Si la réalisation du futur campus d'Apple devait buter sur des obstacles, ils ne viendront pas du maire de Cupertino. Gilbert Wong a tenu une conférence de presse au lendemain de la présentation de Steve Jobs et c'est un véritable fan d'Apple et de ses produits qui s'est exprimé. Plusieurs questions des journalistes présents semblaient traduire un certain étonnement tant le maire est apparu enthousiaste, et peu enclin à la critique, à la perspective de voir ce bâtiment sortir de terre.
Alors que le processus de validation du projet va se dérouler jusqu'à l'automne 2012, une phrase résume bien l'état d'esprit de Wong vis-à-vis de son plus important contribuable “Il n'y a aucun risque pour que nous disions non" et un peu après “Cupertino est prêt [pour ce projet]”. Il a également raconté qu'il utilisait les produits Apple depuis son enfance et que sa fille allait dans la même école que celle que fréquenta Steve Jobs.
Le maire s'est même dit prêt à recruter du personnel supplémentaire “Nous sommes prêts à faire tout le nécessaire pour nous assurer que le planning sera tenu”. Cela fait maintenant 5 ans qu'Apple rachète des terrains pour ce projet et le maire entend bien qu'il soit mené à son terme. Interrogé sur les bénéfices qu'allaient en retirer ses administrés - une question à laquelle il a répondu avec un plaisir plus manifeste - il a cité le financement des services publics de Cupertino. Prenant l'exemple de la bibliothèque de la ville qui peut se permettre de rester ouverte 7j/7 alors que celle de la ville voisine, San José, souffre de restrictions budgétaires.
Il estime aussi qu'Apple entraîne dans son sillage d’autres entreprises - il a mentionné l'installation de Seagate - qui elles aussi participent à l'économie de la ville. Le projet d'Apple devra dans tous les cas suivre la voie réglementaire, avec la présentation des plans, l'étude environnementale et l'approbation du conseil municipal. La construction en elle-même devant prendre entre 3 et 4 ans, l'objectif donné par Jobs étant d'être prêt au plus tôt pour 2015.
La mairie de Cupertino a mis en ligne une page récapitulant les infos disponibles sur ce projet. Mais rien de neuf à ce stade, on y trouve la vidéo de présentation de Jobs et les images qu'il avait amenées avec lui (PDF).
Sur le même sujet :
- Steve Jobs dévoile le futur(iste) campus d'Apple
Alors que le processus de validation du projet va se dérouler jusqu'à l'automne 2012, une phrase résume bien l'état d'esprit de Wong vis-à-vis de son plus important contribuable “Il n'y a aucun risque pour que nous disions non" et un peu après “Cupertino est prêt [pour ce projet]”. Il a également raconté qu'il utilisait les produits Apple depuis son enfance et que sa fille allait dans la même école que celle que fréquenta Steve Jobs.
Le maire s'est même dit prêt à recruter du personnel supplémentaire “Nous sommes prêts à faire tout le nécessaire pour nous assurer que le planning sera tenu”. Cela fait maintenant 5 ans qu'Apple rachète des terrains pour ce projet et le maire entend bien qu'il soit mené à son terme. Interrogé sur les bénéfices qu'allaient en retirer ses administrés - une question à laquelle il a répondu avec un plaisir plus manifeste - il a cité le financement des services publics de Cupertino. Prenant l'exemple de la bibliothèque de la ville qui peut se permettre de rester ouverte 7j/7 alors que celle de la ville voisine, San José, souffre de restrictions budgétaires.
Il estime aussi qu'Apple entraîne dans son sillage d’autres entreprises - il a mentionné l'installation de Seagate - qui elles aussi participent à l'économie de la ville. Le projet d'Apple devra dans tous les cas suivre la voie réglementaire, avec la présentation des plans, l'étude environnementale et l'approbation du conseil municipal. La construction en elle-même devant prendre entre 3 et 4 ans, l'objectif donné par Jobs étant d'être prêt au plus tôt pour 2015.
La mairie de Cupertino a mis en ligne une page récapitulant les infos disponibles sur ce projet. Mais rien de neuf à ce stade, on y trouve la vidéo de présentation de Jobs et les images qu'il avait amenées avec lui (PDF).
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