Promo : le MacBook Air M2 en 16 Go de RAM à 1 249 €

Florian Innocente |

Le MacBook Air 13" M2 dans sa version avec 16 Go de RAM et 256 Go de SSD profite d'une réduction chez Rakuten. Cette configuration sur mesure est vendue 1 249 € dans les coloris gris sidéral et minuit.

C'est 180 € de moins que le tarif Apple et le vendeur derrière Rakuten est Boulanger. Les adhérents au Club Rakuten peuvent en outre créditer leur compte d'au moins 160 € en points offerts.

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Asus ROG Mjolnir : une batterie externe de 768 Wh pour votre PC de joueur

Pierre Dandumont |

Asus, dans sa gamme ROG, propose un produit un peu étonnant : une batterie externe d'une capacité de 768 Wh (un peu plus de 200 000 mAh si vous voulez une comparaison avec l'unité habituellement employée pour les batteries externes). Elle porte le nom de Mjolnir (le marteau du dieu Thor) et reprend évidemment une esthétique très guerrière, avec notamment la forme du marteau vu dans les films Marvel.

Ceci n'est pas un marteau. Image Asus.

La batterie externe peut faire office d'onduleur, et elle intègre quatre prises pour brancher vos périphériques. La version montrée au Computex dispose de prises à la norme américaine, mais elle propose aussi cinq prises USB. Il y a deux prises USB-A classiques, qui fournissent jusqu'à 10 W, une prise USB-B qui sert a priori à communiquer avec l'onduleur, une prise USB-C capable de fournir jusqu'à 60 W et une seconde qui peut monter à 100 W. Les prises classiques, elles, peuvent fournir jusqu'à 1 000 W. Un écran est présent pour suivre les données de la batterie, comme l'énergie utilisée et celle restante. Asus a même poussé le vice en profitant réellement du manche du marteau : il s'agit d'une lampe de poche détachable. Enfin, un chargeur Qi2 est de la partie pour alimenter un smartphone.

ROG oblige, Asus explique que sa batterie peut alimenter un PC de joueur équipé d'une GeForce RTX 4080 pendant environ une heure, soit un bon 700 W à la prise. Il est aussi possible de recharger la batterie avec des panneaux solaires, pour récupérer quelques minutes de jeu si vous avez un beau soleil. Attention tout de même, la capacité de la batterie est bien au-delà de la limite pour les voyages en avion.

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Les Mac M3 et quelques iPad sont compatibles Thread matériellement... mais ce n'est pas activé

Pierre Dandumont |

Connaissez-vous la norme IEEE 802.15.4 ? Probablement pas sous ce nom, mais peut-être sous deux noms commerciaux : Thread et Zigbee. Et cette norme réseau est intégrée dans différents appareils Apple récents, même si elle n'est pas active.

Dans la liste, repérée par The Verge, on trouve les iPad Pro M4 — tous les modèles —, les iPad Air M2, les iMac M3, les MacBook Pro équipés d'une puce M3 ou M3 pro/Max et le MacBook Air M3 15 pouces. C'est probablement aussi le cas dans le MacBook Air M3 13 pouces, mais la validation par la FCC ne l'indique pas explicitement.

L'intégration de Thread dans les produits Apple n'est pas une nouveauté : certains boîtiers Apple TV l'intègrent, tous comme le HomePod mini et le HomePod 2. De même, et nous en avions déjà parlé, les iPhone 15 Pro peuvent communiquer directement avec les périphériques de domotique qui passent par Thread, même si l'intérêt reste faible en pratique.

Les iPhone 15 Pro communiquent avec Thread, une première dans un smartphone

Les iPhone 15 Pro communiquent avec Thread, une première dans un smartphone

Comme Thread n'a pas été activé par Apple dans les appareils cités plus haut, nous ne pouvons pas deviner ce que la société compte en faire. Il pourrait être possible de transformer un appareil fixe (comme un iMac) en routeur de bordure, ou tout simplement permettre d'étendre un réseau Thread avec un Mac ou un iPad. De même, une liaison directe avec un périphérique reste possible mais un concentrateur fixe reste plus pratique, ne serait-ce que pour gérer les automatisations.

Et si vous n'avez pas compris les différences entre Thread — qui est une liaison physique — et Matter (un protocole), nous vous rappelons que nous avons publié un dossier qui explique bien en quoi Matter et Thread sont différents mais complémentaires.

Tout savoir sur Matter et Thread, les deux nouveaux standards de domotique à ne pas confondre

Tout savoir sur Matter et Thread, les deux nouveaux standards de domotique à ne pas confondre

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Ulysses crée à son tour des liens entre les fichiers

Nicolas Furno |

Ulysses (abonnement) ajoute une corde à son arc avec sa dernière mise à jour : la possibilité de créer des liens entre les fichiers. Cet éditeur de texte propose depuis bien des années de gérer les documents dans une bibliothèque qui permet de les regrouper en projets, une organisation interne qui évite de déplacer les fichiers dans le Finder ou l’app Fichiers. La possibilité de lier deux éléments est une option assez logique et bizarrement absente jusque-là, même si c’est désormais réparé.

Un lien interne dans la dernière version d’Ulysses. Image MacGeneration.

Comme iA Writer l’avait fait avant, cette capacité est associée à un nouveau système de navigation similaire à celui d’un navigateur web. Une fois le lien interne inséré dans un document, vous pourrez cliquer dessus (avec la touche enfoncée) pour l’ouvrir. Pour revenir en arrière, vous pourrez alors cliquer sur les deux icônes ajoutées en haut à gauche du document. Les deux raccourcis clavier standard de macOS ont aussi été prévus pour naviguer dans l’historique : ⌘^ pour avancer et ⌘$ pour reculer.

À noter que cet historique ne se limite pas aux liens en interne, il permet également de revenir aux documents précédemment ouverts. Enfin, on peut souligner que les liens peuvent se faire non seulement vers un fichier, mais aussi vers un en-tête à l’intérieur de ce document.

La mise à jour est gratuite pour tous les abonnés à Ulysse. L’app est en effet proposée uniquement sur abonnement, avec deux options : sur l’App Store à 5,99 € par mois ou 39,99 € par an, ou bien sur Setapp, dans le cadre de l’abonnement global à partir de 12,5 $ HT par mois pour bénéficier aussi de l’app pour iPhone et iPad. L’interface est traduite en français et macOS 12 ou iOS 16.2 sont nécessaires au minimum.

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Asus veut se débarrasser des autocollants sur les PC portables

Pierre Dandumont |

Au Computex, Asus montre un prototype d'ordinateur portable qui veut en finir avec les autocollants sur la coque. Pas les affreux Intel Inside et autres Y a une GeForce dans mon PC de g4m3r1, mais bien ceux que certaines personnes collent sur la coque de leur ordinateur pour tenter de se démarquer.

Un exemple d'image (image Les Numériques)

Le projet Dali, montré par Les Numériques, est une solution intéressante pour ceux qui pestent pour enlever les traces de colle (dans ce cas de figure, il y a le Goo Gone). L'idée est simple : un écran eINK couleur sur la coque de l'ordinateur. Les couleurs semblent vives — ce qui n'est pas généralisé sur ce type d'écrans — et un programme maison permet de créer vos propres stickers personnalisés. La définition ne semble pas extraordinaire selon nos confrères et le temps d'affichage est un peu long, mais ce n'est pas réellement un problème dans ce cas de figure : le but n'est pas d'animer les images ni de les modifier de façon régulière. Le choix de l'eINK a un avantage évident, d'ailleurs : la consommation est nulle une fois les images affichées et l'impact sur l'autonomie est donc très faible.

Le logiciel (image Les Numériques)

Bien évidemment, ce n'est qu'un prototype, un appareil pensé comme une démonstration technologique pour un salon. Il n'est donc pas certain qu'Asus proposera cette nouveauté dans le futur. Et pour ceux qui veulent vraiment des autocollants sur leur Mac, il existe des versions M3 Inside

Les couleurs sont vives mais les pixels un peu visibles (image Les Numériques)
Des autocollants Intel Inside, mais pour les puces M1 et M2

Des autocollants Intel Inside, mais pour les puces M1 et M2


  1. La marque ne va évidemment pas enlever ce qui est une source de revenus.  ↩︎

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Swift a fêté son dixième anniversaire

Nicolas Furno |

Swift n’est plus vraiment le « nouveau » langage de développement d’Apple, puisqu’il vient de fêter son dixième anniversaire. Du moins, sa première présentation officielle et publique était le 2 juin 2014, lors de la conférence d’ouverture de la WWDC. Craig Federighi avait alors présenté ce nouveau venu comme Objective-C sans le C. Le langage historique de la pomme qui a fêté ses 40 ans l’an dernier n’a pas disparu une décennie plus tard, mais Swift reste son successeur et il a bien évolué au fil des années.

Craig Federighi lors de la présentation de Swift. Image MacGeneration, capture WWDC 2014 et photo Angèle Kamp.

Il évolue toujours, d’ailleurs : créer un langage de zéro est un énorme effort et malgré les moyens quasiment sans limite d’Apple, les fondations sont toujours créées ou retravaillées régulièrement. Ce n’est pas pour rien qu’Objective-C n’a pas disparu et ne semble pas prêt de disparaître dans bien des domaines. Apple reste l’un de ses plus gros utilisateurs, notamment pour les fondations de ses systèmes d’exploitation, et cela ne devrait pas changer de sitôt. À cet égard, l’ambition initiale d’offrir un langage capable de répondre à tous les besoins, du noyau aux scripts des utilisateurs, n’a pas été remplie.

Malgré tout, la majorité des apps natives qui sortent dans l’écosystème pommé repose désormais sur Swift et les nouveaux frameworks proposés par Apple sont codés exclusivement en Swift. Il n’y a pas de retour possible et même si les développeurs n’ont pas que du positif à dire, le langage n’est plus le petit nouveau qui débute. Il est désormais bien établi et devrait probablement rester au cœur de la stratégie d’Apple pendant de longues années encore.

Swift est aussi un projet open-source, si bien qu’il pourrait trouver place dans d’autres entreprises et au sein d’autres écosystèmes. Dans ce domaine toutefois, le bilan est nettement plus contrasté et à part quelques initiatives notamment dans le monde des serveurs, son usage reste largement limité aux produits Apple.

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Kernel Panic : que nous réserve la WWDC 2024 ?

Félix Cattafesta |

‌Kernel Panic, c’est le podcast long format de MacGeneration réservé aux abonnés du Club iGen. Publié deux fois par mois, il entre en détail sur un sujet lié à Apple ou au monde de la tech.

Nous ne sommes plus qu’à quelques jours de la WWDC ! Si l’année dernière a été marquée par la présentation du Vision Pro, c’est l’IA qui devrait être à l’honneur de cette édition 2024. Les rumeurs voient venir un nouveau Siri, du neuf pour Xcode ainsi qu’une intégration dans différentes applications de l’écosystème Apple.

Mais ce n’est pas tout, et comme de tradition, cette WWDC devrait être l’occasion de découvrir une fournée de nouveaux systèmes. macOS et iOS, forcément, mais aussi iPadOS, watchOS ou encore… visionOS ! Les premières bêtas devraient être disponibles dans la foulée, permettant aux développeurs de jouer un peu avec tout cela. Que nous réservent Tim Cook et sa bande pour la WWDC 2024 ? Nicolas et Stéphane décryptent les rumeurs et évoquent leurs attentes dans ce nouvel épisode de Kernel Panic.

Bonne écoute !

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