Firefox 3 a trouvé la pédale d'accélérateur
Vladimir Vukićević, de l'équipe de développement de Firefox, affirme sur son blog que la bêta 4 de Firefox 3 (attendue ces prochains jours) devrait se montrer nettement plus réactive que les précédentes bêta. Mais il conviendra d'utiliser au minimum la version 10.4.4 de Mac OS X pour en tirer profit (la 10.3 n'est de toutes façons plus supportée). C'est le résultat de quelques réglages réalisés après plusieurs analyses du comportement du logiciel.
Mais la principale découverte de Vukićević fut que Safari utilisait pour sa part des interfaces de programmation spécifiques pour arriver à booster ses performances. Et ces API "secrètes", il en a dénombré environ 100, ne sont accessibles qu'aux développeurs d'Apple. Il a coeur à souligner qu'il n'y voit pas pour autant une volonté d'Apple se s'arroger quelques privilèges et avantages. Après tout Firefox 3 devrait montrer de belles performances, mais il aimerait que certaines informations sortent du cercle restreint des développeurs de Cupertino.
David Hyatt, ancien de Mozilla et patron du développement de Safari a répondu à son billet, expliquant que la méthode sur laquelle s'appuyait Safari était loin d'être parfaite, d'où son caractère non publique. Il souligne aussi que certaines choses restent d'ordre privé, car elles s'appuient sur des composants internes qui doivent le rester ou qui ne sont pas prêts à être dévoilés. Il ajoute que son équipe signale à celle de Mac OS X, lorsque c'est nécessaire, que des rouages du système mériteraient d'être documentés pour un usage par des développeurs tiers.
Mais la principale découverte de Vukićević fut que Safari utilisait pour sa part des interfaces de programmation spécifiques pour arriver à booster ses performances. Et ces API "secrètes", il en a dénombré environ 100, ne sont accessibles qu'aux développeurs d'Apple. Il a coeur à souligner qu'il n'y voit pas pour autant une volonté d'Apple se s'arroger quelques privilèges et avantages. Après tout Firefox 3 devrait montrer de belles performances, mais il aimerait que certaines informations sortent du cercle restreint des développeurs de Cupertino.
David Hyatt, ancien de Mozilla et patron du développement de Safari a répondu à son billet, expliquant que la méthode sur laquelle s'appuyait Safari était loin d'être parfaite, d'où son caractère non publique. Il souligne aussi que certaines choses restent d'ordre privé, car elles s'appuient sur des composants internes qui doivent le rester ou qui ne sont pas prêts à être dévoilés. Il ajoute que son équipe signale à celle de Mac OS X, lorsque c'est nécessaire, que des rouages du système mériteraient d'être documentés pour un usage par des développeurs tiers.