AMD annonce les Ryzen 9000 (Zen 5) au Computex

Pierre Dandumont |

AMD a profité du Computex, un grand salon taïwanais, pour présenter la nouvelle version des Ryzen. Les Ryzen 9000 succèdent donc aux Ryzen 7000 et passent de Zen 4 à Zen 5. Depuis quelques années, AMD a le vent en poupe et la nouvelle génération devrait donc encore amener des gains importants face aux générations précédentes.

Une gamme complète (image AMD)

Les Ryzen 9000 (nom de code Granite Ridge) gardent le même type de structure qui a fait le succès d'AMD depuis Zen 2. Un processeur est donc composé de différents blocs physiques (les chiplets) qui comprennent soit des cœurs pour le CPU, soit toute la partie plus secondaire, comme le GPU intégré (qui sert juste à afficher le bureau de Windows) ou le contrôleur mémoire. Cette partie reste en 6 nm (par TSMC) alors que les cœurs CPU, eux, passent en 4 nm.

AMD a annoncé avoir amélioré l'IPC (instructions par cycle, c'est-à-dire l'efficacité du processeur) et amélioré la bande passante des différents niveaux de cache. Si vous trouvez que c'est proche de ce qu'Arm a annoncé récemment, vous avez raison : il s'agit du nerf de la guerre dans ce domaine.

Arm annonce sa gamme de CPU 2024, pour les puces de 2025 : Cortex X925 et A725

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AMD a notamment amélioré les performances avec les instructions AVX-512, utilisées dans certains calculs liés à l'IA. Alors que les Ryzen 7000 traitent les vecteurs de 512 bits sous la forme de deux vecteurs de 256 bits (et donc en deux cycles), les Ryzen 9000, eux, travailleront directement en 512 bits avec un gain de performances évident à la clé. Dans l'ensemble, AMD annonce un gain de 16 % par rapport à Zen 4, ce qui est dans la moyenne haute pour une nouvelle architecture. Compte tenu des avancées annoncées, AMD devrait donc proposer des puces aussi rapides que l'Apple M4, du moins sur les performances. Comme chez Arm, par ailleurs, AMD n'intègre pas encore de NPU dans ses puces haut de gamme, contrairement à Apple.

AMD explique que l'architecture a été améliorée (image AMD)

Comme toujours, la marque a d'abord annoncé les puces les plus performantes de la gamme. Le principal est évidemment le Ryzen 9 9950X : il intègre seize cœurs avec une fréquence maximale de 5,7 GHz, 64 Mo de cache de niveau 3 et un TDP de 170 W. Le Ryzen 9 9900X se contente de douze cœurs et 5,6 GHz, contre huit cœurs et 5,5 GHz pour le Ryzen 7 9700X. Enfin, le Ryzen 5 9600X possède six cœurs et une fréquence maximale de 5,4 GHz, pour 65 W de TDP.

Le Ryzen 9 9950X est évidemment présenté comme le meilleur processeur pour les joueurs, et il ne sera probablement détrôné que quand AMD proposera une variante 3D équipée d'une puce de mémoire cache supplémentaire. Si AMD garde une compatibilité intéressante — les Ryzen 9000 vont fonctionner sur les cartes mères dédiées aux Ryzen 7000 en AM5 —, une nouvelle gamme de chipsets (la série 800) amène tout de même deux choses. Premièrement, les cartes mères intégreront obligatoirement de l'USB4, alors que la norme est optionnelle (mais courante) sur la série 600 actuelle. Deuxièmement, le Wi-Fi 6E va laisser sa place au Wi-Fi 7. Ce n'est pas directement lié au chipset (le Wi-Fi n'est pas intégré) mais probablement une obligation pour les constructeurs.

C'est mieux qu'Intel dans les jeux selon AMD.

Dans tous les cas, il s'agit d'une évolution intéressante de la part d'AMD, qui ne se repose pas sur ses lauriers. La date de sortie des nouvelles puces est connue (juillet 2024) mais pas le prix, malheureusement. Il faut tout de même rappeler que si les puces dédiées aux PC de bureau représentent le fer de lance de la gamme, la majorité des ventes s'effectue maintenant sur les PC portables. Mais comme toujours avec AMD, il y a un petit décalage entre les Ryzen desktop et les versions mobiles, qui se basent sur des concepts différents.

Deux nouveaux Zen 3

En parallèle, AMD a aussi annoncé deux nouveaux processeurs parfaits pour une mise à jour, les Ryzen 7 5800XT et Ryzen 9 5900XT. Prévus pour les supports AM4 — qui a été employé depuis les premiers Ryzen de 2017 —, ils devraient normalement être proposés à un prix faible pour que ceux qui ont encore un PC à base de DDR4 puissent mettre à jour leur processeur. Le Ryzen 7 5800XT est une mise à jour très mineure : il garde le même TDP (105 W) et le même nombre de cœurs (huit) que la version classique (Ryzen 7 5800X) mais monte la fréquence de 100 MHz, soit 2,3 % (de 4,7 GHz à 4,8 GHz en pointe). Le second est plus intéressant : alors que le Ryzen 9 5900X est un modèle doté de douze cœurs, le Ryzen 9 5900XT en possédera seize. Le TDP reste le même (105 W), tout comme la fréquence maximale (4,8 GHz) mais la fréquence de base, elle, diminue de 3,7 GHz à 3,3 GHz. Ce n'est normalement pas un problème sur un système bien refroidi. Si les prix sont compétitifs, les deux puces pourraient donc trouver le succès.

Une mise à jour pour l'existant (image AMD)

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Pour Qualcommn, Justin Long repasse une tête par la fenêtre

Florian Innocente |

Depuis qu'ont été annoncés les nouveaux portables Windows "Copilot+" sur une architecture Qualcomm, la comparaison avec Apple bat son plein. Tantôt elle vient de Microsoft, tantôt de son partenaire qui fournit le processeur de ces machines décrites comme aussi puissantes et économes que leurs concurrentes Apple Silicon.

Pour enfoncer le clou, Qualcomm a fait appel à un symbole de l'ancienne guéguerre entre Apple et Microsoft : l'acteur Justin Long. C'est lui qui jouait le rôle du Mac dans un duo formé avec John Hodgman, le visage du PC, à qui tous les malheurs arrivaient. Long sert de conclusion au keynote de Qualcomm qui vient de se tenir à Taïwan.

« Les temps changent » clame Long dans cette petite vidéo où on le voit commander un PC fonctionnant sur puce Qualcomm. Il veut quitter macOS où il est bombardé de notifications toutes aussi nombreuses que différentes.

C'est un peu le leitmotiv de la communication de Qualcomm. En introduction à ce keynote, une utilisatrice d'un PC est aussi assaillie de notifications de Windows qui disparaissent par la grâce d'un changement de processeur, sans plus d'explications.

Ce n'est pas la première fois que Justin Long reprend son rôle à l'envers. En 2021, Intel l'avait recruté pour vanter les mérites des PC et, à l'époque aussi, il s'agissait de s'attaquer aux machines Apple Silicon…

Justin Long revient comparer Mac et PC… mais à l

Justin Long revient comparer Mac et PC… mais à l'envers 🆕

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Aux États-Unis, le Mac sur la troisième marche du podium derrière HP et Dell

Félix Cattafesta |

Dell et HP se disputent la couronne du numéro 1 sur le marché du PC aux États-Unis. Le premier a presque 30 % au niveau des ordinateurs de bureau, là où le second atteint les 32 % sur le domaine du PC portable. Et le Mac ? Selon une nouvelle étude mise en ligne par AltIndex et concernant 10 000 utilisateurs d’ordinateurs américains, Apple se place en troisième position. 23 % des interrogés ont un Mac de bureau, et 28 % un Mac portable.

Les marques d’ordinateurs dans les foyers américains (en pourcentage). En bleu, les ordinateur de bureau, en gris, les PC portables. Source : Statista, Gartner.

Côté PC portables, les clients américains favorisent donc les machines HP (32 %) avant de se tourner vers un Mac (28 %). Dell se place 3e avec 24 % du marché. Il est en revanche premier pour ce qui est du PC de bureau (29 %), suivi par HP (27 %) et Apple (23 %). Si 40 % des utilisateurs américains interrogés ont un ordinateur de bureau chez eux, ils sont 68 % à avoir un ordinateur portable.

On observe ensuite une grande différence entre ce trio et les autres marques. Microsoft et Acer dépassent la barre des 10 % dans les deux domaines, tandis qu’Asus affiche 9 % pour les portables comme pour les machines de bureau. Lenovo se positionne en dernier, avec tout de même un bon score pour ses PC portables (12 %).

AltIndex donne également des chiffres sur quelques autres marchés. Côté ordinateur de bureau, le Royaume-Uni compte 23 % de propriétaires de Mac, soit le même pourcentage qu'aux États-Unis. L'Australie et les Pays-Bas suivent avec respectivement 20 % et 16 % d'utilisateurs. C’est beaucoup plus qu’en France, où il n’en est décompté que 14 %. La Suisse reste le premier marché pour les ventes de Mac, où près d'un quart des personnes interrogées ont un ordinateur de bureau Apple au sein du foyer.

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Comment en finir avec les SMS publicitaires et frauduleux📍

Article sponsorisé |

Une escroquerie par SMS gagne du terrain depuis quelques temps. Les messages trompeurs prétendent être de services de livraison et poussent les destinataires à cliquer sur un lien pour soit-disant reprogrammer l'acheminement d'un paquet, prétendument trop grand pour leur boîte aux lettres.

Vous avez reçu un SMS indiquant l'échec de la livraison d'un colis qui vous invite à reprogrammer via un lien ? Ne cliquez pas : c'est une mauvaise tentative d'escroquerie et maleuresement, ces textos deviennent monnaie courante.

En réalité, aucun colis n'existe. Les escrocs visent simplement à dérober vos données personnelles, comme vos informations bancaires ou vos mots de passe, ou à introduire un virus sur votre appareil.

Voici comment identifier un SMS d'hameçonnage :

  • Aucune référence à une entreprise ou une marque de livraison spécifique dans le message.
  • L'expédition à partir d'un numéro de téléphone mobile, méthode rarement utilisée par des services de livraison authentiques.
  • Une URL douteuse sans nom de domaine clair.
  • Le marquage du SMS comme spam par votre appareil mobile.
  • Pas d'avis de passage et la mention d'un colis inattendu.

Dans le contexte des achats en ligne ou des inscriptions à des services, notre numéro de téléphone est souvent partagé. Bien que ces informations devraient être sécurisées, elles peuvent fuiter et être récupérées par des courtiers en données qui les revendent, accroissant ainsi le risque de démarchages et d'escroqueries.

Que faire si vous recevez un SMS frauduleux ?

N'interagissez surtout pas avec le lien proposé ! Ce dernier peut vous mener à un site malveillant, conçu pour subtiliser vos informations personnelles ou bancaires.

Signalez ces SMS frauduleux en envoyant un message au 33700. Ce service gratuit aide à bloquer l'expéditeur et à protéger d'autres utilisateurs. Vous pouvez aussi vous inscrire sur Bloctel, même si d'expérience, les résultats sont très mitigés.

Soyez vigilant et utilisez votre jugement. Les vrais services de livraison ne demanderont jamais de paiement ou de détails personnels par SMS : dans le pire des cas, le livreur vous appellera directement, ou vous laissera un message vocal, un avis de passage, ou un e-mail (ou les trois).

En cas de doute, contactez toujours directement le service de livraison pour confirmer la légitimité du message.

Protégez-vous contre les arnaques en ligne avec Incogni

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DisplayBuddy améliore son contrôle des écrans connectés de Samsung depuis le Mac

Nicolas Furno |

DisplayBuddy (environ 21 €) permet de contrôler depuis macOS les paramètres de moniteurs qui ne sont pas conçus par Apple, comme la luminosité de la dalle, le volume des haut-parleurs et bien d’autres encore. Sa dernière version améliore cette possibilité pour les moniteurs connectés de Samsung, dont les M5, M7 et le M8 que nous avions testé sur MacGeneration. Comme les autres marques d’écrans, on pouvait déjà ajuster quelques paramètres par le biais des protocoles plus ou moins standards qui reposent sur les câbles (DCC), mais la mise à jour ajoute plusieurs options.

Le M8 de Samsung fait partie des moniteurs désormais pris en charge par DisplayBuddy. Image MacGeneration.

Comme le détaille le guide d’installation, le Mac et l’écran doivent être sur le même réseau Wi-Fi ou du moins le même réseau local pour communiquer, puisque l’idée est de connecter le Mac au système d’exploitation Tizen des écrans connectés conçus par Samsung. Il faudra saisir l’adresse IP de l’écran dans DisplayBuddy, puis donner les autorisations nécessaires sur le moniteur. Une fois que tout est en place, vous pourrez ajuster le volume de l’écran, ce qui n’était pas possible auparavant, et même utiliser un pavé de contrôle virtuel pour naviguer dans Tizen.

Pour le dire autrement, ce qui nécessitait jusque-là la télécommande fournie avec le moniteur peut se faire depuis macOS. Cela concerne aussi l’extinction de l’écran et même la sélection de la source, ce qui peut servir à basculer l’affichage sur un autre appareil relié à lui, sans quitter son Mac. Les créateurs de DisplayBuddy ajoutent que cela ne se limite pas aux écrans destinés aux ordinateurs de Samsung, cela fonctionnera aussi avec ses téléviseurs à partir de 2019.

Autre nouveauté récente, cette fois destinée aux utilisateurs de MacBook Pro récents. DisplayBuddy peut activer un mode « UltraBright », qui débloque la luminosité maximale de la dalle, c’est-à-dire 1 600 nits, et permet de l’utiliser en permanence. En temps normal, cette luminosité extrême est réservée aux contenus HDR. Elle peut être utile dans certains cas, notamment en utilisation extérieure, même s’il faut sans doute accepter une baisse importante de l’autonomie et éviter de rester sur ce mode trop longtemps au risque d’abimer la dalle.

DisplayBuddy est vendue pour un Mac à environ 21 € TTC, avec des options pour gérer deux et même cinq Mac. On peut aussi passer par Setapp et bénéficier de l’app dans le cadre de l’abonnement. Il n’y a malheureusement pas de démo, même si les développeurs s’engagent à vous rembourser sans discuter dans les sept jours qui suivent un achat. L’app nécessite macOS High Sierra (10.13) au minimum.

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IA générative : et si Apple prenait à contrepied la concurrence sur la photo ?

Olivier Busuttil |

Pomme d'avis, c'est la rubrique « édito » de MacGeneration dans laquelle la rédaction vous partage son point de vue sur un sujet d'actualité. Alors que la montée en puissance de l’IA générative questionne de plus en plus notre rapport aux images, notre pigiste Olivier se demande si Apple n’a pas une carte différente à jouer dans la photographie.

En 2024, l’intelligence artificielle est difficilement dissociable de la photo quand il s’agit de smartphone, surtout quand on parle de modèles haut de gamme. De la prise de vue à l’édition, l’IA va sans doute s’imposer dans iOS avec autant de force que dans le Galaxy S24 Ultra ou le Pixel 8 Pro.

Samsung et Google ont tous deux intégré des fonctionnalités assez remarquables, offrant aux néophytes la liberté de manipuler leurs clichés à un niveau encore jamais atteint. Dans ce contexte, Apple est attendue au tournant. Mais au moment où chaque photographie devient questionnable, on peut se demander si la Pomme ne devrait pas profiter de l’occasion pour proposer une solution différente.

Sur le Galaxy S24 Ultra, une fonction d’édition retire les reflets disgracieux à la demande. Image Samsung.

Une drôle d’époque !

L’intelligence artificielle en général et l’IA générative en particulier sont sur toutes les lèvres technophiles en ce moment. Chez les photographes, certains sont enthousiastes, d’autres ne cachent pas leurs inquiétudes. Les premiers se réjouissent de disposer d’aides à la prise de vue (reconnaissance du sujet, de scène…), d’une assistance à la retouche (reconnaissance des plans, des éléments…) ou encore d’un moteur de recherche plus avancé. Celui de l’iPhone ne fonctionne d’ailleurs pas trop mal, même si ses capacités d’analyse et d’interprétation restent rudimentaires. Avec son moteur CLIP, OpenAI a montré qu’un nouveau palier pouvait être franchi.

La bibliothèque de l’iPhone autorise une recherche via des mots-clés. À gauche : résultats de la recherche avec le mot « falaise ». Au centre : l’iPhone propose de rechercher des photos identiques ou des infos complémentaires sur le web. À droite : les six suggestions de la recherche complémentaire proposent bien des falaises, mais le système ne reconnait pas Bonifacio ! Dommage, c’est pourtant ce que j’espérais. On compte sur iOS 18 pour améliorer tout ça.

Les plus pessimistes, sensibles aux effets pervers d’une IA générative généralisée et normalisée, s’alarment de voir disparaitre définitivement le lien ombilical qui, jadis, reliait le sujet photographié et la représentation que la photographie en offrait — même si l’Histoire de la photographie a été jalonnée de trucages bien avant Photoshop ou Midjourney.

Les deux camps se rejoignent sur les points suivants : les outils d’édition, de retouche, de truquage n’ont jamais été aussi répandus, puissants et faciles à utiliser. Les moyens de partager ce qui est tiré de ces outils sont plus nombreux et viraux que jamais. Quand, depuis quelques années déjà, un esprit critique affuté s’imposait devant le moindre cliché troublant au sein d’un réseau social, voilà que les smartphones de Samsung et de Google embarquent nativement de quoi faire croire, photo à l’appui, qu’il n’y a pas un seul chantier en cours dans les rues de Paris.

Petite démo de ce que le Galaxy S24 est capable de faire en matière d’édition photo quand il est aidé par son IA.

Samsung et Google donnent le ton

AZERTY, QWERTY… Quelle disposition de clavier utilisez-vous ?

Stéphane Moussie |

Vous connaissez la nouveauté d’iOS 16 préférée de Steve Wozniak ? L’ajout d’un clavier virtuel Dvorak. Cette disposition regroupe les lettres les plus utilisées en anglais sur la ligne centrale pour minimiser les déplacements des doigts et ainsi permettre de taper plus rapidement.

Image MacGeneration

Il existe aussi des dispositions alternatives pensées pour le français, comme le Bépo, l’AZERTY « amélioré » ou le petit dernier Ergo-L. Si Apple ne fabrique aucun clavier de ce type, d’autres s’en chargent, et on peut compter également sur les modèles personnalisables ainsi que sur de bêtes autocollants pour s'éloigner de l'AZERTY.

Quelle disposition de clavier utilisez-vous ? Si vous en utilisez plusieurs, votez pour celle que vous utilisez le plus.

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