Si nous acceptions que les goûts et les couleurs ne se discutent pas???!
Vous avez aimé? Tant mieux! Vous le trouvez nul? Tant pis!

@icarus voir 250 films/an (je l'ai fais avec 2 potes en 1ere année de Bac pro avec UGC illimité) ne fais pas de toi un critique ciné reconnu. Mais j'avoue que voir autant de film m'a permis aussi d'avoir un esprit critique ciné plus ouvert en regardant de la petite prod aux gros Blockbusters.

Si voir 250 films par an dans un multiplexe faisait de quelqu'un un critique de cinėma, l'alcolo du bar du coin de la rue serait diplômé d'oenologie.

D'un point vue purement cinématographique, c'est un film correct. Après d'un point de vue artistique c'est plus discutable.

énorme succès
on a décollé les affiches avant que la colle n'ai eu le temps de sécher....

... pas vu, mais si ça été un "flop" en salle inutile de l'acheter ou de le louer il devrait être rapidement diffusé sur 6ter, TMC, HD1 ou RTL9.

@freedom69 :
'Si nous acceptions que les goûts et les couleurs ne se discutent pas???!Vous avez aimé? Tant mieux! Vous le trouvez nul? Tant pis!'

... voilà on avait sauté la palissade ! c'est une évidence et finalement la plus sage conclusion !

>et en Blu-Ray (24,98 €), un format qu’adorait Steve Jobs
Donc l’indisponibilité de lecteur / GRAVEUR Blue-Ray sur Mac est une volonté commerciale de privilégier iTunes.

Maman avait raison: la vérité fini toujours par surgir…

@apeuljuskotrognon :
Exactement

@PowerGlove :
Il ne faudrait pas confondre cause et consequence. Regarder beaucoup de films n'a jamais transformer quelqu'un en critique de film.

Et non, on avoir un regard critique sur les différents éléments d'un film (montage, rythme, direction artistique, sous propos, etc) sans être un cinephage.
On prends conscience de ces éléments, lorsque qu'on s'intéresse à la conception des films et lorsqu'on souhaite comprendre pourquoi certains films nous touche plus que d'autres.

Voir beaucoup de films nous apporte un background d'éléments de comparaison dans le temps, sauf que la critique ne se base uniquement sur la comparaison.
Un film est toujours façonné par son contexte et son époque mais est avant tout une œuvre propre à son realisateur.

@PowerGlova:"Comme les pirates de silicon vallée qui en effet est meilleur parce qu'il est plus exacte , plus intéressant et qu'il n'essaye pas de faire du cinéma..."

Les pirates...est encore plus blindé d'inexactitudes que Jobs. Ce qui a plu dans ce film c'est justement qu'on mettait Bill Gates au pinnacle. Mais le film en lui-même est une énorme erreur dans le rendu historique des faits.
C'est typiquement le genre de films qui plait aux haters d'Apple, parce que sous prétexte d'être juste et équilibré (la vie n'est pas équilibrée par décision de justice ou acte de foi hein), le film passe à côté de faits qui en réalité mettent quand même Microsoft dans une très pauvaise posture. On est pas loin du révisionisme technologique.

Powerglove:"Des mauvais surestimé comme: Ozon"

Ah ouais quand même, heureusement que tu expliques ensuite que tout cela est très subjectif....
Pour le coup, ça permet de prendre ton avis sur Jobs avec pas mal de distance, du coup.

"Le traitement de la relation entre Gates et jobs dans jobs est juste consternante..."

Non, elle est surtout infiniment plus juste que dans les pirates. La réalité, c'est que si SJ avait croisé Bill Gates dans les locaux d'Apple, ces deux hommes ne s'étaient presque jamais parlé. Presque RIEN. Les pirates invente un drama entre les deux personnages qui est juste une fiction grotesque sur le strict plan des faits. Jobs a en effet traité Bill gates de voleur au téléphone, (ce qu'il était, le repompage de l'interface du Mac pour Windows est avéré et n'est pas comme dans le cas Xerox- Apple, de l'ordre de l'influence), et une dispute célèbre a même eu lieu dans les locaux de l'entreprise où c'ets d'ailleurs principalement SJ qui écructait de rage face un BG impassible. Mais il y avait de quoi éructer, tout le staff derrière SJ était du même avis que ce que venait de faire Microsoft était du simple vol de propriété industrielle. Et ça a eu un impact catastrophique sur le plan économique pour Apple. Les pirates renverse le truc et NIE la réalité du pompage. C'est une vision bisounours où il s'agit de LAVER Microsoft de sa faute. Les FAITS historiques reportés sur cette période sont pourtant clairs.

PS: et on commence à avoir la même réécriture des faits concernant Android d'ailleurs, même après que des ingénrieurs de Google confirment le pompage intégral de l'interface et de la gestion tactile chez Apple après la présentation de l'iPhone. Là encore on invente un pseudo rééquilibrage qui sert juste la soupe à ceux qui estiment que l'iPhone n' a pas tout chamboulé à tel point que tout le monde derrière a suivi (copié en fait donc...).

@ PowerGlove

S'assoir dans une salle de cinéma aussi souvent qu'un critique de cinéma peut aiguiser notre sens critique mais ne fait pas de nous un critique de métier. C'est une évidence.
Ne pas oublier tout ce qui se passe en dehors de la salle, étudier l'histoire du ciné, voir des anciens films (comme le cinéphiles d'ailleurs), des peintures, du theatre, écouter de la musique et rencontrer les intervenants.
Ceci posé, il y a des critiques formatés, boursouflés d'orgueil et à l'inverse, des cinévores super pointus et géniaux qui mériteraient tout autant de s'exprimer dans les mags ciné.

J'ai trouvé le film pas mal du tout. Ashton joue bien, sans doute son meilleur role.
Par contre, pourquoi cette démarche bizarre, je ne me souviens pas que Steve Jobs marchait de cette façon !