UTM active un serveur pour un accès distant à la virtualisation depuis iOS et visionOS 🆕

Nicolas Furno |

Mise à jour à 17h40 : comme le signale un lecteur, l’app UTM Remote Virtual Machines est en réalité déjà disponible, pour les iPhone, iPad et Vision Pro. Comme promis, elle est gratuite et permet d’accéder à une machine virtuelle gérée par un Mac local ou même à distance. iOS 14 ou visionOS 1 sont nécessaires au minimum. Merci Lionel

Image UTM.

Article original

UTM ajoute une corde à son arc avec la version 4.5.2, distribuée depuis hier. Cette solution de virtualisation open-source née sur iOS gagne en effet un module serveur, qui permet de diffuser l’image générée par une machine virtuelle sur un autre appareil, qu’il s’agisse d’un ordinateur distant ou même d’un appareil mobile. En effet, ses concepteurs ont développé des apps pour iOS, iPadOS et visionOS et elles devraient être distribuées à terme sur l’App Store, contrairement à UTM elle-même qui ne respecte pas les règles de la boutique gérée par Apple.

L’option pour activer le serveur d’UTM pour macOS. Image MacGeneration.

Cette app pour iOS et visionOS n’est pas encore disponible et elle devrait d’abord être disponible sur TestFlight, le temps de corriger les bugs. UTM attend la validation d’Apple et ses concepteurs comptent distribuer la version finale gratuitement sur l’App Store. On aura alors un moyen de plus d’accéder à un OS virtuel, qu’il s’agisse de macOS, Windows ou Linux, sur un iPhone ou un iPad et d’un moyen nouveau d’y accéder depuis l’Apple Vision Pro. Apple n’ayant toujours pas assoupli les règles de sa boutique, on pourra uniquement accéder à une machine virtuelle à distance, il sera toujours impossible d’en faire tourner une sur un appareil iOS ou visionOS.

La fonctionnalité serveur d’UTM est réservée à macOS et nécessite macOS 13 (Ventura) ou une version plus récente. Autre restriction à noter, il faut utiliser un système d’exploitation virtualisé grâce à QEMU et non pas l’hyperviseur d’Apple intégré au système dédié aux Mac.

Mise à jour 15h15 : ayant mis la main sur l’app pour iOS et visionOS sur TestFlight, je me suis évidemment précipité sur le Vision Pro pour accéder aux machines virtuelles dans l’ordinateur spatial du futur. La connexion à mon Mac Studio s’est faite sans encombre et j’accédais bien aux machines virtuelles déjà installées, mais je n’ai pas pu en lancer une, l’app plante immédiatement dès que je sélectionne une VM.

UTM dans le Vision Pro : le futur est formidable. Image MacGeneration.

L’app fonctionne en revanche parfaitement sous iOS et j’étais surpris de constater qu’il s’agit d’une version très proche d’UTM sous macOS. On peut créer de nouvelles machines, on a accès à tous les paramètres associés et on peut même utiliser les systèmes virtuels directement sur un iPhone ou un iPad. Le Mac fait tout le travail sous le capot, l’illusion reste assez bluffante d’avoir un outil de virtualisation complet sur son iPhone, iPad et peut-être bientôt Vision Pro.

UTM Remote fonctionne mieux sur l’iPhone, même s’il reste encore des bugs. Image MacGeneration.

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L'app des Smart électriques n'est pas très bonne, une app tierce propose mieux

Nicolas Furno |

Les voitures modernes, surtout celles qui sont entièrement électriques, deviennent de plus en plus des ordinateurs sur roues, en tout cas ce sont des appareils connectés qu’on peut contrôler à distance, au même titre que la domotique chez soi. Faute de standard, chaque constructeur doit mettre en place sa propre infrastructure et développer ses propres apps mobiles, avec plus ou moins de succès selon les marques. Tout le monde n’est pas encore au niveau des meilleurs constructeurs en la matière et ce n’est manifestement pas le cas de Smart, dont l’app officielle dédiée à ses véhicules électriques #1 et #3 est apparemment bien limitée.

Fort de ce constat, Clément et Christian Gonzalvez ont décidé de prendre les choses en main et ils ont créé Hello # (gratuit). Cette app pour les iPhone et iPad est entièrement gratuite et elle se paie le luxe d’être beaucoup plus complète que l’app officielle tout en étant pas moins de 76 fois plus légère. Développée uniquement en Swift et exclusivement pour iOS, dépourvue de frameworks qui alourdissent la note, elle ne pèse ainsi que 6 Mo, contre 457 Mo pour l’app créée par Smart.

Image Clément Gonzalvez.

Un rapide coup d’œil aux notes de l’App Store suffit à confirmer que cette app tierce est aussi nettement plus populaire que l’officielle. Il faut dire qu’elle offre bien plus de fonctionnalités, en plus de proposer une interface native plus propre. Hello # offre un accès à de nombreuses données, y compris des informations absentes de l’app officielle, et à tous les contrôles attendus pour gérer la charge ou le préconditionnement de l’habitacle. On peut aussi (dé)verrouiller les voitures à distance, savoir si le coffre est ouvert ou fermé et même connaître l’heure du déclenchement de la dernière alarme.

Puisqu’il s’agit d’un projet tiers et faute d’une API officielle fournie par Smart, les deux développeurs ont été contraints d’analyser les données transmises et reçues par l’app pour apprendre à communiquer avec les serveurs du constructeur. De ce fait, Hello # a besoin d’une connexion à internet et la voiture doit elle aussi être connectée aux réseaux cellulaires pour répondre. Une communication locale en Bluetooth ne peut être proposée que par Smart, ce qui n’est pas le cas à ce jour.

Hello # fonctionne avec les deux derniers véhicules de Smart, la #1 et la #3. Côté Apple, il faut iOS 17 au minimum pour installer l’app, qui est par ailleurs entièrement traduite en français.

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Elon Musk licencie l'équipe en charge des superchargeurs, pourtant l’un des plus gros succès de Tesla

Nicolas Furno |

Elon Musk a manifestement décidé de reproduire la stratégie qu’il avait mise en place après son acquisition de Twitter et l’heure est aux licenciements chez Tesla. Après avoir supprimé environ 10 % des postes mi-avril, on a appris qu’il avait licencié toute l’équipe en charge de superchargeurs, à commencer par Rebecca Tinucci qui était à sa tête. Ce départ d’environ 500 personnes est un choix surprenant quand on sait que le réseau de charge rapide du constructeur américain est pourtant parmi les plus gros succès de l’entreprise.

Une borne de charge rapide dans la station de superchargeurs de Rennes Cleunay. Image MacGeneration.

Tesla a été pionnier en matière de charge rapide, en construisant ses propres stations dès le départ pour permettre à ses clients de parcourir de longues distances avec ses voitures électriques. Son effort continu pour agrandir le réseau lui permet d’être aujourd’hui le numéro un de la charge rapide, surtout en Amérique du Nord, mais cela reste le cas en Europe, même si les alternatives se sont multipliées depuis. Longtemps gratuits, les superchargeurs sont par ailleurs devenus une source de revenus croissante, d’autant que le constructeur les a ouverts à toutes les voitures électriques des deux côtés de l’Océan.

La situation est encore plus incompréhensible aux États-Unis, où le connecteur imaginé par Tesla est en passe de devenir le standard pour toute l’industrie automobile. De quoi donner un avantage énorme au réseau de superchargeurs, dont les bornes sont déjà équipées du connecteur, et l’entreprise semblait jusque-là vouloir exploiter cet avantage en accélérant le déploiement de nouvelles stations. Ce n’est plus le cas, comme l’a confirmé Elon Musk lui-même en indiquant que le rythme d’ouverture allait ralentir. D’ailleurs, Electrek croit savoir que des projets d’ouverture ont d’ores et déjà été abandonnés à New York et ce sera probablement vrai aussi dans le monde entier. Un contraste fort avec sa stratégie préalable, où les ouvertures s’enchaînaient à bon rythme.

Le réseau de superchargeurs en France, avec les stations en gris et jaune dont l’ouverture était prévue jusque-là. Cela changera peut-être, la carte n’a pas encore été mise à jour. Image MacGeneration.

Le milliardaire cherche à réduire la voilure pour faire face à un futur difficile sur le court-terme, Tesla ne parvenant plus à vendre aussi facilement qu’avant, même en cassant les prix. Il mise tout sur la conduite autonome et le futur « Robotaxi » qui est censé être présenté cet été, au détriment de tout le reste. Une stratégie dangereuse alors que la concurrence s’améliore rapidement, y compris en matière de charge rapide.

Malgré tout, menacer la division qui est pratiquement la seule à maintenir sa croissance sur le dernier trimestre1 est un choix qui semble bien difficile à justifier. D’après les retours des principaux concernés, ce licenciement était une surprise sans avertissement. Elon Musk espère sûrement maintenir la qualité du réseau de superchargeurs avec une équipe extrêmement réduite, l’avenir dira s’il avait raison.

Parmi les départs récents chez Tesla, on note aussi celui de Daniel Ho. Vétéran du constructeur chez qui il travaille depuis 2013, il a participé à la conception de plusieurs véhicules, dont les Model3 et Model Y, et il était surtout à la tête de la division chargée de développer de nouveaux véhicules. Tout un symbole, alors que la Tesla d’entrée de gamme a été remise en cause par la priorité mise par Elon Musk sur la conduite autonome.


  1. Sur le premier trimestre 2024, la branche des « Services et autres revenus » affiche une croissance de 25 % par rapport à l’an dernier, à comparer aux ventes de voitures qui a baissé de 13 %.  ↩︎

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Kernel Panic : Noreve, Band-Band… comment les accessoiristes français tirent-ils leur épingle du jeu ?

Félix Cattafesta |

‌Kernel Panic, c’est le podcast long format de MacGeneration réservé aux abonnés du Club iGen. Publié deux fois par mois, il entre en détail sur un sujet lié à Apple ou au monde de la tech.

L’achat d’un produit Apple implique bien souvent de mettre la main à la poche pour différents accessoires. Que ce soit pour une coque d’iPhone ou un bracelet d’Apple Watch, vous avez sans doute déjà fait des emplettes chez un accessoiriste tiers ! Cet univers très spécifique est dominé par quelques gros poissons bien connus comme OtterBox ou Belkin.

En France, plusieurs entreprises spécialisées dans les accessoires Apple existent. De taille logiquement plus modeste que les mastodontes américains ou chinois, celles-ci doivent trouver un moyen de se démarquer tout en proposant des produits de qualité. Comment faire pour avoir les dimensions d’un nouvel iPhone plusieurs semaines avant sa sortie ? Que faire en cas de changement de dernière minute ? Quid du made-in-France ? Nous avons pu discuter de tout cela avec Amaury Hubault, co-fondateur de Band-Band ainsi qu’avec Michaël Massat, directeur de Noreve.

Bonne écoute !

Pour aller plus loin

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Diviser par quatre la capacité d'un SSD pour améliorer ses performances

Pierre Dandumont |

Dans le petit monde des SSD, le type de mémoire flash NAND a de l'importance : la mémoire SLC (Single Level Cell, un bit par cellule) offre de meilleures performances et une meilleure endurance que de la mémoire MLC (deux bits par cellule), TLC (trois bits par cellule) ou même QLC (quatre bits par cellule). Mais saviez-vous qu'il est parfois possible de transformer un SSD à base de QLC en un SSD à base de (pseudo) mémoire SLC ?

La technique n'est pas nouvelle et est employée par les fabricants : elle consiste à traiter de la mémoire qui contient en théorie plusieurs bits par cellule en n'écrivant qu'un seul bit. Comme il ne s'agit pas tout à fait de la mémoire SLC, ce type d'astuce porte le nom de pseudo SLC. Beaucoup de SSD modernes utilisent un cache à base de mémoire pseudo SLC pour une raison simple : les performances en écriture sont plus élevées dans ce mode. Bien évidemment, cette voie a un défaut : une perte de capacité. Dans le cas de la mémoire cache, les fabricants ont tendance à soit définir une capacité maximale pour la mémoire cache, soit passer par un cache dynamique. Dans le premier cas, il est possible d'écrire rapidement pendant une période définie, ou plus exactement sur une capacité définie (par exemple 50 Go). Une fois le cache rempli, le SSD passe dans le mode standard, plus lent.

Un crucial BX500 moderne, à base de mémoire QLC.

La seconde voie, la dynamique, permet d'utiliser l'espace libre comme cache, donc avec une capacité qui est généralement du tiers (mémoire TLC) ou du quart (QLC) de l'espace disponible. Dans ce cas, il faut évidemment vider le cache une fois les tâches effectuées, et donc déplacer les données écrites en mode pseudo SLC vers de la mémoire TLC ou QLC.

Il est possible de modifier le firmware

Dans une longue vidéo, Grabiel Ferraz a choisi une voie plus radicale : il a modifié le firmware d'un Crucial BX500 (un modèle à base de mémoire QLC) pour qu'il travaille en permanence en mode pseudo SLC. Le SSD est donc plus rapide (avec quelques limites dues à l'interface SATA) et plus endurant… mais la capacité a été divisée par quatre. Dans l'exemple, il passe de 512 Go à 128 Go. Il emploie un outil de configuration du firmware qui peut se dénicher sur Internet (le fabricant du contrôleur, Silicon Motion, ne le distribue pas).

Pour le gain d'endurance, le calcul est relativement simple : on passe de 120 TBW (Tera Byte Written) a 4 000 TBW. Il s'agit d'une valeur théorique, souvent pessimiste, sur la durée de vie d'un SSD. Les constructeurs comptent le nombre d'octets écrits sur le SSD et quand la valeur limite (qui est en téraoctets) a été atteinte, la garantie du SSD se termine. Dans le même temps, l'indicateur de santé passe à 0 %. Sur le papier, un SSD qui atteint cette limite est considéré comme totalement usé et ne devrait plus être employé, les risques de corruptions et d'erreurs étant bien plus élevés. En pratique, la valeur est calculée avec des paramètres (très) pessimistes pour prendre en compte les différents usages. Un SSD qui a atteint cette limite peut donc parfaitement fonctionner pendant un temps… plus ou moins long. Il faut par ailleurs noter que son calcul est lui aussi pessimiste, il considère que la mémoire pseudo SLC peut atteindre 60 000 cycles d'écriture, contre 900 en mode QLC, alors que les mémoires SLC typiques sont données pour environ 100 000 cycles.

Le programme de test.

Au niveau des performances, la latence est plus faible en mode pseudo SLC et les performances sont améliorées en lecture aléatoire. En écriture, les résultats sont équivalents quand le cache est utilisé avec le firmware de base et le SSD sature le bus SATA. Mais si vous écrivez plus de 48 Go (la taille du cache), les débits descendent aux environs de 100 Mo/s et même vers 50 Mo/s quand le contrôleur tente de déplacer les données du cache vers la mémoire QLC. A contrario, le SSD modifié atteint environ 500 Mo/s en écriture en permanence. Enfin, la température reste du même ordre, c'est-à-dire assez basse : les SSD SATA chauffent assez peu par rapport aux modèles PCI-Express. De même, la consommation est (un peu) plus faible, mais de façon anecdotique : environ 0,15 W de différence (0,83 W en mode pseudo SLC, 0,99 W en QLC).

Maintenant, est-ce une solution intéressante ? Sur un SSD comme le Crucial BX500, pas nécessairement : il s'agit d'un modèle d'entrée de gamme et le prix (moins de 50 €) et la capacité sont probablement plus importants pour les acheteurs que les performances ou de l'endurance. Même avec des SSD haut de gamme, le gain en endurance et en performances ne contrebalance généralement pas le fait de diviser par trois ou quatre la capacité totale, surtout quand un cache pseudo SLC permet généralement d'obtenir des performances équivalentes sur un usage classique, même sur des tâches relativement longues.

Ce SSD de 24 Go Apple a une capacité réelle de 64 Go (en mémoire MLC) : 32 Go en mode pseudo SLC avec une réserve.

Pourtant, cette solution existe et a même été employée par Apple à une époque : dans certains Fusion Drive (une technologie vue dans les iMac et Mac mini dans les années 2010). Il s'agissait d'un contexte très particulier : la technologie hybride d'Apple limitait le nombre d'écritures sur le SSD (avec un cache de 4 Go) et la société avait donc choisi de configurer certains modèles en pseudo SLC pour écrire très rapidement dans un contexte précis, ou la perte de capacité n'était pas un souci étant donné la présence d'un disque dur.

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Une quatrième bêta pour macOS Sonoma 14.5

Florian Innocente |

Apple a poussé sur ses serveurs la quatrième bêta de macOS Sonoma 14.5. Les nouveautés de cette version ne sont pas encore connues, mais la sixième itération de macOS Sonoma reste tout de même assez mineure dans l'absolu : Apple s'est visiblement concentrée sur iOS 17.5 et tous les changements requis par le Règlement des marchés numériques (DMA) en Europe.

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