Les 5 grandes nouveautés de macOS Sequoia : recopie de l’iPhone sur le Mac, meilleure gestion des fenêtres…

Félix Cattafesta |

Malgré de gros changements pour iOS 18 et des annonces majeure côté IA, Apple n’a pas oublié macOS. Cette nouvelle version baptisée Sequoia est loin d’être une révolution mais apporte tout de même quelques petites nouveautés intéressantes. Voici les nouveautés qu’il ne fallait pas louper.

L'iPhone débarque sur le Mac

La nouveauté principale de macOS Sequoia est la possibilité de recopier l’écran de son iPhone sur son Mac facilement sans avoir à passer par Xcode ou une app tierce. Grâce à Continuité, il sera possible d’interagir avec le téléphone avec sa souris sans avoir à aller le chercher physiquement, ce qui sera pratique pour interagir avec certaines apps iOS. Les notifications de l’iPhone apparaitront au côté de celle du Mac en haut à droite de l’écran.

Image Apple.

Apple a peaufiné sa copie : il ne s’agit pas d’une bête recopie d’écran. Si l’iPhone est en charge avec le mode En veille activé, l’écran continuera d’afficher des infos. Le téléphone restera verrouillé dans tous les cas afin d’éviter qu’un curieux puisse voir ce que l’utilisateur est en train de faire. À terme, il sera possible de facilement transférer les images et fichiers de son iPhone vers son Mac. La fonction n’est pas encore disponible sur les premières bêtas diffusées hier, il faudra donc attendre un peu avant de voir ce que ça vaut.

Image Apple.

Une meilleure gestion des fenêtres

Si vous aviez pris l’habitude de réinstaller Magnet régulièrement, ce ne sera bientôt plus la peine : Apple a ajouté à macOS son propre système d’agencement des fenêtres. Sur Sequoia, glisser une fenêtre dans un coin la réajuste automatiquement, ce qui permet de se créer une petite mosaïque plus pratique pour travailler.

Des fenêtres organisées facilement avec Sequoia

Cet ajustement peut également être fait à l’aide de raccourcis clavier.

Un nouveau lecteur pour Safari

Apple a changé deux trois petites choses sur Safari, qui propose désormais de mettre en valeur certaines informations. On nous promet par exemple des itinéraires ou des liens liés au contenu de la page (personnes, musiques, films…). Malheureusement, ce changement est uniquement proposé en anglais.

Le mode lecteur a eu droit à une refonte avec un nouveau design. Les utilisateurs anglophones pourront également y trouver un résumé des articles long suivi d’une table des matières. Les autres devront se contenter d’une nouvelle option permettant de mettre en avant et en plein écran une vidéo en cours de lecture sur une page.

Safari 18 abandonne le JPEG 2000

Safari 18 abandonne le JPEG 2000

Du neuf pour les visios

Apple apporte quelques améliorations pour les visioconférences. Le système demande désormais à l’utilisateur quelle fenêtre il souhaite partager au moment de diffuser son écran dans FaceTime ou sur Webex. Cela lui permet de voir ce qu’il s’apprête à partager avant de se lancer, évitant d’afficher ce qui ne devrait pas l’être.

L’option de sélection avant le partage sur Facetime.

Autre petite nouveauté : on peut désormais sélectionner des arrières plans dans certaines applications. On y trouve des dégradés de couleurs ou des fonds d’écran du système. Les plus créatifs ont même la possibilité d’ajouter leurs propres photos.

De nouveaux fonds d’écran

Comme d’habitude, cette nouvelle version de macOS inaugure de nouveaux fonds d’écran. Plusieurs jouent sur la fibre nostalgique en faisant référence au premier Macintosh. Les économiseurs d’écrans sont animés pour un effet très sympa.

On pourra ainsi voir des icônes créées par Susan Kare ou encore un citation de Steve Jobs. D’autres fonds d’écran plus classiques sont proposés avec des aplats colorés inspiré des grands arbres du parc national de Sequoia.

macOS Sequoia rend hommage au Macintosh avec un économiseur et un fond d

macOS Sequoia rend hommage au Macintosh avec un économiseur et un fond d'écran 🆕

Quelques petites nouveautés

Apple a profité de sa conférence pour mettre en avant quelques jeux qui arriveront sur macOS, comme Prince of Persia: The Lost Crown, Assassin’s Creed Shadows ou encre deux anciens Resident Evil. Sequoia gagne également la nouvelle application Mots de passe et profite des améliorations pour Messages d’iOS. Calendrier affiche enfin les évènements et les tâches de l’app Rappels. De plus, macOS Sequoia va tirer parti des fonctions Apple Intelligence lorsque celles-ci seront disponibles.

Nous reviendrons plus en détail sur les nouveautés de macOS 15, d’iOS 18 et des autres systèmes dans les jours qui viennent. N’hésitez pas à vous abonner au Club iGen pour accéder à tous nos articles !

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macOS Sequoia prend en charge la virtualisation imbriquée avec les puces M3

Pierre Dandumont |

Dans les nouveautés un peu discrètes de macOS Sequoia, il y a une nouveauté intéressante pour les amateurs de Windows : la prise en charge de la virtualisation imbriquée sur les puces M3. Connue aussi sous le nom de nested virtualization, cette fonction permet d'employer les fonctions de virtualisation dans un système d'exploitation qui est déjà virtualisé.

La fonction n'est pas nouvelle, Apple avait déjà posé les bases dans les puces M2 sans jamais l'activer sous macOS. Visiblement, la version présente dans cette génération (et utilisable sous GNU/Linux) n'était d'ailleurs pas complète : Apple explique dans sa page de support que cette fonction est réservée aux puces M3.

Certaines fonctions des Apple M1 et M2 marchent sous Linux… et pas sous macOS

Certaines fonctions des Apple M1 et M2 marchent sous Linux… et pas sous macOS

Si le concept peut sembler inutile, il ne l'est pas réellement. Certaines fonctions de Windows 11, qui peut être virtualisé sur les Mac, nécessitent la prise en charge de la virtualisation imbriquée. C'était le cas de la compatibilité Android (abandonnée par Microsoft) mais aussi du bac à sable de Windows, qui permet de créer un environnement virtuel temporaire pour tester une application suspecte. De même, le sous-système GNU/Linux de Windows nécessite de pouvoir accéder à la virtualisation.

Windows 11 officiellement compatible M1 et M2 à travers la virtualisation

Windows 11 officiellement compatible M1 et M2 à travers la virtualisation

En parallèle de cette fonction, Longhorn indique sur X que l'accélération matérielle du GIC est de la partie. Le GIC (pour Generic Interrupt Controller) est un composant qui va permettre de mieux prendre en charge les périphériques. Très schématiquement, une interruption est un signal émis par le matériel qui va autoriser l'arrêt du programme en cours pour exécuter une tâche importante. Le vGIC permet de transférer les interruptions directement vers la machine virtuelle pour de meilleures performances et la fonction est présente depuis les puces M1, mais avec des bugs. Visiblement, Apple a corrigé ces derniers et les machines virtuelles peuvent donc en profiter avec macOS Sequoia (et probablement uniquement les puces M3).

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Avec Apple Intelligence, Xcode intègre son propre Copilot

Anthony Nelzin-Santos |

Les développeurs auraient-ils été enthousiasmés par les possibilités des grands modèles de langage sans GitHub Copilot ? Le système de suggestion de code était l’une des premières applications productives de GPT et reste l’une des plus utiles. Trois ans après GitHub, Xcode intègrera son propre Copilot dans quelques mois, grâce à la plateforme Apple Intelligence.

Image Apple/MacGeneration.

Avec son « platforms State of the Union », Apple s’adresse plus particulièrement aux développeurs, après un premier keynote plus généraliste. Ken Orr, senior manager en charge de Xcode et Swift Playgrounds, n’a pas tardé à taper du code pour montrer les possibilités offertes par la plateforme Apple Intelligence. Xcode 16 fera percoler les intelligences artificielles génératives dans vos applications, mais profite lui-même du modèle de fondation entrainé par Apple.

Ce grand modèle générique donne naissance à plusieurs petits modèles spécialisés dans le développement qui intègrent les dernières API, les fonctionnalités du langage Swift, la documentation, ou encore des exemples de code. Avec ces connaissances, l’autocomplétion peut maintenant prédire le code dont vous allez avoir besoin, en utilisant les symboles de votre projet pour personnaliser ses suggestions.

L’autocomplétion prédictive dans Xcode 16. Image Apple/MacGeneration.

Mieux : elle peut utiliser vos commentaires pour suggérer des blocs entiers de code respectant les meilleures pratiques. La prédiction est exécutée sur les machines Apple Silicon avec macOS Sequoia, sans avoir besoin d’une connexion au réseau, mais en requérant 16 Go de mémoire au bas mot. Les modèles seront revus régulièrement, au fil de l’évolution des API et du langage Swift, et Xcode téléchargera automatiquement les nouvelles versions.

Encore faut-il savoir ce que l’on veut coder ! Les développeurs débutants pourront se tourner vers Swift Assist, un « compagnon » de développement qui connait le SDK et les API sur le bout des doigts, et demande cette fois le renfort du très grand modèle de Private Cloud Compute. Tapez une requête dans la boite de Swift Assist, attendez quelques secondes, et Xcode codera littéralement à votre place.

Swift Assist peut être vu comme le chainon manquant entre Swift Playgrounds et Xcode, une manière de transformer une idée en projet avant de maitriser tous les tenants et les aboutissants de la plateforme. Nul doute toutefois que les développeurs plus aguerris s’en serviront pour prototyper plus rapidement. Apple promet qu’elle n’utilisera pas le code généré, de toute manière immédiatement effacé de ses serveurs, pour entrainer ses modèles.

Un exemple de requête formulée à Swift Assist. Image Apple/MacGeneration.

Xcode 16 regorge d’autres nouveautés, comme la prise en charge du format de débogage DWARF 5, l’accélération des aperçus d’interface, l’amélioration du workflow de localisation, un débogueur des vues RealityKit ou encore la diminution de la taille des mises à jour de l’IDE. La première préversion est d’ores et déjà disponible dans le Developer Center. La version finale sera disponible avec macOS Sequoia cet automne.

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Pourquoi les NAS sont des alliés incontournables sur Mac 📍

Article sponsorisé |

Centraliser, sécuriser, accéder, partager... Les NAS, ces serveurs de stockage en réseau, s'imposent comme des outils incontournables pour les utilisateurs de Mac. Parmi les modèles récents, le QNAP TBS-h574TX se distingue comme une solution particulièrement adaptée aux exigences des environnements Apple.

Que vous soyez amateur de photo, vidéaste, graphiste ou simplement soucieux de protéger vos données précieuses, les NAS offrent une multitude d'avantages qui facilitent votre quotidien.

Pourquoi un NAS quand on est sur Mac ?

En tant que professionnels sur Mac, s'offrir un NAS de qualité peut vite se comparer à découvrir une nouvelle saveur de café : surprenante, riche et finalement indispensable !

Car un NAS n'est pas simplement un disque dur externe — non, c’est un serveur personnel pour tous vos besoins en données, accessible depuis n'importe quel coin du monde, à condition d'avoir une connexion Internet. Imaginez un garde-manger, mais au lieu de nourriture, il stocke des terabytes de données...

Fini les fichiers dispersés sur différents disques durs, les NAS regroupent vos photos, vidéos, musiques et documents en un seul endroit, accessible depuis votre Mac, iPhone, iPad ou Apple TV. La sécurité étant primordiale, les NAS garantissent aussi la protection de vos données grâce à des options de chiffrement et de contrôle d'accès souvent robustes.

Imaginez perdre votre Mac et toutes les données qu'il contient ? Grâce aux NAS, cette crainte devient un lointain souvenir. Des sauvegardes automatiques de votre Mac sont possibles, vous permettant de restaurer vos fichiers en toute simplicité, surtout en cas de panne. Pour une sécurité renforcée, des options de sauvegarde dans le cloud sont également disponibles, protégeant vos données contre les sinistres physiques.

Au-delà du stockage,de l'aspect sécurisé, du partage de fichiers, de l'accès depuis n'importe où, les NAS offrent un éventail de fonctionnalités qui enrichissent votre expérience : diffuser vos contenus multimédia sur tous vos appareils, centraliser vos photos pour une organisation optimale, exécuter des machines virtuelles pour étendre les capacités de votre système, héberger des applications web et des serveurs de messagerie... Bref, les possibilités sont infinies.

Le NAS QNAP TBS-h574TX : un choix performant pour les utilisateurs de Mac

En quête d'un stockage centralisé, sécurisé et performant pour votre écosystème Apple ? Le NAS QNAP TBS-h574TX se présente comme un allié de choix.

Au cœur du TBS-h574TX, un processeur Intel Core i5 ou i3 dernière génération assure une puissance de traitement exceptionnelle, capable de gérer les tâches les plus gourmandes en ressources. Que vous soyez amateur de photo, vidéaste, graphiste ou simplement soucieux d'optimiser vos performances quotidiennes, ce NAS saura répondre à vos besoins.

Accompagnée de 12 Go ou 16 Go de mémoire vive DDR4, la configuration du TBS-h574TX garantit une exécution fluide et réactive des applications (même en multitâche intensif). Vous pourrez ainsi jongler entre vos projets créatifs, vos sauvegardes et vos partages de fichiers sans aucune latence.

Côté stockage, cinq baies accueillent des SSD (M.2, SATA, NVMe, etc.) remplaçables à chaud, offrant une flexibilité et une évolutivité remarquables. La technologie SSD garantit des vitesses de transfert ultrarapides.

En matière de connectivité, le TBS-h574TX ne laisse rien au hasard : un port Ethernet 2,5 GbE et un port Ethernet 10 GbE assurent des transferts de données ultra-rapides sur votre réseau local. Deux ports Thunderbolt 4 bien pratiques offrent quant à eux une connectivité polyvalente et performante pour vos périphériques externes.

La sécurité n'est pas en reste. Le TBS-h574TX prend en charge le chiffrement matériel et le contrôle d'accès, garantissant la protection de vos données précieuses contre les intrusions et les accès non autorisés.

Propulsé par le système d'exploitation QuTS Hero, ce NAS offre une interface intuitive et riche : vous pourrez facilement gérer vos fichiers, configurer des sauvegardes automatiques, partager vos contenus avec vos proches et explorer un large éventail d'applications pour étendre les possibilités de votre NAS.

Le QNAP TBS-h574TX est disponible en France à partir de 1 700 € sur Amazon ou dès 2 099,95 € chez LDLC. Son prix élevé le positionne dans le segment des NAS haut de gamme, mais ses performances et ses fonctionnalités en font un choix de premier ordre pour les utilisateurs sur Mac qui recherchent une solution de stockage complète et performante.

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Safari 18 abandonne le JPEG 2000

Pierre Dandumont |

Dans les nouveautés de Safari 18, que nous traiterons plus en détail plus tard, un changement a attiré notre attention : l'abandon du JPEG 2000. Car si Safari était le dernier navigateur majeur qui prenait encore en charge le codec de compression, sa disparition peut tout de même amener des problèmes, nous allons le voir.

Le logo du JPEG 2000.

Le JPEG 2000 date de l'année 2000 (bravo) et a été conçu pour remplacer le JPEG, ce qui n'a jamais été le cas en pratique. Les images dans ce format sont rares et en dehors du cinéma qui l'utilise énormément (la diffusion de films en numérique en DCP passe par une compression en JPEG 2000), vous ne verrez pas souvent d'images en .JP2. Mais, car il y a un mais, le fait que Safari prend en charge historiquement le codec a amené certaines sociétés à proposer du JPEG 2000 uniquement aux utilisateurs du navigateur d'Apple. Nous parlons ici d'une époque ou Apple ne prenait pas en charge le WebP ou l'AVIF, deux codecs qui permettent (aussi) de réduire la taille des images à qualité visuelle proche.

IKEA, à une époque, envoyait du JPEG 2000 à Safari. Actuellement, c'est de l'AVIF.

Dans les réseaux de diffusion de contenu (CDN en anglais), le JPEG 2000 a été un temps assez courant. Pour accélérer l'accès à certains sites, les images sont (re)compressées dans un codec adapté à la cible, en fonction des capacités du navigateur. Et à l'aune des années 2020, le JPEG 2000 était courant pour Safari. Apple est bien évidemment au courant du problème et recommande donc de vérifier que les CDN n'envoient pas du JPEG 2000 à Safari 18. C'est probablement un des rares cas qui risquent de poser des soucis : les sites Internet hébergent rarement directement du JPEG 2000 étant donné que Safari est le seul navigateur capable de le décoder.

Dans la pratique, une partie des (gros) sites est déjà passée sur d'autres technologies, mais les premiers utilisateurs d'iOS 18 ou macOS Sequoia risquent tout de même de se retrouver avec des images absentes sur certains sites.

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WWDC 2024 : êtes-vous content ou déçu des annonces d’Apple ?

Stéphane Moussie |

Maintenant que la nuit est passée et que vous avez pu rêver (ou cauchemarder) de tout ça, qu’avez-vous pensé des annonces d’Apple lors de la WWDC 2024 ? C’est la question de notre nouveau sondage.

Image MacGeneration

À vrai dire, la WWDC 2024 n’est pas terminée et d’autres surprises pourraient arriver, mais Tim Cook et son équipe ont bien dévoilé hier soir lors du keynote inaugural les principales nouveautés logicielles de 2024.

iOS 18 plus personnalisable, iPadOS 18 doté d’une Calculette, macOS Sequoia qui recopie l’écran de l’iPhone, « Apple Intelligence » aussi diffuse dans les systèmes que restreinte à quelques appareils, le Vision Pro bientôt disponible en France, une application Mots de passe à part entière… Les annonces ont été nombreuses. Vous pouvez d’ailleurs en débattre sur notre forum dans des sujets dédiés à iOS 18, iPadOS 18 et macOS Sequoia.

Alors, êtes-vous content ou déçu des annonces d’Apple ?

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macOS Sequoia rend hommage au Macintosh avec un économiseur et un fond d'écran 🆕

Nicolas Furno |

Comme promis par Mark Gurman, macOS Sequoia propose bel et bien un retour dans le passé avec un économiseur d’écran qui peut aussi faire office de fond d’écran tourné vers le Macintosh de 1984. Nommé tout simplement « Macintosh », il affiche les graphismes du premier Mac qui défilent sur un fond coloré qui alterne entre toutes les couleurs du spectre lumineux, qui sont aussi les couleurs du logo d’Apple de l’époque.

L’une des sections de l’économiseur d’écran avec une teinte bleutée. Image MacGeneration.
L’économiseur d’écran sélectionné dans les Réglages. Image MacGeneration.

Si vous optez pour le combo fond et économiseur d’écran, ces graphismes se mettent à défiler dès que macOS passe en veille et les couleurs changent alors en même temps. Vous verrez les icônes créées par Susan Kare, le panneau unique de Mac OS pour tous les réglages et des apps, comme un éditeur de texte où une célèbre citation de Steve Jobs apparaît. C’est bourré de clins d’œil et assez difficile à décrire, alors voici ce que cela donne en vidéo :

Vous pouvez choisir une seule couleur ou même du gris plus neutre dans les paramètres. Par défaut, la couleur est modifiée en fonction du mode d’affichage de macOS, clair ou sombre, mais vous pouvez aussi bloquer ce paramètre. Impossible en revanche de choisir une section en particulier dans les graphismes, vous aurez une section différente à chaque fois que vous sortez votre Mac de veille.

Ajoutons que ce n’est pas le fond d’écran par défaut de macOS Sequoia, Apple en a préparé un autre avec les aplats colorés que l’on connaît bien depuis quelques années. Cette fois, ils représentent les grands arbres qui ont donné leur nom au parc national américain qui a donné à son tour son nom à macOS 15. Deux variantes sont proposées, une pour le mode clair du système et une pour l’interface sombre, avec un petit bonus pour cette dernière : elle s’anime lorsqu’elle bascule en économiseur d’écran.

Le fond d’écran par défaut de macOS Sequoia s’anime quand l’économiseur d’écran s’active. Image MacGeneration.

En contrepartie, cela veut dire qu’il n’y a pas une image que l’on peut récupérer facilement pour la partager. Bizarrement, seule la version sombre est animée pour le moment, pas le fond d’écran clair qui reste statique et qui peut ainsi être déniché en image utilisable sur un autre ordinateur. Faute de mieux, 512 pixels propose une image 16/9 qui devrait convenir à la majorité des Mac (ou un autre appareil, même) :

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