Ces personnes seront responsables de la recherche de procédés de moulage d'alliages amorphes, ainsi que de son travail à la machine et de sa finition de surface. Ce sont justement des points forts du Liquidmetal : son co-inventeur citait les possibilités de finition de surface (lire : Du métal liquide dans le prochain iPhone ? ), tandis que le principal investisseur dans cet alliage s'était confié sur la souplesse du procédé de fabrication par injection-soufflage (lire : Liquimetal : licence d'usiner ? ). Le Liquidmetal risque donc de servir à bien plus qu'à fabriquer les trombones-éjecteurs de carte SIM de l'iPhone 3G…