Samsung conteste les accusations de travail de mineurs
Samsung a rapidement répondu aux nouvelles allégations sur le travail de mineures chez l'un de ses sous-traitants. Il s'agissait de l'entreprise chinoise HTNS Shenzen qui assemble les coques de Galaxy S III, Galaxy Nexus et du Samsung GT-I9500 (lire Samsung : une nouvelle usine chinoise pointée du doigt)
Samsung explique qu'a eu lieu un entretien - en présence d'un représentant de l'ONG China Labor Watch (CNW) - avec l'une des trois salariées supposées âgées de moins de 16 ans. Celle-ci a affirmé à ses interlocuteurs avoir plus de 18 ans.
CNW avait parlé de l'utilisation de cartes d'identité contrefaites pour tromper les contrôles effectués à l'embauche. Il pointait aussi le cas pour l'une de ces jeunes filles d'une carte d'identité dont la photo montrait une autre personne que la photo présente sur les papiers de son embauche.
A propos des deux autres salariées identifiées par CLW, Samsung répond que leurs papiers avaient été vérifiés par un système électronique. Ces deux personnes ont toutefois été renvoyées après la publication du rapport de CLW le 14 décembre, empêchant une rencontre pour tirer au clair leur situation.
Les questions de dépassements horaires et du paiement insuffisant des heures supplémentaires qui avait été signalés dans le rapport de l'ONG ne sont pas abordées dans cette réponse. Samsung affirme que 90% des pièces fournies pour ses produits proviennent d'usines dont il est propriétaire et que celles-ci répondent à des normes internationales (ce qu'avait également contesté CLW pour certaines de ces usines).
« S'agissant de la petite partie des pièces qui sont fournies par des sociétés extérieures, nous avançons aussi vite que possible pour corriger les problèmes relevés par nos propres enquêtes » écrit le groupe. Samsung rappelle qu'un programme d'audit mené de manière indépendante est prévu durant l'année 2013 et au-delà (lire Samsung s'intéresse aux conditions de travail de ses sous-traitants chinois ) et que les sous-traitants qui utiliseraient de la main-d'oeuvre mineure verraient leurs contrats rompus.
Samsung explique qu'a eu lieu un entretien - en présence d'un représentant de l'ONG China Labor Watch (CNW) - avec l'une des trois salariées supposées âgées de moins de 16 ans. Celle-ci a affirmé à ses interlocuteurs avoir plus de 18 ans.
CNW avait parlé de l'utilisation de cartes d'identité contrefaites pour tromper les contrôles effectués à l'embauche. Il pointait aussi le cas pour l'une de ces jeunes filles d'une carte d'identité dont la photo montrait une autre personne que la photo présente sur les papiers de son embauche.
A propos des deux autres salariées identifiées par CLW, Samsung répond que leurs papiers avaient été vérifiés par un système électronique. Ces deux personnes ont toutefois été renvoyées après la publication du rapport de CLW le 14 décembre, empêchant une rencontre pour tirer au clair leur situation.
Les questions de dépassements horaires et du paiement insuffisant des heures supplémentaires qui avait été signalés dans le rapport de l'ONG ne sont pas abordées dans cette réponse. Samsung affirme que 90% des pièces fournies pour ses produits proviennent d'usines dont il est propriétaire et que celles-ci répondent à des normes internationales (ce qu'avait également contesté CLW pour certaines de ces usines).
« S'agissant de la petite partie des pièces qui sont fournies par des sociétés extérieures, nous avançons aussi vite que possible pour corriger les problèmes relevés par nos propres enquêtes » écrit le groupe. Samsung rappelle qu'un programme d'audit mené de manière indépendante est prévu durant l'année 2013 et au-delà (lire Samsung s'intéresse aux conditions de travail de ses sous-traitants chinois ) et que les sous-traitants qui utiliseraient de la main-d'oeuvre mineure verraient leurs contrats rompus.