Pour affirmer cela, les auteurs s'appuient notamment sur le cheval de Troie apparu début novembre, et qui depuis a connu nous dit-on, de nombreuses variantes. Ce dernier, rappelons-le, se faisait passer pour un codec QuickTime. Une fois récupéré et installé sur la machine, ce codec qui n'en avait que le nom, interceptait certaines requêtes Web et pratiquait des actions de phishing.
Toujours selon l'étude de Sophos, les pirates auraient également formulé comme bonne résolution de regarder de plus près les terminaux mobiles, notamment l'iPhone et l'iPod touch.