LibreOffice 5.1 ouvre les fichiers dans le nuage

Nicolas Furno |

LibreOffice 5.1 est disponible et la Document Foundation qui est à l’origine de la suite bureautique libre annonce sur son site officiel une interface « complètement réorganisée ». Nous espérions une nouvelle présentation plus dans l’air du temps, peut-être une interface vraiment novatrice au lieu de se contenter de reprendre ce que faisait Microsoft il y a quelques années.

Vérifications faites, rien n’a changé, ou presque. La réorganisation complète annoncée ? Quelques changements dans les menus, comme l’ajout d’un menu dédié aux Styles dans le traitement de texte. Comparez la capture d’écran de la version 5.1 ci-dessous avec cette autre capture, effectuée avec LibreOffice 5.0 et vous le constaterez vous-même : c’est toujours la même interface.

Le traitement de texte de LibreOffice 5.1 — Cliquer pour agrandir
Le traitement de texte de LibreOffice 5.1 — Cliquer pour agrandir

Ce n’est pas une mise à jour sans intérêt pour autant : LibreOffice est plus rapide sur Windows et la suite bureautique améliore sa compatibilité avec les dernières versions de Microsoft Office. On peut aussi ouvrir les derniers fichiers créés avec Keynote. Mais le plus intéressant est à dénicher dans le menu « Fichier » : on peut désormais ouvrir des fichiers stockés dans un nuage, les modifier en local sur son ordinateur et enregistrer les modifications à nouveau sur le nuage.

La suite bureautique est compatible avec Google Drive et OneDrive, mais aussi la majorité des services de cloud dédiés aux entreprises (SharePoint, Alfresco, Lotus Live File, etc…), mais encore n’importe quel serveur accessible en SFTP ou WebDAV. Il manque Dropbox ou iCloud Drive à la liste, mais si vous utilisez l’un des services pris en charge, il suffit de saisir ses identifiants pour accéder aux documents distants. LibreOffice protège ensuite l’accès aux données avec un mot de passe que vous définissez lors de la première utilisation.

Consultation des fichiers stockés sur Google Drive, directement dans LibreOffice.
Consultation des fichiers stockés sur Google Drive, directement dans LibreOffice.

Cet accès distant aux fichiers fonctionne correctement, même si on est loin d’une intégration transparente comme on peut en avoir entre iWork et iCloud, ou Office et OneDrive. Une fois un document distant ouvert, on le modifie en local et il faut passer par les menus pour enregistrer une copie distante. Impossible de mettre à jour un fichier distant, l’ensemble reste assez complexe, mais cette nouvelle fonction peut dépanner.

avatar umrk | 

Merci de cette information très intéressante !

avatar joneskind | 

Je note sur la capture que LibreOffice n'a toujours pas été mis à jour pour les écrans Retina. On prend son temps à la Document Foundation...

avatar lmouillart | 

Le support pour écrans HiDPI avance petit à petit, sous Linux ça fonctionne plutôt bien, sous Windows apparemment aussi. Malheureusement OS X est un peu le parent pauvre coté logiciels libres. Ils sont de moins bonne qualité que sur les autres plateformes, car personne ne les utilise, et personne ne les utilise, car ils sont de mauvaise qualité. De plus si une partie des développeurs de LL ont des Mac, ils sont sous Linux exclusivement.

Les priorités pour LibreOffice sont pour le moment surtout : la suite accessible via le web, le support de GTK3, et Wayland.

Coté support sous OS X il ne reste pas forcément grand chose : https://goo.gl/vZS08V :
Détection de la résolution, réexporter les icônes (qui sont en svg) du thème sifr en HiDPI.
Rendre HiDPI les vagues rouges de soulignement des fautes.
Modifier les widgets de l'écran de préférence
Modifier la gestion des miniatures de diaporama
Modifier la gestion des sommaires

avatar madmak | 

Quelle solution conseilleriez-vous pour ouvrir un open doc sur un iPad ? Merci.

avatar Apollo11 | 

@madmak :
Franchement, je crois que ça sert à rien. Vaut mieux enregistrer ses documents par défaut en Docx pour Office le plus récent dans les choix. Comme ça, vous êtes assurés que le fichier sera lisible partout et par tout le monde. La bataille du ODF est perdu d'avance.

avatar patrick86 | 

@Apollo11 :

Et si ce qu'on veut c'est ouvrir ou éditer un document ODF sur son iPad ?

avatar emink | 

OOreader, ça permet de lire les docs reçus en odt.

avatar Moonwalker | 

À quand un module Qucklook ? Aux calendes grecques.

avatar Apollo11 | 

Pour ceux qui ne connaîtrait pas, je vous recommande d'installer l'extension Grammalecte. Très bon correcteur automatique (grammatical, typographique, orthographique) et dictionnaire. Le genre de chose qui manque grandement sur Pages.

avatar iRobot 5S | 

@Apollo11 :
Avec ou sans réforme orthographique ?

avatar belcikowski | 

Tout cela, c'est bien beau, mais je me plains d'un problème basique (je vis en province) : quand je vais chez l'imprimeur, comme je sais qu'il n'a pas Libre Office sur sa machine, je dois lui apporter un fichier en .doc. Quand je convertis un .odt en .doc sur mon Mac, les retraits de 1e ligne sautent. Personne ne semble s'intéresser à ce problème !
Du coup, j'apporte à l'imprimeur un fichier .pdf. Mais s'il y a, avant impression, quelque chose à corriger sur le texte source...

avatar iRobot 5S | 

@belcikowski :
Je suis plutôt surpris qu'il existe encore des imprimeurs.

avatar patrick86 | 

"Je suis plutôt surpris qu'il existe encore des imprimeurs."

C'est encore très courant, ne serait-ce que pour des choses un peu spécifiques comme cartes de visites, flyers, faire part de mariage plus zoli que le truc chié par l'imprimante jet d'encre de la maison, etc.

avatar aldomoco | 

@patrick86

...mais bientôt ils deviendront aussi rare que ceux qui pratiquent le daguerréotype pour la photographie :-(

avatar patrick86 | 

@aldomoco :

Je ne connaissais même pas cette technique de photographie. Merci :-)

avatar aldomoco | 

@patrick86

...en 1978 Spielberg avec son "rencontre du troisième daguerréotype" en sont les dernières traces :-(

avatar tbr | 

@aldomoco :
Chaque fois que je lis une de tes remarques, je pars en fourire. "Rencontre du troisième daguerréotype", fallait oser. :-D

avatar Apollo11 | 

@belcikowski

C'est simple : arrêtez de d'enregistrer par défaut vos fichiers en .odt

Quoi qu'on en dise, la norme c'est .docx de Office.

avatar patrick86 | 

@Apollo11 :
Open XML n'est pas "la" norme.

ODF et OpenXML sont tous deux normalisés.

avatar Apollo11 | 

@patrick86

On s'en fout.

La norme, c'est ce que la majorité utilise. Pas celle décrétée par une association. Comme il est très facile d'enregistrer ses documents en .docx de Office, pourquoi ne pas le faire? Pour respecter une norme que peu de gens utilisent? Et brailler parce qu'on a des problèmes de compatibilité? À chacun ses combats. J'ai pas de temps à perdre avec des enfantillages philosophiques.

avatar belcikowski | 

Vous ne m'avez pas bien comprise : quand j'enregistre en .docx, j'obtiens un fichier .docx certes, mais dans lequel tous les retraits de 1e ligne ont sauté !
NB. Je vais chez l'imprimeur parce que j'écris des livres et que je ne vais pas vider les cartouches de mon imprimante avec 600 pages !

avatar Apollo11 | 

@ belcikowski

Parce que vous travaillez d'abord en .odt et que vous « transférez » ensuite en .docx

Modifiez le format de texte par défaut dans les préférences d'enregistrement.

avatar belcikowski | 

Merci. Je vais tester.

avatar patrick86 | 

@Apollo11 :
Vous faites ce que vous voulez de vos documents. Donc laissez également les autres faire ce qu'ils souhaitent de leurs propres fichiers, sans vouloir leur imposer la norme du conformisme.

Le fait est : les gens sont en droit de vous demander d'enregistrer les documents que vous leur transmettez, dans un autre format que OpenXML.

avatar AirForceTwo | 

Pour moi, ce qui compte c'est la pérennité des documents et l'assurance que ces documents être disposés de la même façon lors de la prochaine ouverture que lorsque je les ai fermés, et ce quelque soit le logiciel compatible utilisé. Et actuellement, .docx n'offre pas cette garantie. Un document .docx s'affiche différemment dans Word, LibreOffice ou Pages. Poubelle, donc.

avatar AirForceTwo | 

Un fichier de traitement de texte, quel qu'il soit, n'est pas un fichier d'impression.
C'est le PDF qu'il faut privilégier. Et si vous souhaitez que votre imprimeur puisse modifier quoi que ce soit, alors c'est un fichier InDesign que vous devriez lui fournir. Mais pitié, pas de Word ou LibreOffice en imprimerie. Ça n'a aucun sens.

avatar BeePotato | 

@ belcikowski : « Du coup, j'apporte à l'imprimeur un fichier .pdf. Mais s'il y a, avant impression, quelque chose à corriger sur le texte source... »

Comme déjà dit par d’autres, le PDF est la seule solution vraiment viable pour être sûr d’avoir une impression correspondant exactement à ce qu’on veut.
Et pour les corrections de dernière minute, l’idéal est d’arriver chez l’imprimeur avec un portable.
Ou, plus simplement, d’échanger avec l’imprimeur par email, en ne se déplaçant que pour aller chercher le résultat de l’impression. ;-)

avatar aldomoco | 

@BeePotato 'le PDF est la seule solution vraiment viable pour être sûr d’avoir une impression correspondant exactement à ce qu’on veut.'

...d'autant plus que c'est Adobe l'inventeur du PDF (et du Postscript) et qu'avec InDesign rien n'est plus facile et efficace de générer des fichiers PDF, plus besoin de fournir les fontes et autres fichiers pour l'imprimeur !

avatar belcikowski | 

Libre Office gère parfaitement les caractères insécables ; Pages les ignore complètement.

avatar joneskind | 

@belcikowski

Pour faire un espace insécable partout sur Mac il suffit de faire Alt + Espace.

Je viens de faire le test avec Pages et ça marche parfaitement.

D'ailleurs ça marche aussi dans Safari.

La phrase ci-dessus en italique a été écrite avec des espaces insécables si vous voulez vérifier.

avatar BeePotato | 

@ joneskind : « Pour faire un espace insécable partout sur Mac il suffit de faire Alt + Espace. »

option+espace ;-)

(oui, je chipote ;-) )

avatar belcikowski | 

Chez moi, alt + espace, après n° en bout de ligne, ça ne marche pas.

avatar joneskind | 

@belcikowski

En effet, l'espace insécable n'a pas l'aire de marcher avec N°, ce qui est étrange. Ça marche très bien avec les mots pourtant... C'est peut-être un bug... Un bug pénible.

lksdfbvlkjhdbfvlkhsdlfbvdbfll : Ça marche aussi avec les " : "
123123123123123123123123123123123123 123123123213123124554352352341314 23423526632 : Ça marche aussi avec les nombres.

Mais ça marche pas avec ce foutu "°" !

N[^0] 123456789. N[^0] 123456789. N[^0] 123456789. N[^0] 123456789. N[^0] 123456789. N[^0] 123456789.

Et avec la fonction exposant ?

NB : Ça marche dans la fenêtre de commentaire, mais par contre ça ne marche plus une fois le commentaire envoyé.

avatar BeePotato | 

@ joneskind (et belcikowski) : « C'est peut-être un bug... Un bug pénible. »

Je ne pense pas que ce soit un bug, mais plutôt un comportement lié à la sémantique du caractère « ° ».

De toute façon, on n’est pas censé utiliser ce caractère « degré » pour écrire la version abrégée de « numéro ». Ça doit être écrit avec un « o » en exposant (ce qui permet d’en écrire correctement le pluriel avec « os » en exposant). Si on l’écrit bien comme ça, il n’y a alors aucun souci de fonctionnement lorsqu’une espace insécable le suit.

Évidemment, ça ralentit la frappe de l’écrire de cette façon. Et la fonction de remplacement automatique de texte accessible par les préférences système ne permet pas de spécifier une modification de style (ici, la mise en exposant) dans le texte de remplacement, donc elle ne peut pas servir pour accélérer la frappe.
Il faut donc soit utiliser un outil de remplacement automatique plus sophistiqué (TextExpander, par exemple), soit se faire une entrée dédiée à ça dans le fichier DefaultKeyBinding.dict (c’est ce que j’ai fait).

Ou sinon, on peut choisir de tricher en utilisant le caractère « º », graphiquement assez proche et qui présente l’avantage de fonctionner comme on le souhaite lorsqu’il est suivi d’une espace insécable. ;-)
Il s’agit du caractère Unicode 00BA (« masculine ordinal indicator »), obtenu sur un clavier azerty Apple via la combinaison option+u.

avatar patrick86 | 

@BeePotato :

" soit se faire une entrée dédiée à ça dans le fichier DefaultKeyBinding.dict (c’est ce que j’ai fait)."

Intéressant ! Où trouve-t-on ce fichier ?

avatar aldomoco | 

@patrick86
La plupart des raccourcis clavier pour l'édition de texte dans OS X sont définis dans /System/Library/Frameworks/AppKit.framework/Resources/Standard KeyBinding.dict. Vous pouvez ajouter des raccourcis clavier en enregistrant une liste de propriétés comme celui-ci que ~ / Library / KeyBindings / DefaultKeyBinding.dict. Quittez et rouvrez applications pour appliquer les modifications à DefaultKeyBinding.dict.

avatar Apollo11 | 

@aldomoco :
Malheureusement, dans OS X, on ne peut ajouter une correction automatique de moins de deux caractères.

Par exemple, si je veux remplacer le point d'interrogation par un espace insécable et le point d'interrogation, c'est impossible.

C'est très limité.

Ce qui m'empêche entre autres raisons d'utiliser Pages. Devoir taper constamment sur 3 touches, ALT + Espace + ? pour arriver à ce que je souhaite, alors que c'est automatique dans Word et LibreOffice. Une seule touche.

avatar BeePotato | 

@ Apollo11 : « Malheureusement, dans OS X, on ne peut ajouter une correction automatique de moins de deux caractères. »

En utilisant le système de correction automatique, en effet. En revanche, c’est possible en utilisant le fichier DefaultKeyBinding.dict mentionné plus haut (mais la configuration est moins « user-friendly » ;-) ).

avatar BeePotato | 

@ patrick86 : « Intéressant ! Où trouve-t-on ce fichier ? »

Comme l’a déjà signalé aldomoco, dans le dossier Bibliothèque → KeyBindings (à créer si inexistant).
On peut trouver des explications sur la syntaxe à utiliser pour son contenu notamment ici :
http://www.hcs.harvard.edu/~jrus/site/cocoa-text.html
dans la section « Default key bindings ».
En résumé, le principe est définir dans ce fichier des messages à envoyer aux objets du système de gestion de texte de Cocoa en réponse à la frappe de certaines touches.
Il existe un éditeur dédié, KeyBindingsEditor, assez ancien mais qui fonctionne encore. Mais la syntaxe du fichier est suffisamment simple pour ne pas en avoir besoin.

La partie la plus compliquée est de connaître la liste des sélecteurs disponibles (les messages qu’il est possible d’envoyer) et ce qu’ils font. Pour ça, on peut se référer à la documentation de Cocoa, mais pour simplifier la vie, l’auteur de la page que j’ai indiquée a créé une page qui liste un paquet de sélecteurs en expliquant à quoi ils servent. Le lien est disponible à la fin de la section « Usable selectors ».

On peut faire des trucs assez sympa avec cette approche, mais c’est évidemment bien moins facile à configurer (surtout pour des non développeurs) qu’un utilitaire comme TextExpander.

Pour ce qui est de l’histoire des numéros, j’ai ajouté cette entrée dans mon fichier DefaultKeyBindings :
"^°" = ( "superscript:", "insertText:", "o", "unscript:" );
Ça insère un « o » en exposant quand on appuie sur ctrl+°.

avatar patrick86 | 

@BeePotato & aldomoco

Merci ! je regarderai ça.

avatar belcikowski | 

Pour la saisie des caractères insécables, Libre Office est de toute façon plus sûr que Pages. Il suffit de cliquer sur Insertion/Caractères spéciaux, et c'est bon. De plus, Libre Office gère automatiquement l'espace avant les signes de ponctuation doubles. Ce que Pages ignore superbement.
Je ne défends pas spécialement Libre Office (lourd et moche), mais, à la différence de Microsoft Office, c'est gratuit.
Merci à Apollo 11 qui m'a donné le conseil premier : paramétrer d'abord, dans les préférences, l'enregistrement en .docx. Voilà qui règle mon problème et m'évite d'enrager des lacunes de Pages.

avatar BeePotato | 

@ belcikowski : « Pour la saisie des caractères insécables, Libre Office est de toute façon plus sûr que Pages. Il suffit de cliquer sur Insertion/Caractères spéciaux, et c'est bon. »

Pour ma part, je trouve ça au contraire bien plus lourd et moins pratique que la combinaison option+espace, qui présente de plus l’avantage d’être utilisable partout dans Mac OS.

avatar belcikowski | 

Je relis l'ensemble de la discussion. Tous les conseils sont intéressants, mais un peu trop "riches" à mon goût : il n'y a qu'à utiliser Microsoft Office + Indesign...
Le .pdf, c'est effectivement ce qu'il y a de mieux pour l'imprimeur. On envoie ensuite, en première approche, l'impression .pdf à l'éditeur. Mais l'éditeur réclame ensuite un fichier .docx impeccable (insécables, espaces, etc.)...

avatar BeePotato | 

@ belcikowski : « l'éditeur réclame ensuite un fichier .docx impeccable »

Ah ben si l’éditeur réclame ça, ça fiche par terre toute autre approche.
Mais il ne devrait pas réclamer ça. Je ne vois pas pourquoi il n’imprimerait pas depuis un fichier PDF, qui est fait pour ça, contrairement à un fichier Word.

avatar belcikowski | 

L'auteur doit se plier aux desiderata de l'éditeur.
Celui-ci n'imprime pas directement à partir de l'impression pdf fournie par l'auteur. Si l'impression pdf lui a plu, il réclame un .docx pour d'éventuelles modifications de son crû, spécialement celles qui sont liées à la charte graphique de sa maison.

avatar BeePotato | 

@ belcikowski : « L'auteur doit se plier aux desiderata de l’éditeur. »

Ah, oui, désolé : je me rends compte que j’avais lu « imprimeur » au lieu « d’éditeur » dans ton commentaire précédent (en réussissant même à taper « éditeur » dans ma réponse tout en pensant « imprimeur »).
Oui, là, je comprends mieux la contrainte.

avatar tbr | 

"Il est liiiiiibre-Office, y en a même qui disent qu'ils l'ont vu voleeeer (dans les nuages)", sur un air de chanson très connu.

avatar M-Rick | 

"On peut aussi ouvrir les derniers fichiers créés avec Keynote"
Oui ça reste relatif … Tant que les développeurs refuseront d'intégrer le support natif du PDF dans les documents, on arrivera pas à avoir une bonne compatibilité avec iWork …

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