« Build », le guide pratique de Tony Fadell pour les entrepreneurs
C'est auréolé de son titre de « père » de l'iPod et de créateur du Nest que Tony Fadell publie aujourd'hui Build, un livre destiné aux entrepreneurs souhaitant réussir — qui ne le souhaite pas ?
Build : An Unorthodox Guide to Making Things Worth Making est un guide pratique du management où Tony Fadell dissémine ses conseils en revenant sur son parcours chez Apple et Nest/Google, notamment. « Les gens vous disent non trop souvent. Quand on me disait que j'avais tort, je pensais "je vais leur montrer ce que je vaux". C'est beaucoup plus motivant que quand les gens vous disent "oh, c'est merveilleux" », raconte à Wired celui qui présente son livre comme un « mentor en boîte ».
Parmi ses conseils, Tony Fadell note l'importance du storytelling, où l'art d'enrober un produit dans toute une histoire vendeuse. « Peu de gens font du bon storytelling. Un elevator pitch [un discours commercial bref, ndr] n'est pas une histoire. C'est juste une introduction. L'histoire, c'est tout le parcours client », explique-t-il. L'approche qui consiste à embaucher des journalistes pour écrire des histoires n'est pas la bonne, selon lui : « C'est juste amener le marketing à écrire une histoire après coup. C'est comme parfumer un cochon. »
Build : An Unorthodox Guide to Making Things Worth Making est dès à présent disponible sur Apple Books à 14,99 € ainsi que dans les autres librairies. Il n'y a pas de traduction française pour l'heure.
je représente l'association des cochons parfumés de France et je m'insurge complètement contre l'affirmation que nos affiliés ne seraient pas parmi le summum des références de l'élégance et de la beauté.
Top 😅 Je t'ai piqué l'idée, et l'ai poussée un peu… Pardon 🙏🏻
@Crunch Crunch
ah nan, la votre était osée et pourtant elle fonctionne très bien hahaha !
Pas la peine de traduire ce ramassis d’ego en français : on en a déjà assez sur le territoire et dans cette langue 👅 ! Oui, qui n’a pas envie de réussir 🤔? Mais peut-être aussi en conservant « la tête froide ». Pas étonnant sur le fond qu’Apple l’ait dirigé vers la sortie…
@ricouloux74
il est parti de lui-meme.
Tony Fadell n'est pas Scott Forstall si c'est ce que vous pensiez
@raoolito
Non je pensais bien à l’intéressé. Partir de soi-même dans une société de cette importance, relève plutôt de l’irréel. Comme dans des situations similaires, on vous amène tranquillement mais sûrement vers la sortie et vous partez de votre propre chef, dédouanant alors l’entreprise. Apple comme d’autres.
Je représente l'association des pixels qui forment les lettres sur les écrans informatiques. Je m'insurge complètement que mes amis syndiqués soient contraints (de manière impérieuse) à s'assembler pour formuler des valeurs aussi basses…
Pourquoi n'y a-t-il pas égalité en les "pixels des lettres" et les "pixels des images" (colorés) qui forment de jolis visuels. C'est une requête que l'on a fait que repousser trop longtemps. Nous demandons instamment, rapidement et fermement au gouvernement de rétablir la parité entre les "pixels des lettres" et les "pixels des images".
Nous comprenons qu'il est plus amusant de former de belles images. Mais pourquoi toujours attribuer la tâche difficile aux "pixels des lettres" !
- Quoi ? Ha bon !? Il y a aussi des "pixels des images" qui doivent former l'anus du cochon ? Mhhhh…
@Crunch Crunch
😅
Si Tony est le père 🤔 qui est la mère ??? 😱
La société Apple !
@Amaczing
Jony ?
Est-ce que l'industrie informatique à parfois considéré les rédacteurs de Macge comme des producteurs occasionnels de cochons parfumés ? Ou d'autres firmes comme Tesla vu les nombreux articles les concernants hors thématique Apple.
Avant, on aurait dit : est-ce que nos reporters en desk ont parfois fait des ménages pour arrondir leurs fins de mois ?
Quelqu’un sait pourquoi on en trouve 2 versions ? Une éditée par Transworld et une par Harper Business, la dernière ayant ~60 pages de plus au compteur mais rien n’indique d’où vient la différence (police d’écriture ?)
Le sel truc à retenir est de ne pas être embarquées dabs des relations avec ses employées afin d’éviter à l’enttrepeneur de se faire jeter comme un mal propre avec un dédomagement ridicule…
Et il faut lire 2 fois le livre car il s’est fait jeter de 2 boîtes….
En résumé, ce n’est parce que l’on s’est fait virer d’Apple que l’on est Steve Jobs.