C'est un rituel, à l'annonce d'un nouveau matériel par Apple suit désormais une appréciation de la part de Greenpeace sur son degré de toxicité au vu des composants utilisés. L'iPhone 3G n'étant pas encore sur le marché, l'organisation écologique n'en est pour le moment qu'au stade des interrogations.
Zeina Al-Hajj, responsable de la Campagne Toxiques chez Greenpeace International confie ainsi chez ZDNet.fr son étonnement sur l'absence de déclaration d'Apple lors de l'annonce du 3G.
"Depuis le début de l'année, Apple exploite l'argument de protection de l'environnement pour ses nouvelles machines, à l'image du MacBook Air. Il est inquiétant de voir que rien n'a été précisé concernant l'iPhone 3G […] C'est décevant, Nokia et Sony Ericsson sont largement plus en avance concernant le respect de l'environnement. »
Un silence qui pourrait suggérer que le nouvel iPhone n'est pas très différent du premier. Si ce n'est qu'il va être diffusé à une bien plus grande échelle… Sitôt le nouvel iPhone disponible, l'organisation entend le démonter et l'analyser.
Un premier modèle que Greenpeace avait justement désassemblé pour y trouver des traces de composants chimiques toxiques, comme le brome. Ce qui n'avait pas manqué de provoquer d'ailleurs une réponse courroucée des promoteurs de ce composant.

Zeina Al-Hajj, responsable de la Campagne Toxiques chez Greenpeace International confie ainsi chez ZDNet.fr son étonnement sur l'absence de déclaration d'Apple lors de l'annonce du 3G.
"Depuis le début de l'année, Apple exploite l'argument de protection de l'environnement pour ses nouvelles machines, à l'image du MacBook Air. Il est inquiétant de voir que rien n'a été précisé concernant l'iPhone 3G […] C'est décevant, Nokia et Sony Ericsson sont largement plus en avance concernant le respect de l'environnement. »
Un silence qui pourrait suggérer que le nouvel iPhone n'est pas très différent du premier. Si ce n'est qu'il va être diffusé à une bien plus grande échelle… Sitôt le nouvel iPhone disponible, l'organisation entend le démonter et l'analyser.
Un premier modèle que Greenpeace avait justement désassemblé pour y trouver des traces de composants chimiques toxiques, comme le brome. Ce qui n'avait pas manqué de provoquer d'ailleurs une réponse courroucée des promoteurs de ce composant.
