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Free propose un an de fibre optique à 19,99 € par mois avec la Freebox Revolution Light

Christophe Laporte

mercredi 02 juillet à 11:59

Matériel

La Freebox Revolution ne veut pas mourir. Lancée en 2010, la box de Free dans son édition Light fait l’objet d’une offre intéressante pour tous ceux qui sont intéressés par une connexion à Internet via la fibre optique sans se ruiner.

Cette promotion réservée aux nouveaux clients permet d’avoir jusqu’à 1 Gbit/s en téléchargement et 900 Mbit/s en téléversement pour 19,99 € par mois. Il s’agit d’une offre sans engagement. Notez cependant que l’offre passe à 29,99 € par mois au bout d’un an. Pour ceux qui l’avaient oublié, cette box, dessinée par Starck, intègre un lecteur Blu-Ray et un disque de 250 Go de stockage. Elle comprend également l’app TV OQEE de Free.

L’un des défauts de cette offre est sans doute le Wi-Fi. La box accuse son âge et n’offre pas de Wi-Fi 6. Notez toutefois que l’on trouve en ce moment même des routeurs Wi-Fi à très bon prix.

Si Free lance cette offre, c’est sans doute lié au fait que les promotions sur l’internet fixe sont assez nombreuses. SFR Red propose également une offre à 19,99 € par mois, mais sans décodeur télévision. Les débits proposés sont proches (1 Gbit/s dans les deux sens) et là aussi, on peut également regretter l’absence de Wi-Fi 6.

Mais à la fin des fins, l’offre la plus intéressante, c’est peut-être bien celle de Bouygues Telecom. Vous pouvez obtenir pour 23,99 € par mois son offre Pure Fibre qui propose jusqu’à 8 Gbit/s de débit dans le sens des téléchargements et un routeur Wi-Fi 7. Il ne reste plus qu’à financer éventuellement une Apple TV pour pallier l’absence d’un module pour la télévision.

Produits Apple : vers une baisse de prix à la rentrée grâce à la faiblesse du dollar ?

Christophe Laporte

mercredi 02 juillet à 11:38

AAPL

Et si les nouveautés Apple de la rentrée étaient accompagnées par une baisse de prix ? Cela parait contre-intuitif tant il a été question de guerre commerciale au mois de mars, mais ce scénario n’est pas à exclure. En effet, la politique de Donald Trump a eu pour conséquence d’affaiblir le dollar ces derniers mois.

En début d’année, un euro s’échangeait environ 1,03 $. À l’heure où nous écrivons ces lignes, le billet vert s’échange désormais à 1,18 $. Autrement dit, l’euro s’est apprécié de plus de 13 % en l’espace de quelques mois. Or, si le bitcoin peut connaître une hausse de cette ampleur en une seule journée, dans le domaine des devises, une telle évolution dans un tel laps de temps est tout sauf anecdotique.

Bien qu’il soit toujours très difficile d’anticiper les évolutions à venir du marché des changes, les observateurs estiment qu’il est assez probable que l’euro dépasse la barre des 1,2 $ prochainement. Certains estiment même que ce n’est qu’une étape et que le phénomène est appelé à se prolonger dans les mois à venir.

Apple a pour habitude de suivre d’assez près l’évolution des taux de change, surtout quand ils évoluent en sa défaveur. Quoi qu’il en soit, la firme de Cupertino fait régulièrement évoluer la tarification de l’App Store en cas de fluctuation importante. D’autre part, elle tend à ajuster ses tarifs lorsqu’elle commercialise de nouveaux produits.

MacBook : jusqu’où Apple ira-t-elle pour casser les prix ?

MacBook : jusqu’où Apple ira-t-elle pour casser les prix ?

Autrement dit, si la tendance persiste, on pourrait observer des baisses de prix à la rentrée lors de la présentation de la nouvelle gamme d’iPhone. Il y a cependant deux facteurs qui pourraient annihiler ce mouvement de fond chez Apple.

À l’été dernier, sans doute au moment où sont fixés les prix chez Apple, l’euro s’échangeait dans une fourchette oscillant entre 1,08 $ et 1,12 $. D’autre part, toujours dans ce contexte incertain de guerre commerciale, Apple pourrait être tentée d’accroitre ses marges dans le Vieux Continent en ne faisant que peu évoluer ses prix, de manière à financer en partie la hausse des droits de douane aux États-Unis.

Apple Store : le crédit à 0 % prolongé cet été

Stéphane Moussie

mercredi 02 juillet à 10:14

AAPL

L’offre de crédit à 0 % se poursuit sur l’Apple Store. Apple n’a donné aucune date de fin pour cette opération lancée au début de l’année, mais son partenaire en mentionne une sur son propre site. Cetelem avait indiqué au départ que l’offre devait se terminer le 31 mars, puis le 30 juin. Voilà maintenant l’échéance repoussée au 20 août.

Ce crédit à 0 % permet d’étaler sans frais le paiement d’un iPhone, d’un Mac, d’un iPad, d’une Apple Watch, d’un Vision Pro ou d’un accessoire sur 24 mois maximum. L’offre est soumise à l’examen du dossier, de la situation financière et de l’historique d’emprunt de l’acheteur. Les intérêts habituels sont en fait pris en charge par Apple, qui mise sur de bonnes ventes pour absorber le coût de la promotion.

Attention, Cetelem propose aussi un crédit plus long soumis à des frais de 14,01 %. Il ne faut pas se tromper d’offre. L’établissement compte sur cette opération pour attirer de nouveaux consommateurs.

Produit Durée Taux débiteur
iPhone 12 mois 0 %
24 mois 0 %
iPad Air, iPad, iPad mini 4 mois 0 %
12 mois 0 %
36 mois 14,01 %
iPad Pro 4 mois 0 %
20 mois 0 %
36 mois 14,01 %
Apple Watch 4 mois 0 %
12 mois 0 %
24 mois 14,01 %
Apple Vision Pro 4 mois 0 %
24 mois 0 %
36 mois 14,01 %
Accessoires 4 mois 0 %
MacBook Pro, Mac Studio 4 mois 0 %
24 mois 0 %
36 mois 14,01 %
MacBook Air, Mac mini, iMac 4 mois 0 %
18 mois 0 %
36 mois 14,01 %

« Une fois que [les clients] ont téléchargé notre application sur leur téléphone, il est ensuite possible de leur proposer d'autres produits comme des prêts personnels, des prêts à la rénovation énergétique, etc. », explique Franck Vignard, directeur général de BNP Paribas Personal Finance, la maison mère de Cetelem, aux Échos. Dans ce groupe, le montant moyen d'un crédit à la consommation pour un smartphone est de 700 € environ, contre 1 200 € pour un iPhone. On comprend l’appétit des organismes de crédit pour les clients d’Apple.

Si vous êtes étudiant, patientez un peu : l’offre Back to School devrait bientôt démarrer en France. Autrement, il y a de nombreuses bonnes affaires sur les Mac et les iPhone chez les revendeurs à l’occasion des soldes.

Apple fait une nouvelle mise à jour de son antimalware XProtect

Florian Innocente

mardi 01 juillet à 22:13

Logiciels

Apple distribue une mise jour pour XProtect, son système de détection et suppression de malware. C'est une opération de routine qui est effectuée automatiquement lorsque de nouvelles signatures de malwares sont repérées.

XProtect vérifie quotidiennement la disponibilité de ce type d'informations et, lorsque c'est le cas, il télécharge et installe automatiquement ces nouvelles références qui lui permettront le cas échéant de supprimer un malware qui aura trouvé son chemin sur votre Mac (détails du fonctionnement). La version la plus à jour d'XProtect est numérotée 5303, elle se destine à tous les macOS et couvre des variantes de malwares baptisés MACOS_SOMA_JUEN et MACOS_SOMA_LLJU.

Apple a mis à jour son antimalware XProtect, comme elle le fait régulièrement

Apple a mis à jour son antimalware XProtect, comme elle le fait régulièrement

Il y a plusieurs moyens de vérifier le numéro de version d'XProtect. Par le Terminal en tapant sudo xprotect check puis en saisissant son mot de passe de session. Ou en lançant l'utilitaire Informations système de son Mac, rubrique Logiciels puis Installation et en faisant défiler la liste tout en bas.

macOS 26 ne voit pour le moment que la précédente version 5302. Image MacGeneration.

Pour forcer la récupération d'une mise à jour, retour dans le Terminal en tapant sudo xprotect update et à nouveau son mot de passe de session. Il est possible cependant que cette version 5303 ne soit pas encore prête à la distribution sur iCloud. Dans ce cas, il suffit d'attendre un jour ou deux, l'installation se sera peut-être faite entre temps. Vérifiez tout de même que vous avez laissé active la récupération des mises à jour de sécurité.

Image MacGeneration.

L'absence de ventilateurs de certains Mac portable peut les protéger des malwares

Pierre Dandumont

mardi 01 juillet à 19:30

Matériel

Depuis des dizaines d'années, Apple tente de supprimer les ventilateurs de ses ordinateurs. Si cette solution n'est pas toujours gage d'efficacité — ceux qui ont utilisé un MacBook en 2015 comprendront —, elle a pourtant un mérite : elle protège l'ordinateur de certains malwares.

La raison n'est pas réellement liée directement à l'absence de ventilateurs, il s'agit d'un effet secondaire du fonctionnement de certains malwares. Les malandrins qui développent les logiciels malveillants veulent en effet généralement éviter que les experts en sécurité analysent ces derniers, et tentent donc régulièrement de vérifier si leur création tourne dans une machine virtuelle. En effet, les experts emploient fréquemment cette solution pour déterminer comment fonctionne un malware en toute sécurité. Dans la pratique, de nombreux malwares se désactivent s'ils détectent qu'ils fonctionnent dans une machine virtuelle, et deviennent donc inoffensifs.

Il n'y a pas de ventilateur dans le MacBook Retina de 2015. Image iFixit.

Le rapport avec la présence d'un ventilateur est donc indirect. Pour détecter une machine virtuelle, il est possible de vérifier la présence de certains fichiers ou de certains noms standardisés (par exemple celui du volume de stockage) ou la présence de pilotes associés à une machine virtuelle. Comme les experts en sécurité s'adaptent et tentent aussi de se cacher, une des voies choisies consiste à vérifier la présence de composants matériels qui devraient être présents mais ne le sont pas, comme un ventilateur pour le processeur. Les logiciels de virtualisation vont en effet souvent à l'essentiel, et ne renvoient donc pas les données liées aux composants matériels, comme la température du processeur ou la vitesse de rotation du ventilateur, ni même sa présence.

Le refroidissement passif étant une exception plutôt que la norme dans les PC, un ordinateur sans ventilateur peut être vu comme une machine virtuelle. Petr Beneš, un développeur, a récemment expliqué comment il a ajouté un ventilateur virtuel dans Xen, un hyperviseur. Cette solution permet en pratique de contourner une protection interne d'un malware pour qu'il s'exécute dans une machine virtuelle sans qu'il s'en rende compte. Mais sa solution montre aussi qu'un ordinateur sans ventilateur pourrait être protégé dans certains cas… de quoi favoriser ceux qui utilisent un ordinateur Apple passif. C'est le cas des MacBook sortis entre 2015 et 2017 mais aussi des MacBook Air depuis le modèle M1. Bien évidemment, il faut rester méfiant : les malwares peuvent intégrer d'autres solutions pour déterminer la présence d'une machine virtuelle, et le code peut avoir été adapté pour prendre en compte les exceptions, comme les ordinateurs d'Apple.