Tim Cook affirme que l'expansion d'Apple est contrôlée
Lors de son voyage en France, Tim Cook n’a pas seulement rencontré des développeurs et fait des selfies avec les fans (mais pas de slofies à l’horizon), il a aussi répondu aux questions de journalistes. Il s’est notamment entretenu avec Les Échos de nombreux sujets, avec en toile de fond l’expansion d’Apple à de nouveaux domaines.
Donald Trump
« C’est quelqu’un avec qui on peut discuter, qui répond au téléphone et qui accepte le fait que l’on ne soit pas toujours d’accord », déclare Tim Cook au sujet de Donald Trump. Pour lui, le président américain « soulève de vraies questions » sur la Chine, son accès au marché, la protection de la propriété intellectuelle et les déséquilibres commerciaux.
Alors que Donald Trump souffle le chaud et le froid depuis plusieurs mois sur un accord commercial avec la Chine, le CEO d’Apple espère que chaque pays renoncera à une hausse des droits de douane. Dans la situation actuelle, il est prévu qu’une partie de ses produits soit surtaxée, ce qui ne fait évidemment pas ses affaires.
Impôts
Critiquée, comme d’autres, pour ses pratiques d’optimisation fiscale, « Apple a toujours payé des impôts là où nous créons de la valeur », soutient Tim Cook. « La question qui nous est posée, à nous les multinationales, est de savoir si nous payons nos impôts au bon endroit. Nous pensons que oui. » Apple a réglé cette année deux ardoises fiscales en France : l’une de 576 millions d’euros, l’autre de 11,9 millions.
Le dirigeant en appelle à un régime global au sein de l’OCDE, un sujet sur la table depuis des années dans l’organisation internationale qui pourrait finalement déboucher sur un accord en 2020.
Concurrence
Aux journalistes des Échos qui font remarquer que les GAFA sont perçus comme arrogants et abusant de leur position dominante, Tim Cook répond que « certains ont sans doute été arrogants, c’est vrai. » Par contre, il défend bec et ongles son entreprise contre les accusations d’abus de position dominante : « Regardez nos parts de marché. Il est difficile de dire que nous pourrions éventuellement tendre vers un monopole ! »
Apple va néanmoins faire un petit geste en faveur des applications tierces en leur permettant de devenir la solution par défaut pour envoyer des messages ou passer des appels par le biais de Siri.
Finance
Bien qu’Apple observe les cryptomonnaies, de l’aveu même de la responsable d’Apple Pay, et y voit un « potentiel à long terme », il n’est pas question qu’Apple crée la sienne, répète Tim Cook, qui détaille sa pensée :
La monnaie, comme la Défense, doit rester dans les mains des États, c’est au coeur de leur mission. Nous élisons nos représentants pour assumer des responsabilités de gouvernement. Les entreprises ne sont pas élues, elles n’ont pas à aller sur ce terrain.
Ce n’est pas l’avis de Facebook qui s’est entouré d’une trentaine d’entreprises (Iliad, PayPal, Spotify, Mastercard, Coinbase…) pour créer sa propre cryptomonnaie, la Libra.
Par contre, Apple compte bien développer l’Apple Card dans plusieurs pays. Tim Cook tient encore à rassurer ceux qui trouvent que l’emprise des GAFA devient trop importante en précisant qu’Apple n’a pas l’intention de devenir une banque. Aux États-Unis, l’Apple Card est née d’un partenariat avec Goldman Sachs.
« En France, il faut que nous trouvions une banque de détail qui soit particulièrement agile, déclare le CEO. Le monde n’a pas besoin d’une nouvelle carte de crédit. Il a besoin que l’on repense la carte de crédit. »
Produits matériels
Alors que la Pomme a mis l’emphase sur les services cette année, avec le lancement d’Apple Arcade, Apple News+ et Apple TV+, les produits matériels restent toujours capitaux pour elle, et leurs ventes « se portent bien », indique Tim Cook. « L’iPad est en pleine renaissance », déclare-t-il même. Il est vrai qu’après plusieurs années moroses, les ventes de tablettes sont globalement reparties à la hausse.
Le dirigeant insiste aussi sur l’Apple Watch, qui fait partie d’un marché qui n’en est qu’à ses « tout débuts », et réitère sa conviction sur la plus importante contribution d’Apple : « Je pense qu’un jour pas si lointain, on dira que la plus grande réalisation d’Apple se trouve dans la santé. »
Quant à l’iPhone, la baisse des ventes ne l’inquiète absolument pas, assure-t-il. Selon lui, le marché des smartphones n’a pas encore atteint son sommet. Bien que les ventes globales reculent actuellement, il s’attend à une nouvelle hausse à l’avenir. Cette hausse pourrait venir de l’Inde, notamment, où les trois quarts de la population ne sont pas encore équipés de smartphones, mais on connait toutes les peines d’Apple pour se faire une place dans le pays.
Services
N’attendant pas un éventuel rebond des ventes d’iPhone, Apple se lance donc à fond dans les services. En fixant le prix d’Apple Arcade à 4,99 €/mois, Tim Cook a l’intention de « toucher beaucoup de gens ». Selon lui, la proposition de Cupertino en matière de jeu vidéo est unique, elle n’entre pas en compétition directe avec les autres acteurs du secteur.
Il en va de même pour Apple TV+, qui sera disponible à partir du 1er novembre au même prix (et sera même offert pendant un an aux acheteurs de nouveaux produits Apple). « Je ne pense pas que l’on assiste à une guerre du streaming [vidéo] », indique Tim Cook aux Échos. Ou en tout cas, il n’est pas dans l’intérêt d’Apple qu’il y ait de « guerre » entre les services.
D’après lui, il y a de la place pour plusieurs acteurs : « Demain, les consommateurs vont avoir le choix entre plusieurs types de services de SVoD et ce qu’Apple veut, c’est compter parmi eux. »
Tim Cook reconnaît qu’Apple n’est qu’un outsider sur ce marché et ne va pas effacer Netflix. D’où la stratégie de se poser comme service complémentaire. À « l’énorme catalogue » de Netflix, Tim Cook oppose « une expérience de curation, [des] contenus originaux, exclusifs et de très haute qualité » sur Apple TV+. Les deux, quantité et qualité, ne sont pourtant pas antinomiques. C’est pour cela que faute de gros catalogue, Apple actionne le levier du prix, même si Tim Cook n’aborde pas ce point.
Est-ce qu’Apple TV+ pourrait accueillir un jour du sport, à l’instar d’Amazon Prime Video, qui va diffuser une petite partie de Roland-Garros ? Alors qu’Eddy Cue avait fermé la porte au début de l’année, Tim Cook la rentrouvre. Il n’y a rien de concret pour le moment, mais le CEO y réfléchit et pense que cela peut avoir un sens pour Apple.
« Dans ce domaine, les contenus deviennent hors de prix. Mais je sais combien les gens aiment regarder du sport », conclut-il. Au vu des milliards de dollars dépensés dans les films et séries d’Apple TV+, l’argent n’est pas un problème.
Pas un mot sur l'environnement, l'ecologie, le recyclage ?
@toto_tutute
Était-il obligé d’en parler ?
@toto_tutute
Il en parle dans la vidéo 😉
@toto_tutute
C’est pas la peine, la vraie écologie sous entend l’arrêt de toutes les voitures à travers le monde. Mais oui si les conséquences sont une rupture de l’énergie fossile. Tout cet argent disparaîtra avec l’arrêt de la fourniture en énergie et donc des ordinateurs des banques.
Certains estiment ça pour 2030-2040
Certains estiment cela pour 2030-2040, d'autres, tel le Oomu, estiment cela pour le 21 décembre 2112 à 21:12. Qui croire ?
halala que de questions...
Ni de la quiche lorraine d'ailleurs.
@ataredg
Quel grossière erreur de ne pas aborder ce point !
c'est pas plutôt la ouiche lorraine ?
Honnetement, ils font pas mal dans ce sens.
Ce qui me choque dans les propos de T.Cook, c est qu il assume ouvertement de ne pas payer les impots en France ("La question qui nous est posée, à nous les multinationales, est de savoir si nous payons nos impôts au bon endroit. Nous pensons que oui.")
Quelle blague ils paient des impôts la où ils créent de la valeur ! Pourtant ils en paient beaucoup dans les paradis fiscaux je crois
conclusion : ils créent beaucoup de valeurs (pour eux) dans les paradis fiscaux ;)
Depuis quand on paye des impôts dans les paradis fiscaux??? 😳
@SyMich
Bah on en paie mais moins. Vous pensez que les paradis fiscaux font cela sans attendre aucun retour ?
Apple paie des impots en France, c'est vrai... mais ils payent bien moins que ce qu'ils devraient si il ne pratiquaient pas l'optimisation fiscale.
Ca correspond à ce qu'il a dit « Apple a toujours payé des impôts là où nous créons de la valeur »
Il n'a pas dit « Apple a toujours payé les impôts que nous devions là où nous créons de la valeur »
@Grahamcoxon
"Quelle blague ils paient des impôts la où ils créent de la valeur ! Pourtant ils en paient beaucoup dans les paradis fiscaux je crois"
Il y a manifestement une incompréhension de ta part sur la nature des paradis fiscaux. Il faudrait dire qu’ils en paient pas beaucoup dans les paradis fiscaux. Ce ne serait pas un paradis fiscal s’ils payaient beaucoup d’impôts, forcément. Vala.
@Grahamcoxon
Non ils font des mouvements de fond ou des paiements dans des pays fiscalement ‘’arrangeant’’ pour payer le minimum.
Donc tu te fais rançonner deux fois : des marges faramineuses sur leurs produits, et tes impôts car il faut bien compenser le manque de recettes fiscales par le contribuable. Et là tout le monde paye, macuser ou pas.
Ce qui fait que ton Mac coûte plus cher que le prix du magasin puisqu’il faut ajouter une petite partie de tes impôts au prix d’achat !
Redoutable, non ? Trop fort ce Cook ! Messier, Ghosn, Drahi sont des small players a coté :D
Evidement ça marche aussi pour Microsoft ou Google ;)
oui.
Pitié, pas de sport, les droits sportifs sont déjà assez éclatés comme ça...
chais pas, pensez vous qu'il est possible d'améliorer la valorisation du sport ?
"Demain, les consommateurs vont avoir le choix entre plusieurs types de services de SVoD et ce qu’Apple veut, c’est compter parmi eux. »"
c'est inexact.
ce ne sont pas que des "types de services", mais des contenus culturels, artistiques ou documentaires qui sont mis derrière des enclos, tels des jeux vidéos exclusifs à une plateforme (et demain boutique/diffusion)
Cela change complètement la donne : car pour ceux et celles qui voudraient suivre la série A sur netflix, et la série Z sur apple, ça ajoute une quantité de barrières à payer. Sans qu'on puisse se dire qu'il suffit d'attendre pour que ça arrive en vidéo, puis en télé gratuite (on a pas, ici, une chronologie des médias)
Ou sinon ,ben on se passe de Peanuts et autres Rick and Morty parce qu'on misé sur Amazon pour du Tolkien.
Ces "types de services" sont même en compétition entre eux pour attirer les "talents" (producteurs, studios, réalisateurs et acteurs), puisque pour les créatifs, y a autant l'argent, la liberté de ton que l'accès au public qui comptent et auquel chaque acteurs de la diffusion tentent de justifier leur intérêt.
@oomu
Désolé de repondre comme cela, mais :
" et.. ?"
Les series n'ont jamais ete des services publics, "avant" on payait son câble opérateur pour des bouquets de chaînes rémunérées en plus par de ka pub pour certaines, ou alors c'est tnt
Now on pourra avoir des series et on devra payer plus de bouquets pour cela, ca passera par le streaming.
Les seuls malheureux ( en plus des consommateurs) ce seront les fournisseurs d'accès.
Appleveut donc etre un "autre" fournisseur de bouquet en streaming, on payera autrement que par la pub, c'est tout
Je n'ai aucun scrupule de vous répondre comme cela, mais: OUI ET ? Ben rien !
"Les series n'ont jamais ete des services publics, "avant" on payait son câble opérateur pour des bouquets de chaînes rémunérées en plus par de ka pub pour certaines, ou alors c'est tnt"
mais quel est le fucking rapport ? "service public" de série.. sans blague ? Et le Oomu n'est pas un service public aussi ? (hmm.. faudrait que j'en parle au parti communiste).
Evidemment qu'un être humain (vous) n'a besoin que de CAROTTES pour vivre (allez ! au boulot, faut travailler le sol)
Pour expliquer mon texte : je me fous totalement des jugements moraux, éthiques, idéologiques, de savoir si c'est le bien le mal, si on a besoin de regarder 36 séries de bisounours ou de vivre dans une cage ou devant un mur blanc.
je dis simplement : Timmy se fout de notre gueule, parce que blablablablabla...
Je n'ai jamais payé de cablo-opérateurs (bouerkl), vous devez confondre le Oomu avec un tragique et désespéré habitant de cette contrée lointaine vaguement unifiée, les Etats Unis.
"Appleveut donc etre un "autre" fournisseur de bouquet en streaming, on payera autrement que par la pub, c'est tout"
exactement. Sauf que je paie jamais par la pub (je la filtre).
@oomu
Ben si, ya pas 60 méthodes pour regarder une serie tv / un film depuis qu'ils existent :
- taxes audiovisuelles
- publicité
- abonnement / location / achat
- recup illégale
Oomu, il n'existe qu'une seule possibilité que vous ayez échappé a un des 4 points au-dessus, c'est de ne jamais avoir regardé une seule serie ou film de votre vie
Ce qui, meme en tenant compte de vos origines extraterrestres 👽 n'est pas envisageable ( meme eux ont vu au moins Star wars, pour rigoler)
hahaaa ! vous avez oublié la vidéo (dvd, br, vhs.. mouais "achat" )
Par ce seul oubli, tout mon propos est validé et j'ai gagné, je pars la tête haute, drapé dans ma cape (aie je vois plus rien! mauvais choix de mot !!)
Je souhaitais surtout insister sur l'idée que je ne faisais que railler le propos de Timmy. Bien sur qu'il faut payer le travail fourni.
Je reste convaincu qu'Apple se berce d'illusions, que le public (ni les créatifs) n'arrivera pas à suivre et qu'il y aura concentration ou abandon.
On m'a rétorqué qu'il suffit de jongler entre les abonnements au fil des visions de série. Mais c'est pour cela que Disney ne fera pas comme Netflix et sortira ses séries sur la longueur. Et que nombre d'analystes pensent que Netflix ne pourra pas continuer sa pratique de sortir les saisons en une journée.
Le but sera de vous maintenir abonné sur la durée, pas de vous permettre de regarder en masse puis de partir.
Bon, cela ne dit toujours pas qui je dois payer pour avoir une dose de Tolkien... ha c'est amazonou.
@oomu
Moi je suis paralysé
Halloween
Star Wars
Bye !
Un tank
Un mug
SSD
...
@oomu
Je suis bien d’accord avec toi.
@Oomu
Les rivières sont tes amies. On a jamais été aussi heureux qu'en partageant ! 😉
@oomu
Sérieusement ??
Ça prends 10 minutes de se désabonner d’un service pour se réabonner à un autre...
Tu le fais dans le métro et c’est réglé.
Oui sérieusement !
@oomu
Bah tant pis pour toi écoute !
@armandgz123
"Tu le fais dans le métro et c’est réglé."
C’est loin d’être évident. Je dois faire 70 km pour trouver un métro et me désabonner avec ta méthode.
:)
@fte
Roh !
@oomu
c clair qu’ils auront surtout le choix de payer xx abonnements à chaque gafa. bravooO 👏🏽
Bien sûr M. Cook qu’il y a une guerre du streaming !
@oomu
"Ou sinon ,ben on se passe de Peanuts et autres Rick and Morty parce qu'on misé sur Amazon pour du Tolkien. "
Ça s’appelle la frustration. Et normalement, on apprend à la gérer à la maternelle.
j'ai sauté la maternelle ! Okay ? :)
#FrustrationInside
"une expérience de curation"
Moi pas comprendre ?
🤨
@raoolito
"curation"
Si c’est ce mot que tu ne comprends pas il te suffit d’en chercher la définition. Si c’est « expérience de » je ne peux sans doute rien pour toi par écrit se serait trop long je n’en ai pas le courage, désolé.
@raoolito
« La curation de contenu (étymologiquement du latin curare : prendre soin et de l'anglais content curation ou data curation) est un néologisme en français correspondant à une pratique qui consiste à sélectionner, éditer et partager les contenus les plus pertinents du Web pour une requête ou un sujet donné. »
soyons honnête, je l’ai su dès que j’ai demandé à Antidote.
MAIS
1- c’est une traduction de l’anglais qui est à proscrire
2-surtout, je doute enormement que tous se soient précipité sur le traducteur ou le sache par avance.
je voulais mettre en avant le fait que ce mot méritait mieux, comme "modération de contenu, édition de contenu, organisation de contenu ou conservation de contenu. »
c’est tout
La traduction la plus proche de la réalité serait plutôt "mise sous curatelle de nos clients" (dont on veillera en amont qu'ils ne puissent accéder à n'importe quelle information non filtrée/nettoyée/validée par nos soins au préalable)
@Osei Tutu
"du latin curare"
Pardon, mais le curare dont il s’agit ici est évidemment l’alcaloïde à effet paralysant, bloquant de manière réversible le récepteur nicotinique de l’acétylcholine, et qui, lorsqu’il ne sert pas à tuer, est utilisé en pharmacologie pour faciliter l’intubation.
C’est ainsi qu’il faut appréhender la curation : ça paralyse, ça tue ou ça intube.
@occam
Nous voilà tous curés intubés à l'insu de notre plein gré :)
@occam
"C’est ainsi qu’il faut appréhender la curation : ça paralyse, ça tue ou ça intube."
Je ne trouve rien à objecter. Cette démonstration est stupéfiante.
toi y en a utiliser dictionnaire
Dictionnaire être trouvé dans Internet aussi
Dictionnaire avoir définition de Dictionnaire
Dictionnaire bon ami du Oomu. Lui tout appris dedans. Sauf conjugaison. Dictionnaire pas apprendre conjuguer :(
@oomu
Nan mais comme dit plus haut, je pense pas qu'un mot dérivé directement de l'anglais et a éviter en français puisse avoir sa place au milieu d'un texte parfaitement clair du reste.
"Si vous comprenez pas, allez ouvrir un dico !" N'est heureusement pas une réponse acceptable
wow dié, et dire que je pensais exagérer quand je partais en guerre contre les anglicismes à la con balancés en pleine figure par les entreprises feignantes de Californie et reprises en choeur par des français sans imagination et sans la moindre goutte d'amour.
Au moins "curation" a été françisé un petit peu.
Mais je vous l'accorde, Sélection, choix éditorial, Modération, etc marchent tout aussi bien.
Votre commentaire a ravivé ma Flamme ! Plus jamais un seul "Black Friday" et autres "je loote" ne passeront !
@oomu
Ah merde...
Parce que "chouette demain c'est Vendredi noir" ça prend une autre tournure tout de suite...
il fallait y penser avant de me rappeler qu'il est légitime de refuser des mots de trop ;)
On dira "chouette demain c'est le Vendredi des soldes" ou "Chouette demain c'est la Foire à La SurConsommation Débridée pour Remplir l'Abime de Mon Coeur Dévasté". Tout de suite ça semble épique.
-
un truc ne cesse de m'étonner. Effectivement, sur le web 2.0 (et jeux vidéo), les gens ne cessent de reprendre les mots anglais, voir littéralement les phrases en américains des posters et pubs des entreprises américaines.
Alors qu'à l'inverse dans les années 80s, avec les jeux de rôle papier, pourtant issus eux aussi de la culture américaine (et pas qu'un peu), tout l'argot et expressions furent francisées ou inventées sur place, "sac à pv", "grosbills", "campagne", "porte-monstre-trésor", etc.
Sur ce, je retourne franciser les noms d'attaques de Street Fighter ("poing du draaagon !" )
@oomu
😅
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