Cet été, SFR a présenté la SFR Box 10+ : une box compatible Thread et avec du Wi-Fi 7 sur trois bandes de fréquences (2,4 GHz, 5 GHz et 6 GHz). Après un premier lancement réservé à quelques abonnés, SFR a aujourd’hui annoncé que cette nouvelle version était désormais disponible à tous via l’offre SFR Fibre Premium.
SFR Box 10+. Image SFR.
La SFR Box 10+ a de nombreux avantages. En plus d’un design revu et d’un écran tactile E-ink, elle embarque un port Ethernet 10 Gb/s et est compatible avec la norme de fibre optique XGS-PON. Tout cela permet à l’opérateur de promettre une connexion allant jusqu’à 8 Gb/s en envoi comme en réception. Deux répéteurs Wi-Fi 7 bibandes peuvent être inclus sur demande.
L’offre Fibre Premium est assez intéressante étant donné qu’elle n’est facturée que 45 € par mois, sans hausse à venir, engagement ou frais d’ouverture. C’est plus abordable que ce que proposent Free ou Bouygues. Elle inclut un décodeur SFR Box 8 pour la TV, mais on pourra sinon en ajouter un de plus pour 10 € (ou passer par l’app pour TV connectée). Il est possible d’obtenir gratuitement 9 mois d’abonnement à Netflix, Disney+ ou Prime. Une box de secours est proposée pour 10 €, et l’opérateur offre 200 Go à ses abonnés mobile pour patienter jusqu’au raccordement.
Le saviez-vous ? L’environnement de restauration de macOS comporte une version allégée de Safari, trop restreinte pour que vous puissiez l’utiliser pour le plaisir, mais suffisante pour chercher des documents utiles au dépannage de votre machine. Allez savoir pourquoi, Apple a cru bon de renommer ce navigateur de secours, qui s’appelle tout simplement « Navigateur web » dans macOS Tahoe.
Rien ne change sous le capot. Il s’agit toujours d’une version dépouillée de Safari, dépourvue des réglages qui disparaitrait au démarrage (préférences, signets, historique…) et des fonctionnalités qui pourraient compromettre la sécurité de l’environnement de restauration (extensions, consoles…). Apple a même oublié de changer son agent d’utilisateur dans la version finale de macOS Tahoe, puisqu’elle s’identifie toujours comme Safari 19, qui est devenu Safari 26.
Il n’y a que les imbéciles qui ne changent pas d’avis. Après une pause de trois ans, nous sommes fiers de vous proposer un nouvel ouvrage consacré à iOS. Dès aujourd’hui, iOS 26 : notre petit guide des nouveautés est disponible dans notre boutique en ligne.
Cette année marque un vrai tournant : Greg Onizuka prend la relève de Nicolas Furno et adopte une approche plus directe, centrée sur l’essentiel. Là où Nicolas décrivait chaque recoin du système, Greg met en avant ce qu’il faut vraiment retenir pour prendre en main iOS 26 rapidement et efficacement.
Et il faut dire que cette version mérite le détour : à l’image d’iOS 7 en son temps, iOS 26 restera gravé dans les mémoires. Non pas pour sa nouvelle numérotation, mais pour sa toute nouvelle interface graphique, Liquid Glass.
Greg retrace l’histoire des interfaces d’Apple pour mieux comprendre ce choix radical, puis détaille les changements dans les apps phares comme Messages, Téléphone, FaceTime, Safari et Mail. Il revient aussi sur des nouveautés moins récentes liées notamment à Apple Intelligence.
iOS 26 accueille deux nouvelles applications : Aperçu et Jeux. Nous consacrons à chacune de ces apps un chapitre. Enfin, dans notre guide des nouveautés iOS, il est également question d'iPadOS et de son nouveau système de fenêtre. Nous ne pouvions pas passer à côté d'un tel changement.
Une offre spéciale pour les non-abonnés
iOS 26 : notre petit guide des nouveautés est proposé au prix de lancement de 4,99 €, en ePUB sans DRM. Pour les non-abonnés au Club iGen, nous vous avons préparé pour la première fois deux packs spéciaux :
De quoi profiter à la fois d’un guide pratique et d’un accès à nos tests et analyses des dernières nouveautés Apple. L’abonnement au Club iGen ne comporte aucun engagement et s’active très simplement grâce à un code coupon que vous recevrez par mail.
Il y a vingt ans, les « thèmes » qui permettaient d’imiter Mac OS X sur le web étaient une distraction. Aujourd’hui, ils ne sont pas loin d’être une nécessité. Ce qui a changé ? La disparition des applications natives « chimiquement pures » et l’intégration de plus en plus poussée de webviews mêlant des éléments venus du système et des éléments venus du web. Ce qui pose une question : peut-on recréer Liquid Glass dans une webview ? La réponse est, comme souvent, plus compliquée qu’on le voudrait.
Image Chris Feijoo/MacGeneration.
En fouillant les sources du projet WebKit, le développeur Alastair Coote a déniché la propriété -apple-visual-effect dans plusieurs feuilles de style CSS. D’après nos propres recherches, elle semble prendre en charge l’ensemble des « matériaux » de Liquid Glass :
-apple-system-glass-material pour Liquid Glass ;
-apple-system-blur-material, -apple-system-blur-material-thin et -apple-system-blur-material-ultra-thin pour les effets de flou ;
et plusieurs valeurs construites autour de -apple-system-vibrancy-* pour les différents effets de « vibrance » des éléments translucides.
Apple utilise notamment la valeur -apple-system-glass-material-media-controls dans les contrôles multimédia de tvOS, système où les technologies du web l’ont emporté sur les technologies natives, pour favoriser le développement multiplateforme. Mais il y a un mais : ces propriétés ne peuvent pas être utilisées par les développeurs.
Rien ne les empêche de bricoler sur leur machine – Coote a pu créer une barre d’outils utilisant Liquid Glass au-dessus d’une carte MapboxGL – mais pour utiliser -apple-system-glass-material dans une webview, il faut activer une API privée. Or dura lex, sed lex, Apple n’accepte pas les applications touchant aux API privées dans son App Store.
Une barre d’outils utilisant Liquid Glass au-dessus d’une carte MapboxGL. Image Alistair Coote/MacGeneration.
Cette situation rappelle l’imbroglio autour de la police San Francisco. Il n’avait fallu que quelques heures pour trouver une manière de s’en servir sur le web, mais près d’un an pour qu’Apple fournisse une manière sanctionnée de le faire. Gageons que la firme de Cupertino finira par proposer un standard de gestion de l’apparence des éléments, comme elle l’avait fait pour le mode sombre il y a quelques années.
En attendant, il faudra s’en tenir à des bidouilles plus ou moins avancées pour imiter Liquid Glass. Le développeur Chris Feijoo propose ainsi d’utiliser la propriété backdrop-filter, qui permet d’obtenir un effet de flou ou de diffusion derrière un élément, pour reconstruire le « verre liquide » couche par couche. (Par un heureux hasard, la propriété -apple-system-glass-material est incompatible avec les éléments utilisant la propriété backdrop-filter).
Si vous êtes développeur web, son article bourré de simulateurs interactifs vaut le détour, mais vous remarquerez immédiatement la limite de son approche. En utilisant un filtre SVG avec backdrop-filter, il outrepasse la spécification CSS. Seul Chrome accepte cette « erreur », si bien que son effet ne fonctionne ni sur Firefox ni sur… Safari. Compliqué, qu’on vous disait.
macOS Tahoe apporte le redesign Liquid Glass, ce qui se traduit par de nouvelles icônes gagnant un effet de verre. Certaines n’ayant pas été mises à jour se voient enfournées dans une boîte grise disgracieuse, qui vise sans doute à motiver les développeurs. En attendant, les utilisateurs se retrouvent avec un dock aux icônes disparates. Comment faire pour récupérer de jolies icônes ? Suivez le guide.
Tout d’abord, il faut trouver une icône de remplacement pour les apps n’ayant pas été mises à jour. C’est par exemple le cas de Spotify, Steam, Things ou même du Pixelmator Pro d’Apple. Le site macOSicons propose une énorme bibliothèque de créations de la communauté, que l’on peut télécharger au format standard .icns. Ne vous reste plus qu’à faire votre marché et récupérer celles qui vous intéressent.
Une fois cela fait, comment les intégrer à une app ? Le plus simple est sans doute de changer manuellement l’icône via son panneau d’information. Pour cela, rendez-vous dans votre dossier Applications avant de faire clic droit -> Afficher les informations sur celle que vous voulez modifier. Faites glisser la nouvelle icône sur celle tout en haut à gauche, puis validez avec votre mot de passe avant de redémarrer l’app. Hop, votre nouvelle icône custom est installée !
Cette solution est malheureusement temporaire, et votre icône personnalisée sera supprimée à chaque mise à jour de l’app. Cela sera pratique si vous attendez l’icône officielle, moins si vous voulez garder votre trouvaille. Si vous êtes dans ce cas, vous pouvez passer par le logiciel Replacicon. Vendu 8 €, il se charge de réattribuer l’icône personnalisée après chaque mise à jour.
Cette rustine est limitée étant donné qu’elle ne prend pas en charge la différence entre le mode clair et le mode sombre. En attendant, cette astuce pourra permettre aux développeurs et à ceux ayant la bêta publique de récupérer un peu de lisibilité, les boîtes grises étant particulièrement pénibles.