
Dans son dernier édito, Laurent Clause explique que SVM Mac comme bon nombre de titres de la presse papier, n’a pas su trouver un modèle économique viable avec le numérique (lire aussi SVM Mac, 23 ans, va tourner la page). Et comme il le souligne, c’est d’autant plus paradoxal que la firme de Cupertino n’a jamais eu autant de clients que ces dernières années. Mais il y a également le revers de la médaille : “La firme de Cupertino est devenue si énorme que tout le monde en parle, tant pis si c’est souvent de façon superficielle”. Le rédacteur en chef de SVM Mac conclut cependant avec une note optimiste : “Notre passion pour la sphère Apple demeurant intacte, nous vous donnons rendez-vous prochainement ailleurs et autrement”.
