Le département du Travail des États-Unis a ouvert une enquête sur Apple suite aux accusations d'Ashley Gjøvik, une employée qui s'est plainte publiquement de ses conditions de travail. Ses accusations portent notamment sur des faits de harcèlement, de sexisme et d'environnement insalubre.
Licenciée au mois de septembre, l'ancienne employée a reçu une lettre le 10 décembre l'informant que l'enquête était officialisée. Gjøvik avait diffusé ses accusations publiquement sur son compte Twitter et estime avoir été remerciée en représailles de ses révélations. Récemment, plusieurs autres personnes ayant eu une mauvaise expérience chez Apple ont décidé de créer le mouvement #AppleToo afin de mettre en lumière ses témoignages.
Un groupe de salariés veut déchirer la culture du secret entourant le travail chez Apple
Apple a déclaré au Financial Times qu'elle était « profondément engagée dans la création et le maintien d'un lieu de travail positif et inclusif » et prendre « toutes les préoccupations au sérieux ». La Pomme a également rappelé ouvrir une enquête interne à chaque fois qu'une plainte semblable était déposée. Le département du Travail n'a pas donné plus de détails sur l'enquête, mais celle-ci devrait permettre d'avoir le fin mot de l'histoire.