OpenAI : des MacBook en guise de bienvenue chez Microsoft
Satya Nadella était prêt à toutes les extrémités pour ne pas voir les 13 milliards de dollars investis dans OpenAI partir en fumée, même à offrir des MacBook aux transfuges de la start-up.
Mieux, les centaines d'employés d'OpenAI, fâchés par le renvoi brutal de leur patron, Sam Altman, n'auraient pas été obligés d'utiliser Teams. C'est une anecdote racontée par le Wall Street Journal sur le week-end qui a agité toute la Silicon Valley, il y a dix jours.
À l'issue d'un week-end frénétique, Altman avait accepté de créer une nouvelle division IA chez le géant de la technologie, afin de pouvoir continuer à travailler avec Nadella et de profiter de l’accès à la puissance de calcul de Microsoft. Bientôt, il devint clair que des centaines de chercheurs étaient prêts à rejoindre Altman dans une entreprise aussi sexy que de la soupe.
Microsoft était prêt à donner à ces ingénieurs tout ce dont ils avaient besoin pour poursuivre leur travail : un étage dans les bureaux de LinkedIn, de nombreuses ressources de cloud computing, des ordinateurs portables Apple. Les employés de l’entreprise ont assuré à leurs collègues potentiels qu’ils n’auraient même pas besoin d’utiliser Teams, l’application de communication chez Microsoft.
C'est dire si l'investissement de 13 milliards de dollars, décidé par Satya Nadella, pour s'assurer 49 % du capital d'OpenAI, était en péril et que tout fut mis sur la table pour éteindre l'incendie…
Plaisanterie mise à part, si Nadella n'a finalement pas recruté Altman, puisque ce dernier est revenu chez OpenAI avec un début de nouveau conseil d'administration, le patron de Microsoft aurait néanmoins obtenu ce qu'il souhaitait :
En ouvrant les portes de Microsoft à l'équipe OpenAI, Nadella a accru la capacité d'Altman à reprendre sa place, alors que le conseil d'administration d'OpenAI était confronté à un exode. Il a eu ce qu'il voulait après cinq jours de négociations mouvementées qui ont abouti à la réintégration d'Altman. Dans son post sur X, confirmant son retour, Altman a évoqué le soutien d'une personne : Satya Nadella.
OpenAI a recouvré une stabilité, mais le conseil d'administration n'est pas encore au complet et personne de Microsoft n'y figure à ce stade des négociations. Pour l'heure, ce conseil ne compte que trois personnes — Bret Taylor, précédemment Co-CEO de SalesForces, Larry Summer, ancien Secrétaire du Trésor des États-Unis de 1999 à 2001 (administration Clinton) et Adam D'Angleo, patron-fondateur du forum Quora — et plusieurs autres devraient les rejoindre à terme.
OpenAI retrouve sa tête, Sam Altman est de retour
Meme pas Pro ? Sans doute avec 8 GB. De la machine d’amateur.
@fte
Certain que c’est des modèles pro, ils ont la touchbar !
@⚜Dan
"ils ont la touchbar !"
C’est pire. La TouchBar c’est un truc d’amateurs.
@fte
lol
@fte
😆
ah Steve aurait tellement aimé vivre cet épisode à l’époque… mais Gates n’est venu à son secours qu’une douzaine d’années plus tard
@raoolito
>"Gates n’est venu à son secours qu’une douzaine d’années plus tard"
La comparaison n’est pas judicieuse : Jobs a repris Apple par un 18 Brumaire de son cru. La caution de Gates n’a été dictée que par la nécessité pour MS, alors en délicatesse avec le DoJ, de se préserver un concurrent-alibi.
Sam Altman est parti en roi déchu : « The King over the Water ».
Il revient en satrape de Satya Nadella.
La position de satrape, dans l’Empire achéménide, est une position enviable : dotée de très grands pouvoirs, assortie d’une grande autonomie. Mais gare à indisposer ou contrer le souverain ; gare aussi à ne pas fournir le tribut escompté.
J’aurais bien aimé que mon entreprise m’accueille comme ça. 😁
Plus personne ne veut de Windows et d’Intel … même Microsoft lui même 😂😈
@R-APPLE-R
Disons que quand t’as un jour développé sur un MacBook Mx c’est dur de revenir 10 ans en arrivées avec un intel. Windows n’est pas le problème, macOS est beaucoup moins bien pour développer, la gestion du multi écran et des fenêtres d’une même appli est trop pourrie par rapport à Windows, ça rend fou, mais l’écart en perf qui est trop énorme.
@cybercooll
"Disons que quand t’as un jour développé sur un MacBook Mx c’est dur de revenir 10 ans en arrivées avec un intel."
Je ne sais pas avec un Intel, je suis passé sur AMD, et je refuse de bosser sur les PC de mon institution.
Mais donc je te propose d’aller 10 ans dans le futur et d’essayer un 7950X3D. Ça flingue le chien.
"la gestion du multi écran et des fenêtres d’une même appli est trop pourrie par rapport à Windows"
Ça n’a pas toujours été le cas. C’était bien avant leur foutu mode plein écran qui a remplacé le zoom usuel des fenêtres. Ça a été le premier pas dans le vide au dessus de l’abysse. Je suis passé à Win11 (de Win10) juste pour la gestion de fenêtres, des goodies en plus. Ça envoie du bois, absolument brillant.
@fte
Ça rentre dans un portable ça ou le dissipateur fait 3 fois l’épaisseur d’un MacBook?
Et franchement, si j’ai 2% de mieux en perf sur un démarrage de serveur d’application c’est exceptionnel (je parie pour 10% plus lent ce qui serait déjà très bien)
@cybercooll
"Ça rentre dans un portable ça ou le dissipateur fait 3 fois l’épaisseur d’un MacBook?"
Aucune importance. Mes 3 27" ne rentrent pas non plus dans un portable.
@fte
Tu pouvais pas te prendre des 32"?
C’est plus confortable que des 27 quand même.
@cybercooll
"C’est plus confortable que des 27 quand même."
4K vs 4K, les 5" de plus ne font que me faire reculer plus les écrans avec une qualité de dalle pas nécessairement équivalente.
Quand 8K sera la norme je passerai à trois 32".
Non. J’ai changé de métier. Je n’en prendrai que deux en réalité.
@fte
4K sur un 27"? Tu n’as pas de texte à lire, ou alors tu es à 10cm de ton écran, moi c’est pas jouable 😱
@cybercooll
"4K sur un 27"? Tu n’as pas de texte à lire, ou alors tu es à 10cm de ton écran, moi c’est pas jouable 😱"
Il y a un réglage pour changer l’échelle, duh.
@fte
Et donc tu mets le même réglage entre un 27" et un 32"? Pour moi niveau espace de travail la différence est énorme.
@cybercooll
"Et donc tu mets le même réglage entre un 27" et un 32"? Pour moi niveau espace de travail la différence est énorme."
Ma nuque et mon cou n’étant pas infiniment flexibles, oui, je mettrais un 32" un peu plus loin de ma gueule qu’un 27", et donc j’utiliserais très probablement le même réglage.
@ cybercooll : « Windows n’est pas le problème, macOS est beaucoup moins bien pour développer »
Hum. Ne généralisons pas.
Il y a des personnes pour qui Windows est bel et bien le plus gros problème, et pour qui MacOS apparaît comme largement supérieur pour développer (et pas que).
« la gestion du multi écran et des fenêtres d’une même appli est trop pourrie par rapport à Windows »
J’ai du mal à voir en quoi la gestion des écrans multiples sur MacOS serait pourrie par rapport à la version Windows. Idem pour la gestion des fenêtres, que je trouve assez horrible dans Windows (au point qu’il semble que la plupart des utilisateurs utilisent soit une fenêtre en plein écran, soit les raccourcis ajoutés par Microsoft il y a quelques années pour recréer facilement le tuilage de Windows 1 🙄).
@BeePotato
Tu a 4 word ouverts, 2 par écran (c’est vrai pour n’importe quelle appli multi fenêtres)
Tu es sur chrome et tu cliques sur un doc, et bim ça te met les 4 docs au premier plan et tu dois tout rediminuer.
Il faut un clic « à blanc » pour changer d’écran et mettre le focus dessus. Ensuite tu peux cliquer sur un bouton.
Exemple: je code sur l’écran de gauche. Je clique sur le bouton reload de chrome sur l’autre, ça fait rien d’autre Ue mettre le focus sur chrome, le clic est pas pris en compte.
Pour faire un drag and drop d’une pièce jointe depuis un mail vers un dossier sur le Finder alors qu’il est pas dispo visuellement, tu gardes le clic souris enfoncé au dessus du Finder dans la barre des tâches , tu attends 3sec qu’il passe devant, puis ensuite il faut mettre le curseur au dessus pour qu’il prenne le focus, ce qui prend encore 4 secondes, et ensuite tu pleures si t’étais pas sur le bon dossier ou si t’as relâché le clic trop tôt.
Juste pour bosser (en considérant seulement les applis que j’utilise pour travailler), je vois rien en faveur de macOS.
@ cybercooll :
Merci pour cette réponse détaillée.
Elle contredit cependant sur plusieurs points le fonctionnement que j’observe de MacOS.
« Tu a 4 word ouverts, 2 par écran (c’est vrai pour n’importe quelle appli multi fenêtres)
Tu es sur chrome et tu cliques sur un doc, et bim ça te met les 4 docs au premier plan et tu dois tout rediminuer. »
Par « cliquer sur un doc », je comprends « cliquer dans la fenêtre d’un des 4 documents ouverts ». Quand on fait ça, ça ramène au premier plan uniquement la fenêtre concernée, ce qui est bien normal. En tout cas, c’est le comportemant normal pour les applications conçues pour MacOS et qui respectent ses règles d’interface utilisateur. Je ne peux pas vérifier si Word se comporte anormalement, ayant la chance de ne plus avoir à l’utiliser depuis longtemps, mais s’il ne se comporte pas comme ça c’est un souci de Microsoft, et non de MacOS.
Si « cliquer sur un doc » signifiait « cliquer sur l’icône de l’application dans le Dock » (ce qui serait un peu bizarre, mais sait-on jamais), là ça ramène bien toutes les fenêtres de l’application au premier plan… ce qui est parfaitement normal et souhaitable (et une source continue d’énervement pour moi quand je me retrouve à devoir utiliser Windows).
« Il faut un clic « à blanc » pour changer d’écran et mettre le focus dessus. Ensuite tu peux cliquer sur un bouton.
Exemple: je code sur l’écran de gauche. Je clique sur le bouton reload de chrome sur l’autre, ça fait rien d’autre Ue mettre le focus sur chrome, le clic est pas pris en compte. »
Le « clic-through » dans une fenêtre inactive n’est effectivement pas systématique sur MacOS, et est déconseillé pour les éléments d’interface ayant une action potentiellement destructive. Les développeurs sont encouragés à ne l’activer qu’au cas par cas, juste pour les éléments pour lesquels il y a un sens à le faire.
Ce qui est le cas ici : je viens de faire le teste pour vérifier, et le bouton de rechargement de Chrome est utilisable directement en un clic même dans une fenêtre inactive. Bon, comme c’est du développemenet à la Google, il n’y a pas de retour visuel (lors du survol par le curseur) indiquant que ça va être le cas (contrairement à ce qu’on peut observer dans Safari, par xemple), mais ça fonctionne quand même. Que la fenêtre inactive soit sur le même écran, sur un autre écran, dans un espace séparé ou non (selon le mode de gestion des écrans multiples qu’on choisit d’utiliser).
« Pour faire un drag and drop d’une pièce jointe depuis un mail vers un dossier sur le Finder alors qu’il est pas dispo visuellement, tu gardes le clic souris enfoncé au dessus du Finder dans la barre des tâches , tu attends 3sec qu’il passe devant, puis ensuite il faut mettre le curseur au dessus pour qu’il prenne le focus, ce qui prend encore 4 secondes »
Si on souhaite faire le glisser-déposer de cette façon (en utilisant App Exposé en le déclenchant via survol de l’icône de l’application dans le Dock — et non « la barre des tâche » 😉), oui on peut le faire en se reposant sur le délai pour la sélection de chaque cible.
Mais comme les utilisateurs de Mac le savent depuis l’introduction de cette approche avec les dossiers « à ressort » dans MacOS 8 il y a 25 ans, on peut faire un appui sur la barre d’espace pour court-circuiter ce délai. Ce qui permet ici de déclencher très vite le mode App Exposé, puis de sélectionner très vite la fenêtre de destination.
Mais bien sûr, il n’y a aucune obligation de procéder de cette façon, puisqu’on peut tout aussi bien utiliser le mode Exposé global (bon, ok, nommé « Mission Control » depuis quelques itérations de MacOS) pour sélectionner la fenêtre de destination parmi toutes les fenêtres de l’espace courant.
Ou on peut encore, si la fenêtre du Finder que l’on vise est dans l’espace courant, activer le Finder via un ⌘+⇥, amenant ainsi ses fenêtres au premier plan (pas en mode Exposé, juste placées normalement). Et si la fenêtre qui nous intéresse est partiellement cachée derrière une autre, pas de problème : il suffit d’en survoler un bout et soit d’attendre le délai par défaut, soit de faire un appui sur la barre d’espace (oui, comme précédemment — un peu de cohérence, ça ne fait pas de mal), et la fenêtre en question passera alors au premier plan.
Ce dernier comportement fait aussi partie des manques de Windows qui m’irritent assez vite à l’usage.
« Juste pour bosser (en considérant seulement les applis que j’utilise pour travailler), je vois rien en faveur de macOS. »
C’est pourtant là qu’il se distingue le plus. Et je trouve curieux que tu aies cité le glisser-déposer alors que c’est justement l’un des points sur lesquels Windows est bien moins pratique que MacOS.
Notons enfin que tout ça n’avait finalemenet rien à voir avec la gestion de plusieurs écrans.
Apparement il a été viré parce qu’il était top axé sur le pognon et se foutait de sécuriser l’IA ! Mais le pouvoir du pognon la fait revenir… pas terrible pour l’avenir
Euh... Apparement c'était l'un des rares à ne pas avoir d'actions OpenAI dans son package (du moins jusqu'à la semaine dernière... Il a dit qu'il avait assez d'argent pour vivre.)
Les meilleurs machines pour les employés, good job Microsoft 👌🏻
C'est sympa quand on fait parti de l'élite :)
Ceux à qui le patron demande toujours plus d'efforts... Penser à la reconversion :)
L’article du WSJ est au niveau des pâquerettes côté neutralité journalistique. À l’heure où certains font semblant de célébrer la diversité, certains comme Microsoft la mettent en pratique concrètement. Quand j’y travaillais il était possible d’utiliser tout type d’ordinateur, c’était même encouragé. Ce qui se serait donc passé pour les anciens employés d’ Open AI n’aurait donc rien eu d’un geste quelconque, n’en déplaise aux trolls.
Ça fait longtemps que les employés de Microsoft peuvent choisir un Mac comme ordinateur de travail. Ça doit faire 10 ans que cette annonce a été faite. Pour Teams c'est plus curieux, je me demande ce que OpenAI utilise actuellement.
@Mrleblanc101
Slack j’imagine, et Zoom pour la Visio.
Je reverrais tellement que mon employeur me propose un MacBook, même un MacBook Air plutôt qu’un Dell de merde qui ventile comme un malade dès que tu ouvres une feuilles Excel (scandaleux en 2023).
Je serais même prêt à payer de ma poche pour acheter la machine et que le pôle informatique s’occupe de m’installer tout ce qu’il faut !
Quand j’étais en formation pour mon job dans une école (j’ai un poste dans une entreprise privée délégataire de service public), ils utilisaient tous l’ordi fournit par le boulot pour les cours et y’avait un seul mec sur 30 avec un MacBook Pro 15, bibi, je vous raconte pas comme j’étais mal vu 😅
Plus d’une fois les formateurs m’ont demandé de prendre l’ordinateur du boulot, ce à quoi j’ai rétorqué « en formation on a besoin du pack office, d’un applicatif métier, et d’Outlook, tout ça fonctionne sur mon Mac, du coup je le garde et c’est comme ça ».
Par contre une fois en poste pas le choix, données sensibles, cryptées par le service informatique, des parcs de plusieurs milliers de machines, impossible de se distinguer de la masse (enfin sauf pour les agents de direction, eux pouvaient avoir un IPhone et un Laptop Surface payé par les impôts des français 🤡)
@Moebius13
"Je reverrais tellement que mon employeur me propose un MacBook, même un MacBook Air plutôt qu’un Dell de merde qui ventile comme un malade dès que tu ouvres une feuilles Excel (scandaleux en 2023)."
Le problème ici n’est pas Mac vs PC. Le problème est Dell de merde vs ordinateur pas de merde.
Dans mon institution, la norme était des HP de merde. La mise à niveau récente a remplacé la plupart des vieux HP de merde de 6 ou 7 ans par des HP médiocres. Autant dire que je ne m’en sert pour ainsi dire pas.
Mon laboratoire est équipé de MacBook. Je n’ai pas eu trop mon mot à dire sur les configurations, disons que l’adaptation au job est médiocre également. Autant dire que je ne m’en sert pour ainsi dire pas.
Il y a cependant un salut : un Mac mini. Intel. Pas tout jeune. Mais meilleur que n’importe que HP de l’institution, meilleur que n’importe quel Mac de l’institution. Ce Mac mini, je l’ai choisi, et je l’ai configuré, pour les besoins spécifiques de mon labo.
Je ne m’en sers pas beaucoup cependant. Ma machine principale est un Lenovo de belle qualité.
Toute la différence vient de ce que j’ai choisi et configuré des machines de qualité, Mac ou PC, vs le crap cheapos qui nous est habituellement servi.
Peut-être que ton employeur devrait gérer les exigences supérieures à PowerPoint ou apps web plus spécifiquement et proposer des Dell pas de merde.
"Je serais même prêt à payer de ma poche pour acheter la machine et que le pôle informatique s’occupe de m’installer tout ce qu’il faut !"
Sur un Mac, c’est mort, très peu de chance qu’ils installent quoi que ce soit, connaissant les services informatiques en général.
"un seul mec sur 30 avec un MacBook Pro 15, bibi, je vous raconte pas comme j’étais mal vu 😅"
Tu étais entouré de stupides. J’espère que tes notes étaient meilleures que les leurs.
"Plus d’une fois les formateurs m’ont demandé de prendre l’ordinateur du boulot"
Quel était leur argument ?
"Par contre une fois en poste pas le choix, données sensibles, cryptées par le service informatique, des parcs de plusieurs milliers de machines, impossible de se distinguer de la masse"
Voilà en effet un cadre ou les solutions Apple sont absolument inadaptées. Non pas que ce ne soit pas possible, mais tout Apple est propriétaire à mort, spécifique, sans aucune possibilité d’intégration aux infrastructures standard.
"(enfin sauf pour les agents de direction, eux pouvaient avoir un IPhone et un Laptop Surface payé par les impôts des français 🤡)"
Donc il y a des PC pas de merde pour certains employés. :)
C’est malheureusement une situation commune. Les machines ne sont pas attribuées en fonction du besoin fonctionnel et de confort de travail mais en fonction du "prestige" du poste. Les meilleures machines à ceux qui ne font que du PowerPoint. Stupide.