Avec Xpress vous allez être le "magicien du flash auto-tournant" :-)

@ mediapress En même temps quand tu travailles, tu prends une connexion Internet rapide. Bon sinon, il y a vraiment des gens qui font des PDF avec XPress ? Ils n'ont pas peur :D

@ funatik2k Je travaille sous XPress et InDesign tous les jours. Si les deux ont de bons et mauvais côtés, pour faire des PDFs haute def pour partir en gravure, j'ai infiniment moins de problèmes poscripts, de corruptions, et de problèmes de gestion des transparences avec mes exports PDF XPress qu'avec InDesign. Ce qui est vraiment un comble.

@funatik2k J'allais le dire! Faisable, mais pour faire un pdf propre, faut aimer les solutions capillotractées ! (les habituels 4 clicks au lieu d'un click exporter sur InDesign, on se refait pas !) Heureusement qu'on a inventé Pitstop ! (au début je pensais que je m'en servirais que pour Publisher ; be non....... )

( n'empêche que pouvoir exporter direct pour une grosse fainéasse comme moi, c'est plutôt mieux ;-)

Ouaip c'est sûr on aimerais bien voir un système de mise-à-jour interne et automatique, comme c'est déjà le cas dans bon nombre de shareware a 20$. Quand aux PDF pour la fab, pour info, j'en fait toutes les semaines : du catalogue, de la plaquette, du flyer,… avec de l'import tout azimut : du PSD, de l'AI, du PDF,… et j'ai zéro problèmes. Coup de bol pour les maquettistes, contrairement aux 20 dernières années, aujourd'hui ont a le choix de bosser avec l'outil que l'on préfère.

@kernel oui c'est vrai. L'optimisation HD je ne la fait que sur Acrobat d'ailleurs. Mais même distiller n'a pas des fois su se sortir de certains fichiers un peu compliqués avec lesquels XPress se démerdait bien. Bon, bref :D C'était juste pour répondre au "Bon sinon, il y a vraiment des gens qui font des PDF avec XPress ? Ils n'ont pas peur" bien gland. Oups j'ai marché sur un troll... 'me fait encore avoir... :/

@ sdif Je pense pas que ton InDesign soit bien configuré, perso, j'ai jamais eu de problème (PDF X1a:2003) et ça roule. Je dépasse pas le PDF 1.3 pour pas embêter la flasheuse, c'est tout.

@ sdif Je ne parle pas de ça (même si à mes yeux XPress est d'un autre âge et bardé de bugs en version 8), mais de l'export de PDF directement depuis XPress. Pour moi, un vrai PDF se fait depuis Distiller et doit être certifié dans Pitstop. Depuis XPress (ou iD dans une moindre mesure), ce n'est pas propre.

Postscript, Distiller, certifié... en théorie, oui. Mais si vous connaissez bien votre imprimeur, demandez-lui son .job, un export direct et on n'en parle plus. Ah j'oubliais : SI LE DOC EST PROPRE ! (depuis Indy CS4, on peut entrer des profils de contrôle en amont) : vachement pratique pour éviter d'avoir des emm... après avoir envoyé le pdf. Et merde ! : j'étais encore en train de parler d'InDesign ! C'était quoi le sujet déjà ?

Je reconnais que je suis toujours étonné de lire tout ça autour du pdf. Je dois pas en faire assez. En tout cas, de mémoires, je n'ai jamais eu de soucis sur les deux logiciels. Tant que le doc est propre...

Pour la petite histoire, un peu de vécu. Aujourd'hui, ouverture d'un fichier Xpress 8.16 d'une composition de magazine (40 pages A4). Message à l'ouverture : "Le fichier nécessite quelques réparations !". 'tain de logiciel de 'erde !. J'ai passé une heure à retaquer mes blocs textes, tous en débordement ! Ce logiciel est une véritable plaie !

Ceux qui disent que les pdf sont compliques avec xpress sont soit des incapables soit restes a la version 4...

Mise à jour [i]"mineure"[/i] de 750 Mo - [i]ouch![/i] Apple ferait la même chose pour son [i]système[/i] que Spleen et quelques autres seraient en train de ricaner. [i]Hinhinhin[/i]... 8P

Juste un truc, pour ceux qui savent pas, document "propre" veut aussi dire, police propre ! Voilà. Si de bon pdf tu n'as pas, tes polices de caractère tu inspecteras. Poil aux doigts.

@ Madalvée Au fond l'imprimeur se fiche pas mal de ce que tu lui fournis, du moment qu'il a ses points de coupe et éventuellement son profil de couleur. Après, si tes couleurs ne sont pas respectées parce que tu as laissé ID faire la conversion en CMJN sans profil, si tu as utilisé des polices merdiques trouvées sur DaFont, si tu as des surimpressions du noir non contrôlées, si tu as importé des vecteurs trop complexes… C'est ton client qui va faire la gueule en voyant le résultat :/

C'est pour cette raison que tout "bon" imprimeur balancera le PDF dans son système CTP, sortira un plotter de contrôle (identique à ce qu'il y aura sur les plaques offset) comme Bon-à-tirer final. Si les polices ne sont pas intégrée... si il manque les débordants, si les blancs sont transparents... tout ça se verra sur le plotter. Actuellement, aucun imprimeur (à part ceux online qui se fiche du résultat, mais vu les prix...) ne prendra le risque de tirer un travail complet sans un BAT. Que le travail soit fait dans XPress, Indesign, Pages ou publisher... et même du Word!! (si, si!!)

@ caissonbulle : Cela peut être une gagueure en effet. Le mieux est de ne pas faire de fichier lourd. Car on atteind facilement 20 mega de nos jours avec 8 pages, alors 40 ...

@ Usb09 : Difficile de se restreindre à gérer un gros document en le morcelant en petit morceaux. Pas très moderne et peu pratique. Déjà que je m'astrains à enregistrer une nouveau fichier à chaque session de travail... Quant au poids de fichier, je gère actuellement deux gros catalogues sous InDesign avec des maquette de chapitre qui vont jusqu'à 150 Mo, sans problème...

"Au fond l'imprimeur se fiche pas mal de ce que tu lui fournis, du moment qu'il a ses points de coupe et éventuellement son profil de couleur." Ben non. Comme dit Stalmicmac, un bon imprimeur te feras signer un BAT. A partir d'une épreuve numérique. A regarder dans de bonnes conditions lumineuses. Qui aura tenu compte du papier qui servira à l'impression. Et il s'en fiche pas - il sera le premier à t'avertir d'une faute d'orthographe bien voyante avant de faire les plaques. Sinon faut changer de crèmerie.

D'abord, le graphiste et le client ne choisissent pas toujours l'imprimeur, que du contraire : beaucoup de clients migrent vers des 'acheteurs d'impression' qui centralisent les commandes et prennent en charge l'aspect technique de l'impression (ce que la plupart des clients ne savent plus faire), rajoutant au passage un intermédiaire supplémentaire. Alors, réussir à obtenir la moindre info technique (profils, type de papier, et compagnie) relève souvent du parcours du combattant. D'un autre côté, l'imprimeur demande à ce que la conversion quadri soit faites … ! Mais comment ? pour quel type de bécane ? Avec quel engraissement ? etc. Impossible à savoir … Donc oui, l'imprimeur se fiche complètement de tout ça : avec les prix qu'on lui demande de pratiquer, il veut surtout éviter d'immobiliser ses machines à cause d'un problème trop visible pour lequel le client risque de lui tomber dessus. Sinon, pffrttt …

"Mais comment ? pour quel type de bécane ? Avec quel engraissement ? etc. Impossible à savoir …" D'où l'intérêt de demander à l'imprimeur le .job à utiliser : Fogra 27, 39, pourcentage de saturation des encres etc.. Maintenant je veux bien reconnaître que la solution aller au moins cher avec des "acheteurs d'impression" rend pas la tâche aisée. Rien ne vaut le contact direct entre un fournisseur et son client, mon bon monsieur ! Pouvoir aller vérifier la sortie papier au cul de la presse, y'aura jamais photo avec le serrage de pogne du cravateux qui te ramène un (vieux?) Cromalin (et j'imagine que dans le tas y'en a un paquet qui n'a pas de système d'épreuvage aux dernières normes !)

Oui oui, bien sur. Et y'a rien de tel que le client qui te paie tout d'avance, sans même avoir vu le premier pixel, simplement parce qu'il a vu ton book et qu'il te fait confiance. D'ailleurs il est tellement content de bosser avec toi qu'il te met d'office une petite rallonge budgétaire (on ne sait jamais), t'invite au resto à chaque fois que vous vous voyez, et si le besoin s'en fait sentir, te prête sa voiture, sa femme et son iPad. Bon, dans la réalité, c'est pas exactement comme ça, hein. Parfois je suis étonné d'apprendre qu'il y a encore des imprimeurs en France, et que nos PDFs HD ne sont pas transférés à notre insu sur des serveurs FTPs chinois … Alors, prendre en compte le Fogra machin, tu penses, le chef de projet, le directeur de clientèle, le client et l'acheteur d'impressions, bref, tout ces intermédiaires entre toi, technicien graphiste et lui, technicien imprimeur, lls s'en battent les gonades au rythme effréné d'un verbunkos hongrois.