Ces brevets ont été publiés entre 2000 et 2004 et concernent notamment un système d'alerte de l'utilisateur à propos de contenus liés à la page qu'il consulte actuellement. Google est la première société mise en cause à avoir répondu en critiquant la faiblesse du dossier de Paul Allen. Google a ainsi expliqué au juge en charge du dossier que l'attaque était si faible sur le plan technique qu'il était impossible d'y répondre précisément. Apple a ainsi rejoint Google et les autres sociétés impliquées jeudi dernier.