Logoist 2 [2.0 / Démo – Français – 26,99 € (promo à 13,99 €) – OS X 10.9 – 123 Mo - Synium Software GmbH] est un utilitaire qui permet d’agrémenter du texte, pour en faire un titre accrocheur, mais aussi un logo ou même une carte de visite ou de vœux. Avec cette mise à jour majeure, le logiciel gagne en polyvalence, avec plusieurs fonctions avancées héritées des utilitaires de dessin vectoriel, ou des éditeurs d’images.

Ainsi, on peut grouper plusieurs éléments ensemble et ainsi retrouver le principe des calques, avec des styles appliqués à tous les éléments inclus au groupe. Logoist 2 gagne aussi tous les outils habituels pour les opérations booléennes sur les vecteurs : on peut les additionner, les soustraire et les combiner. Le volet vectoriel a été gonflé, avec la possibilité d’exporter le résultat sous la forme d’un vecteur que l’on pourra encore modifier dans un autre logiciel.

Profitant de la mise à jour, l’éditeur a aussi développé une nouvelle interface utilisateur, complètement repensée. Logoist 2 est livré avec des modèles qui permettent de créer rapidement une carte d’anniversaire ou de Noël, mais aussi des objets nouveaux que le logiciel ne savait pas créer, comme des collages photos. Cette version enrichit aussi le catalogue de filtres et d’effets, les fonctions d’alignement et de distribution intelligente des objets ont été améliorées et le logiciel gère mieux les processeurs avec plusieurs cœurs.

Réservé à OS X Mavericks (mais déjà compatible avec OS X Yosemite), Logoist est traduit en français. Vous pouvez découvrir le logiciel avec la version de démonstration proposée par l’éditeur sur son site. Ensuite, vous pouvez bénéficier d’une promotion : le logiciel est vendu moitié prix jusqu’au mois de novembre. Le logiciel n’est vendu que sur le Mac App Store.

La Semaine sur le Climat n'est pas seulement l'occasion de manifestations et de rencontres entre les dirigeants de la planète : le monde de l'entreprise est également invité à s'exprimer et à donner ses solutions pour lutter contre le changement climatique. Ce lundi, Tim Cook a pu présenter l'action d'Apple dans ce sens, et l'on sait que l'environnement est un des piliers de la communication institutionnelle de l'entreprise depuis l'installation de Cook à sa tête.

Apple veut se présenter comme « l'un des cailloux dans l'étang qui crée l'ondulation ». Le constructeur n'a pas lésiné, avec des centres de données utilisant 100% d'énergie renouvelable, ou encore un futur Campus 2 qui a vocation à devenir « un de bâtiments les plus "verts" sur la planète ». Cette volonté s'incarne également dans les produits (un exemple tout récent : les iPhone 6 sont beaucoup plus aisés à ouvrir, ce qui facilite le remplacement de la batterie et le recyclage).

Tim Cook a expliqué que l'industrie ne devait pas choisir entre l'économie et l'environnement. « Si vous innovez et que vous placez la barre haut, vous trouverez un moyen de satisfaire les deux. Et c'est ce que vous devez faire, parce que sur le long terme, les conséquences de ne pas s'occuper de l'environnement sont énormes ». Apple n'a pas choisi : c'est l'un et l'autre. « Si nous avions pris ce type d'approche pour nos produits, nous ne pourrions jamais obtenir un bon compromis. La vérité, c'est que vous ne pouvez pas faire de compromis ».

Évidemment, tout cela représente des efforts, notamment pour pousser la chaîne d'assemblage et les sous-traitants à intégrer de nouvelles méthodes de travail. « Il faut se relever les manches. Ce n'est pas ésotérique ou de la théorie, c'est du vrai travail et de vrais projets ».

Ce que les entreprises devraient également prendre en compte au moment de se lancer dans l'amélioration de leurs pratiques environnementales, c'est la manière de communiquer. Apple en a fait l'amère expérience : le statut du constructeur, voué aux gémonies par Greenpeace et les associations de protection de l'environnement, a rapidement évolué lorsqu'il s'est décidé à faire connaître ses initiatives en la matière (tout en améliorant ses pratiques).

« Je pense que les entreprises doivent communiquer, aux consommateurs, sur ce qu'ils vendent, et elles doivent le faire sur l'intégralité de l'empreinte [de leurs produits], pas seulement sur la partie qui les mettent en valeur. Et je pense que si vous le faites, je suis un optimiste, les consommateurs sont intelligents et la vaste majorité du monde veut faire ce qui est bon, alors je pense que la transparence va modifier le comportement des consommateurs », estime le CEO d'Apple. Un vœu pieux ? Sans doute… « mais si suffisamment d'entreprises commencent à agir ainsi, je pense que les consommateurs n'hésiteront pas à acheter ces produits [respectueux de l'environnement] ».

Apple vient de mettre en ligne une mise à jour de Mail pour OS X Yosemite. Recommandé à tous les utilisateurs (les développeurs et les beta-testeurs), cette petite mise à jour (moins de 20 Mo) apporte un correctif à un bug susceptible d'empêcher la rédaction d'un message. On n'en sait guère plus pour le moment. OS X Yosemite, toujours prévu pour le mois d'octobre, est actuellement disponible en DP8 pour les développeurs, et DP3 pour ceux qui aiment essuyer les plâtres (lire : OS X Yosemite DP8 et bêta 3 : Apple prépare la version finale).

L'USB Type C est le câble à tout faire. Non seulement il est réversible et bien plus petit que ses prédécesseurs (ce dont Apple pourrait faire un bon usage pour son futur MacBook Air de 12 pouces), mais encore prend-il désormais en charge DisplayPort. VESA, en partenariat avec l'USB 3.0 Promoter Group, a annoncé que le Type C comporte une fonction DisplayPort Alternate Mode (Alt Mode) : dans les faits, il offre des performances audio et vidéo à l'égal de celles de DisplayPort, jusqu'en 4K en définition native (4 096 x 2 160) à 60 Hz.

Et il ne s'agit là que de l'implémentation du DisplayPort 1.2a : la norme 1.3 récemment finalisée assure le support du 5K (5 120 x 2 880). Le DisplayPort Alt Mode peut prendre en charge des adaptateurs pour les ports DisplayPort, HDMI, DVI et VGA. Parmi les autres fonctions vantées par le VESA pour l'USB Type C, on trouve également la distribution d'une puissance de 100 watts et le transport des données en SuperSpeed USB (l'USB 3.1, soit 10 Gb/s, l'équivalent du Thunderbolt de première génération).

L'USB Type C avec tous ses avantages intéressera t-il Apple ? La rumeur du futur MacBook Air équipé de ce nouveau connecteur semble aller dans ce sens.

L'auteur de la rumeur selon laquelle le MacBook Air de 12 pouces serait proposé dans les trois coloris de l'iPhone récidive aujourd'hui. Jack March, qui assure disposer d'une source fiable, écrit que le futur portable sera bel et bien plus fin que les modèles actuels, qui ne sont déjà pas bien épais. Ce nouveau design n'irait pas sans sacrifice : Apple pourrait ainsi abandonner le port USB standard pour remplacer par un USB de Type C, c'est à dire la version réversible dont les spécifications finales ont été annoncées mi août. Apple fournirait un adaptateur afin d'assurer la compatibilité avec les périphériques USB traditionnels.

Ce port USB Type C a été le déclencheur d'une vague de rumeurs annonçant le lancement par Apple de son propre connecteur USB réversible, que le constructeur était censé lancer en même temps que l'iPhone 6… mais comme on l'a vu, la Pomme n'en a rien fait. Cela n'a pas empêché des fabricants d'accessoires de se lancer sur ce créneau avec plus ou moins de bonheur (lire : Prise en main du câble USB/Lightning réversible).

Plus intriguant encore, la source de March indique qu'Apple aurait aussi remisé le port MagSafe : la batterie du MacBook Air nouveau cru se rechargerait « d'une manière différente » que les Mac actuels. L'ultra-portable n'embarquerait plus de ventilateur (ce que promettent les processeurs Core M qu'Apple devrait utiliser). Les contours autour de l'écran seraient eux bien plus fins, « similaires à la gamme MacBook Pro Retina ». Les marges autour du clavier seraient elles minimes, elles ne laisseraient « pratiquement aucune place sur les côtés ». Le haut-parleur, situé au-dessus du clavier, se montrerait bien visible. Ce MacBook Air de 12 pouces est prévu pour mi 2015.

Officiellement, seule une poignée d’apps Android peut tourner sur Chrome OS. Officiellement seulement : de petits malins ont mis au point un outil en JavaScript capable de faire tourner n’importe quelle application Android sous Chrome OS. D’ici à ce qu’il soit adapté au navigateur Chrome, il n’y avait qu’un pas, un pas qui a été franchi aujourd’hui — ce qui veut dire que l’on peut faire tourner des apps Android sur OS X, Windows et Linux.

Il faut toutefois en passer par une conversion des paquets d’application Android en extensions Chrome, une manipulation pénible qui impose de nombreux prérequis techniques. Des utilisateurs de Reddit s’échangent toutefois des extensions toutes prêtes sur un forum dédié, et maintiennent une liste des applications compatibles au fur et à mesure de leurs travaux.

Car toutes les applications ne sont pas compatibles : FrAndroid explique que certaines refusent de se lancer, et que celles qui se lancent ont tendance à planter. Rien n’interdit de penser qu’à mesure que Google améliorera son système sur Chrome OS, les bidouilleurs l’amélioreront sur Chrome, jusqu’à rendre la manipulation plus simple que l’installation d’un émulateur comme Genymotion.

Lorsqu’on évoque Tim Cook à la tête d’Apple, l’ombre de Steve Jobs n’est jamais loin. Pour son successeur, le lancement de l’Apple Watch n’était pas un événement anodin. En filigrane, cette présentation répondait à la question suivante : Apple peut-elle innover sans son co-fondateur à sa tête ?

D’où notre question en fin de semaine dernière : estimez-vous que Tim Cook s’est définitivement imposé comme le patron d’Apple ? A cette question, vous répondez oui à 69 %. 21 % pensent l’inverse et 11 % n’ont pas d’opinion.

Cette semaine, nous vous demandons si vous formatez régulièrement votre Mac. Pour voter, c’est par ici !