était meilleur et que GM n’avait qu’à suivre les consignes sans discuter.

Face à de telles relations, la présentation du nouveau CarPlay qui devait gérer tous les écrans du tableau de bord a fait office de signal d’alarme chez GM. Le constructeur a décidé d’abandonner entièrement CarPlay, non seulement le nouveau, mais aussi l’ancien, pour créer sa propre interface sur le modèle de Tesla ou de Rivian. Même s’il utilise Android Automotive (devenu Google Built-in) sous le capot, c’est un système entièrement géré par GM, sans place pour un acteur tiers.

Les débuts ont beau avoir été difficiles, comme le rappelle d’ailleurs l’article avec quelques exemples concrets, le constructeur américain maintient sa stratégie jusque-là et espère convaincre ses clients que son système peut être meilleur que CarPlay et Android Auto.


  1. Des contrats qui, au passage, essayaient de collecter le plus possible de données sur tout et n’importe quoi, y compris l’activation des essuie-glaces. GM, l’un des plus gros constructeurs aux États-Unis, aurait refusé avec succès de céder ces informations, mais on imagine que d’autres entreprises ont été contraintes de céder face aux exigences de Google.  ↩︎

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En 2019, Microsoft se disait très inquiète des capacités de Google niveau IA

Félix Cattafesta |

L’investissement de plusieurs milliards de dollars de Microsoft dans OpenAI n’est pas sorti de nulle part. Business Insider a fouillé dans les mails d’une récente affaire antitrust concernant Google et révélé que Microsoft se disait « très inquiète » de voir son rival bien en avance dans le domaine en juin 2019. « Nous avons plusieurs années de retard sur la concurrence en termes d'échelle d'apprentissage automatique » écrivait à l’époque Kevin Scott, le CTO de Microsoft dans une conversation avec Bill Gates et Satya Nadella à propos d’OpenAI.

Le CTO y détaillait alors comment il avait fallu 6 mois à Microsoft pour reproduire les performances du modèle linguistique BERT de Google, faute d’infrastructure « à la hauteur de la tâche ». La fonction d’autocomplétion de Gmail est évoquée, décrite par Kevin Scott comme « effroyablement efficace ». Il explique :

Nous avons des spécialistes en ML très intelligents dans Bind, dans l'équipe de vision et dans l'équipe de reconnaissance vocale. Mais les équipes de deep learning au sein de chacune de ces grandes équipes sont très petites, et leurs ambitions ont également été limitées, ce qui signifie que même si nous commençons à leur fournir des ressources, elles doivent encore passer par un processus d'apprentissage pour passer à l'échelle supérieure. Et nous avons plusieurs années de retard sur la concurrence en termes d'échelle de ML.

Si Microsoft s’inquiétait de l’avance de son concurrent en 2019, elle a depuis bien rattrapé son retard. L’entreprise a été la première à lancer un tchatbot IA grand public quand le lancement du Bard de Google quelques mois plus tard a surtout fait parler de lui pour une grosse erreur de communication. L’intégration de l’IA dans Windows et la mise à disposition gratuite de certains services d’OpenAI a bien aidé à donner l’impression qu’elle était en tête dans la course, même si tout cela n’a pas forcément participé à faire décoller Bing. Google est évidemment toujours sur le créneau, ayant récemment lancé ses modèles Gemini.

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Utilitaire : BetterMouse veut vous faire reprendre en main votre souris

Félix Cattafesta |

Les produits Logitech sont sympathiques, mais ils ont un gros défaut : ils impliquent souvent d’installer une myriade d’applications toutes plus lourdes les unes que les autres pour être personnalisés. Récemment, l’entreprise s’est fait remarquer après l’ajout de fonctions d’IA dans Options+ qui en a énervé plus d’un. Heureusement, des alternatives plus légères existent pour configurer votre souris. BetterMouse se présente ainsi comme un équivalent « riche en fonctionnalités, léger, optimisé en termes d'efficacité et, surtout, sûr au niveau confidentialité » aux solutions propriétaires.

L'interface de BetterMouse.

L’app permet de modifier différents aspects, à commencer par le défilement. Plusieurs points peuvent être personnalisés à l’aide de taquets ajustables venant retoucher la fluidité, la vitesse ou encore l’accélération du « scrolling ». Il faudra faire plusieurs essais avant de trouver une configuration optimale, mais le jeu en vaut la chandelle si vous aviez pris l’habitude de vous arracher les doigts pour faire défiler de longues pages.

BetterMouse peut également servir à modifier la vitesse de votre curseur avec précision, mais aussi à réattribuer les différents boutons. De multiples actions sont proposées, allant du simple défilement horizontal au ⌘Clic en passant par un zoom, voire même une mise en pause de la musique ou le lancement d’une app. Les options sont nombreuses, et il est même possible de se créer une liste d’exception pour modifier le comportement de la souris dans certains programmes. On regrettera juste le manque de traduction de l’app, ainsi qu’une interface pas forcément évidente à prendre en main.

BetterMouse mérite un téléchargement si vous avez une souris sur votre Mac et que vous voulez aller plus loin niveau personnalisation. Le programme permet également de se passer du très lourd Logi Options+, ce qui est toujours ça de gagné. BetterMouse offre une période d’essai de 7 jours et est ensuite facturé 8 $ pour une licence couvrant 5 appareils. Il nécessite macOS 11 et d’avoir désinstallé au préalable les différents utilitaires liés aux souris. La commande permettant de passer un coup de balai est présente sur le site du développeur.

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Tesla propose une option pour gérer le délestage dynamique avec le Wall Connector

Nicolas Furno |

Le Wall Connector de Tesla est une borne de charge destinée à tous les véhicules électriques qui présente l’avantage d’être plutôt bon marché avec son tarif affiché de 535 €. Pour ce prix, vous aurez un câble T21 associé au bouton qui permet d’ouvrir la trappe des voitures de Tesla, même si l’appareil peut charger n’importe quel véhicule équipé avec ce connecteur. C’est aussi une borne connectée qui permet de contrôler son fonctionnement depuis l’app mobile de Tesla, mais ce n’est pas une borne qui proposait du délestage dynamique jusque-là.

Le Wall Connector en fonctionnement, ici pour une Model Y américaine. Le modèle européen est fourni avec une prise T2, c’est le même produit par ailleurs. Image Tesla.

Le délestage dynamique est une fonctionnalité bien pratique qui permet de réduire automatiquement la puissance délivrée par une borne en fonction de la consommation du logement. Avec une installation classique monophasée, le Wall Connector peut demander jusqu’à 7,4 kW de puissance pendant la charge et jusque-là, c’est ce que la borne demandait en permanence, quitte à dépasser la limite de votre abonnement si le chauffage, un chauffe-eau et d’autres équipements gourmands tournaient en parallèle. Grâce au délestage, une borne peut réduire sa puissance quand c’est nécessaire et ainsi garantir que l’on reste sous la limite du logement.

En ne proposant pas cette fonction, le Wall Connector obligeait à prendre un gros abonnement et à bricoler. Chez moi, j’ai mis en place un délestage dynamique grâce à Home Assistant, en faisant varier la puissance demandée grâce à une automatisation, comme je l’avais détaillé dans cet article de la série :

Découvrez Home Assistant : les automatisations avancées à travers trois exemples

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Ce bricolage n’est plus nécessaire, même s’il faut ajouter un accessoire vendu sur Amazon, étrangement. Il s’agit d’un compteur à pince ampèremétrique qui surveille la consommation de tout le logement en temps réel et ajuste la puissance délivrée par la borne en se connectant a priori sur sa carte-mère. Ce produit vendu 225 € est indiqué comme fonctionnant exclusivement avec le Wall Connector de Tesla, même s’il a été conçu par l’entreprise canadienne Neurio. Les électriciens qui installent la borne pourront aussi ajouter le compteur si vous souhaitez bénéficier du délestage dynamique.

L’accessoire conçu par Neurio en partenariat avec Tesla, à ajouter à son installation pour bénéficier du délestage dynamique. Image Amazon.

Le Wall Connector avec délestage dynamique revient ainsi à 760 € pour le matériel, sans compter le prix de l’installation qui peut être assez élevé. Cela reste correct pour une borne capable de monter à 22 kW en triphasé, qui est connectée et associée à un câble T2 de 7 mètres et qui gère désormais le délestage.


  1. Attaché à la borne, ce qui est un problème en France, où la norme impose soit un câble détachable, soit un obturateur physique. Pour être dans les clous, le constructeur préconise d’ajouter une prise P17 avec obturateur.  ↩︎

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Refurb : jusqu'à -720 € sur le Mac Studio 2023

Florian Innocente |

Le Mac Studio de l'actuelle génération est de retour sur le refurb où il n'est présent que très occasionnellement. Et c'est une machine qui ne profite pour ainsi dire jamais de promotions chez les revendeurs. Les remises du reconditionné n'en sont que plus intéressantes.

Test du Mac Studio 2023 : le même en M2 ?

Test du Mac Studio 2023 : le même en M2 ?

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