Ainsi, Letters doit être entièrement programmable, c'est-à-dire accessible par des scripts, par des APIs, et des formats de données bien documentés, pour qu'il ne soit pas une impasse où les documents, les idées et les tâches s'accumulent, mais une véritable gare de triage, s'insérant de manière fluide dans les habitudes de travail et les besoins de ses utilisateurs. Du côté de l'interface, Letters doit pouvoir être piloté au clavier, son système de citation des messages doit être plus simple que celui de Mail.app, et les messages reçus depuis les listes de diffusion doivent être traités de manière différentes des courriels classiques.
« En faire moins mais le faire mieux », ainsi conclut Brent Simmons. La prochaine étape sera donc de trouver des bonnes volontés prêtes à développer ce projet…
[MàJ] On vient d'apprendre que Letters a désormais un "président", qui n'est autre que John Gruber, le célèbre et respecté blogueur. Il semble que Letters soit sur la bonne voie.