Et si ce soir c'était le meilleur moment pour quitter Facebook ?
Il n’aura jamais été aussi facile de quitter définitivement Facebook : le réseau social ainsi que ses autres applications (Messenger, Instagram, WhatsApp) sont en carafe depuis quelques heures. Même si sporadiquement les serveurs semblent repartir chez certains. Finalement, c’est peut-être la meilleure nouvelle du jour, mais cela ne durera pas : Facebook a bien sûr annoncé qu’il allait régler le problème, qui n’est pas une attaque par déni de service (DDoS).
Je me suis désinscris de Facebook en avril dernier.
Et depuis? Eh bien j’envoie des mails, j’appelle et mieux : je revois du monde en vrai!
Pour ceux encore inscrit : demandez vous à quel point vous aimez certains de vos « amis » Facebook et depuis quand vous ne les avez pas vu. Avoir supprimé mon compte m’a permis de retrouver mes vrais amis, de s’enlacer en regrettant de ne pas s’être vu depuis l’apparition de ce fléau. On croit être en contact, mais on ne l’est pas. Je sors, je me promène , je fais des virées , 20 fois plus qu’avant.
Ce truc n’est pas un progrès , c’est un fléau. Et on ne s’en rend compte que quand on le quitte. Je suis pour le qualifier de secte et le considérer en tant que tel: il fait tout pour nous y faire rester, utilise notre argent, notre temps, notre vie privée pour vivre.
J’étais très enthousiaste aux débuts d’internet (aaah ces soirées interminables sur IRC), mais c’est fini. D’une idéologie parfaite (connecter la planète), cents devenu un moyen de contrôle , un business, qui est en train de changer négativement l’espèce humaine dans son ensemble.
Il ne faut pas blâmer la technologie, mais l'usage que l'on fait de la technologie.
Sauf qu'il s'agit de l'usage qu'en fait la population dans son ensemble.
Non on ne blame pas la technologie, mais les usages qu'on en fait actuellement ont rendu le monde abominable, le pire étant sans conteste le smartphone, qui hypnotise le monde entier. Prenez un groupe de 50 personnes qui ne se connaissent pas, mettez-les dans une salle, et admirez la séance d'hypnose. Vous trouvez ça normal ?
@daffyduuck
Exactement j’aurais pas mieux dis
@daffyduuck
« voir supprimé mon compte m’a permis de retrouver mes vrais amis, »
Dans le genre, j’ai pas Facebook et je témoigne, moi, j’ai ni l’un ni l’autre. Ni vrais amis qui ont fini par tous craquer, ni Facebook :D
Le pire, c’est que ça me va.
Mais je suis convaincu que FB aggraverait encore plus les choses.
C’est comme pour la cigarette, ce genre de drogue il ne faut jamais commencer ! ;)
Quitter ? pas besoin je n'y suis pas !
Skynet is here :-)
Comment ça se passe réellement... https://bit.ly/2u8r71r
Autant je comprends la position d'Apple en ce qui concerne leur politique vis-a-vis de leur store et de leurs appareils, autant je comprends aussi la position intenable des Spotify et autres Netflix.
Trancher pour l'un ou l'autre sera difficile (voir impossible) et je pense que la seule issue résidera dans l’établissement d'un compromis.
Le meilleur moyen de ne pas se vautrer sur ces trucs, c’est de ne jamais s’y inscrire. Ce que je n’ai jamais fait… Et maintenant, je me marre… et en imaginant les mines déconfites de nos fans des réseaux sociaux !!!
Je suis étonné voir choqué de la haine qui se dégage de tous les commentaires... personne n’est capable de voir que Facebook a changé la vie de beaucoup de monde, et en bien. Alors peut être que votre petite personne n’a pas trouvé son bonheur avec, mais moi ça me permet de suivre mes cousins, qui habite en Colombie, mon oncle, qui habite à Los Angeles, mes amis partie vivres aux 4 coins du monde. Ça permet à des personnes de se rencontrer autours de passions communes, de créer des groupe voir d’augmenter leur business. En fait vous êtes comme les anti Apple, vous crachez sur quelque chose que personne ne vous oblige à utiliser...
Ce sont souvent des vies remplies de fakes que vous suivez sur ce réseau. On y publie du bonheur artificiel et de la beauté trafiquée qui voudraient vous faire croire que les autres sont toujours plus heureux que vous.
On crache dessus car même en ne l'utilisant pas, on subit l'usage de son entourage, le besoin agaçant de tout vouloir immortaliser au lieu de profiter de l'instant présent et la priorité absolue portée au téléphone plutôt qu'à la personne assise en face, favorisant alors la vie par procuration à ce qui se déroule devant soi.
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