Témoignage : un mois sous Linux, après des années sur Mac

Nicolas Furno |

Benjamin, notre développeur iOS, n’avait jamais connu que des Mac. Ses parents avaient déjà un Macintosh Plus et il n’a toujours utilisé que des ordinateurs conçus par Apple… sauf contraint et forcé pour ses études. Une fidélité de plusieurs années qui n’est plus d’actualité aujourd'hui : depuis un petit peu plus d’un mois, son Mac personnel ne tourne plus sous OS X Yosemite, mais sous Linux.

« Utilisez un système qui fonctionne : utilisez Linux »

Bien sûr, ce n’est qu’un témoignage, mais un témoignage intéressant : pourquoi un utilisateur de longue date de Mac et d’OS X voudrait changer en 2014 ? Qu’est-ce qui a motivé le changement ? Que peut-on faire sous Linux et qu’est-ce qui manque par rapport au système d’Apple ? On fait le point…

Pourquoi abandonner OS X ?

Il y a plusieurs raisons, évidemment, mais quand on lui pose la question, notre développeur s’arrête surtout sur un problème qui l’a poussé à aller voir ailleurs. Apple a changé le rythme de sorties de son système d’exploitation et depuis quelques années, une mise à jour majeure sort tous les ans. OS X s’est calé sur le rythme de sortie d’iOS, si bien que l’on a tous les ans une nouvelle version.

L’époque des (grosses) boîtes pour OS X est révolue… désormais, tout se fait via le Mac app Store.

Ce rythme annuel est une bonne chose sur le papier. Tous les ans, on a de nouvelles fonctions et OS X a été rapidement enrichi depuis OS X Lion. Sauvegarde automatique, mode plein écran, LaunchPad et plus récemment Handoff et les autres fonctions de Continuité : Apple gâte ses utilisateurs. Mais il y a un revers de la médaille : à sortir une nouvelle version tous les ans, Apple introduit plus de fonctions, mais aussi plus de bugs qui ne sont pas toujours corrigés d’une année sur l’autre.

Ce sont ces bugs qui ont parfois tendance à s’accumuler qui ont fini par exaspérer Benjamin. Et si on lui demande un exemple, la réponse fuse : OS X Mavericks a introduit plusieurs bugs liés à la gestion des images. De fait, Aperçu avait souvent besoin de quelques secondes pour afficher les photos les plus grosses, la fonction Coup d’œil, si pratique en temps normale, était devenue inutile à être aussi lente… Et puis le module pour Coup d’œil, qlImageSize (qui affiche les dimensions et le poids des images), développé également par Benjamin, ne fonctionnait plus avec ce système et n’a pas fonctionné pendant un an.

Heureusement, ce bug a été corrigé avec Yosemite, mais notre développeur n’a pas du tout apprécié la nouvelle interface du dernier système d’exploitation d’Apple. Son avis est, pour le moins, tranché, puisqu’il n’hésite pas à parler de « daube immonde » : les effets de transparence, le choix de Helvetica Neue en guise de police… Les griefs ne manquent pas et la lassitude aidant, il s’est mis en tête d’aller voir ce qui se passait ailleurs. Et puisqu’un système UNIX était une condition sine qua non, c’est du côté de Linux qu’il est allé voir.

Quelle distribution choisir ?

Depuis des années, les soutiens de Linux l’affirment : le temps de Linux est arrivé pour le grand public. C’est souvent l’occasion de moqueries de la part des détracteurs de ce système d’exploitation, ou plutôt de ces systèmes d’exploitation. Même si les distributions Linux évoluent d’une année sur l’autre, même si certaines sont simplifiées au maximum pour convaincre les utilisateurs les moins technophiles, « passer à Linux » est forcément plus complexe que chez Apple ou Microsoft. Et pour cause : il faut d’abord choisir sa distribution.

Des dizaines de CD désormais inutiles… (image automaciej)

Benjamin a opté pour Fedora, une distribution très populaire qui a été dérivée de Red Hat. Ce n’est pas un choix évident, d’ailleurs il le dit lui-même, il aurait très bien pu choisir Ubuntu ou bien encore Linux Mint qui est dérivée de celle-ci. Ce choix est important, car il détermine beaucoup de choses ensuite, tant côté interface que du côté des fonctions. En amont, le choix est aussi essentiel pour ne pas avoir de problème avec le matériel choisi : les distributions Linux ne sont pas conçues spécifiquement pour les Mac et si on en choisit une peu utilisée, on risque d’avoir des problèmes de compatibilités.

Dans ce contexte, le choix de Fedora est une bonne solution : par défaut, quasiment tout fonctionne et Benjamin n’a eu qu’à installer manuellement les pilotes de la carte Wi-Fi après installation (instructions). Certes, c’est un peu contraignant puisqu’il faut être connecté à internet pour le faire, mais c’est très simple et rapide. Bien entendu, il ne faut pas avoir peur du terminal, mais autant le dire d’emblée : même si les distributions ont été simplifiées, les lignes de commande restent souvent un passage obligé.

À part pour le Wi-Fi, l’installation de Fedora s’est faite sans problème sur le MacBook Air de 2013 utilisé par notre développeur. La distribution gère même, sans effort supplémentaire, les touches de fonctions du Mac pour augmenter/diminuer la luminosité de l’écran, du rétroéclairage du clavier et du son. En installant un lecteur musical, on peut aussi contrôler la musique avec les touches dédiées : c’est agréable qu’il n’y ait rien à faire de plus.

Fedora prend en charge les touches de contrôle pour la luminosité de l’écran, du clavier ou encore le volume sonore. Les touches de contrôle pour la lecture fonctionnent elles aussi parfaitement.

Pour ne pas perdre ses habitudes par rapport au Mac, il faut en revanche choisir la bonne configuration de clavier et bien opter pour la disposition des Mac. Par défaut, c’est un clavier PC qui est choisi, ce qui signifie par exemple que le @ n’est pas au-dessus de la tabulation, ou que les tirets se confondent avec les touches dédiées aux chiffres. Restaurer le bon clavier est assez facile toutefois : basé sur Gnome, Fedora dispose d’une application équivalente aux Préférences Système d’OS X. La disposition par panneaux est la même et en quelques clics, on trouve ce que l’on veut.

Les Préférences Système de Fedora

Malgré tout, il y a une différence qui n’a pas trop gêné Benjamin, mais qui déstabilisera sans aucun doute les utilisateurs de Mac : la distribution se cale sur Windows et utilise ctrl au lieu de la touche . Pour fermer une fenêtre, copier un fichier, mettre du texte en gras ou encore pour imprimer, il faut penser à changer ses habitudes, d’autant qu’il n’y a pas de manière simple de modifier ce comportement.

En contrepartie, la touche active une fonction très pratique avec Gnome, le bureau par défaut de Fedora. En apparence, il ne s’agit que d’un Mission Control revisité, puisque cette interface affiche toutes les fenêtres actuellement ouvertes et permet ainsi de passer d’un logiciel à l’autre. Mais cette vue en fait beaucoup plus : sur le côté gauche, on a une sorte de Dock, avec les logiciels ouverts et les plus utilisés ; sur la droite, on a les bureaux virtuels. Mais le plus intéressant dans cette vue, c’est le champ de recherche en haut qui reproduit le fonctionnement de Spotlight.

Le Mission Control de Gnome : en plus des fenêtres ouvertes actuellement au milieu, on a un Dock à gauche, des bureaux virtuels à droite (on les devine à peine) et surtout un champ de recherche en haut qui fonctionne un peu comme Spotlight. Cliquer pour agrandir

Notre développeur a très rapidement pris l’habitude et il faut reconnaître que c’est d’une efficacité redoutable : on appuie une fois sur la touche et on peut immédiatement taper les premières lettres d’un logiciel. Pas de quoi s’émerveiller face à Spotlight ? En un sens, c’est vrai, mais cette fonction de Fedora est rapide, vraiment très rapide. Et on prend vite l’habitude de lancer quelque chose en une seconde ou deux ; comparativement, la fonction d’OS X est d’une lenteur qui paraît infinie.

Cette recherche n’égale pas Spotlight sur le nombre de fonctions toutefois. Gnome est capable de chercher moins de choses et l’écart s’est encore creusé avec OS X Yosemite qui est capable de chercher des informations directement sur internet. Benjamin aurait bien aimé une redirection vers Google, mais ce n’est pas fait par défaut (on imagine que c’est possible de le faire d’une manière ou d’une autre…).

La recherche de Gnome, d’une efficacité assez redoutable. Cliquer pour agrandir

En 2014, on peut donc installer Linux sur son Mac et avoir une machine toujours aussi fonctionnelle. Pour ce MacBook Air par exemple, la machine entre et sort de veille comme il faut, le ventilateur ne s’active bien que lorsque c’est nécessaire et on peut très bien brancher un deuxième écran sur le connecteur Thunderbolt. Malgré tout, il reste quelques défauts qui pourront gêner : par exemple, le trackpad est bien pris en charge, mais a minima. On peut défiler à deux doigts, faire un clic secondaire à deux doigts, mais c’est tout.

Les gestes multitouch ne sont pas pris en compte et potentiellement plus gênant, on ne peut pas laisser un doigt sur le trackpad sans perturber l’utilisation. Si vous avez l’habitude, comme l’auteur de cet article, de laisser le pouce en permanence sur le trackpad, vous verrez vite le problème. Au lieu d’ignorer ce doigt comme OS X, Fedora agit comme si vous aviez vraiment deux doigts en action, ce qui a pour effet de sélectionner du texte, par exemple.

Comme OS X, Gnome affiche quelques informations sur le matériel dans la barre du haut, sur la droite.

Quels logiciels pour remplacer ceux d’OS X ?

Passer sur Linux, c’est bien, mais pour quoi faire ? La question se pose vite, car la majorité des logiciels disponibles sur Mac n’existent pas sur Linux et si vous décidez, vous aussi, de franchir le pas, il faudra changer vos habitudes et en prendre de nouvelles. Naturellement, la question des logiciels et des habitudes se posera différemment selon vos besoins et on évoquera ici ceux de Benjamin, notre développeur iOS et OS X.

Son MacBook Air étant une machine personnelle, ce n’est pas avec cet ordinateur qu’il développe les applications pour MacGeneration. Cela tombe bien, car Xcode n’est disponible que sur OS X, ce qui empêche tout « switch » vers Linux. Sur cet ordinateur, une bonne partie de l’utilisation consiste donc à naviguer sur internet sur ce point, le changement se fera très simplement. Benjamin utilisait Chrome sur Mac, une fois Linux installé, il n’a eu qu’à télécharger le navigateur de Google, se connecter et tous ses signets et tous ses paramètres étaient immédiatement disponibles. S’il utilisait Safari, il aurait fallu préalablement importer ces données dans Chrome ou encore dans Firefox avant la transition, mais cela reste assez simple.

Chrome est aussi disponible sur Linux et vous retrouverez immédiatement tous vos paramètres, les signets, les extensions et même les mots de passe des sites. Cliquer pour agrandir

Les logiciels multiplateformes compatibles également avec Linux ne sont pas les plus nombreux, mais il y en a malgré tout un bon nombre. Dropbox, par exemple, est aussi présent et on peut ainsi retrouver tous ses dossiers dans le navigateur de fichiers de Gnome. Benjamin a toujours un client IRC sous la main et il utilise XChat, que ce soit sur Mac ou sur son MacBook Air sous Fedora. Pour mettre en ligne des fichiers, c’est FileZilla qui a ses faveurs, là encore sur les deux systèmes. Et même s’il regrette son interface d’un autre temps (c’est un euphémisme), il le trouve aussi extrêmement efficace par rapport aux logiciels qui ne sont disponibles que sur Mac.

Parfois, le logiciel qui avait ses faveurs sur Mac n’existe pas sous Linux et dans ce cas, il faut trouver un équivalent. Souvent, c’est facile : pour écrire ou coder, Sublime Text a remplacé BBEdit et TextMate. Pour modifier une image, la recadrer le plus souvent, Gimp remplace Aperçu et cela lui suffit, mais il reconnaît que ses besoins en la matière sont extrêmement limités.

Gimp — Cliquer pour agrandir

Ce n’est pas toujours aussi facile toutefois et notre développeur a vite été confronté à un vieux problème du côté de Linux : les logiciels sont souvent moins ergonomiques, ou moins bien pensés que sur Mac. Pour le mail par exemple, il utilise Thunderbird, mais tout en regrettant son interface triste et son manque de fonctions de base (une extension est nécessaire pour gérer les conversations). Pour les flux RSS et pour Twitter, le choix est encore plus restreint et il est obligé de passer par le navigateur, faute de clients aussi bons que côté OS X (où il utilisait Reeder, notamment).

Même si Benjamin essaie depuis quelques années de ne pas trop dépendre d’Apple et de ses services, il reste quelques éléments bloquants. Par exemple, pour la musique, il n’a pas trouvé d’équivalent à iTunes, qu'il n'apprécie pas forcément, mais qu'il juge « moins mauvais » dans la catégorie. Sur Gnome, on peut installer Clementine (qui est aussi disponible sur Windows et OS X, d’ailleurs), mais on est loin des fonctions proposées par iTunes. Par défaut, une sorte d’iPhoto est installé (Shotwell), mais ne comptez pas sur une transition facile d’un gestionnaire de photos à un autre.

Shotwell, le gestionnaire de photos de Gnome. Cliquer pour agrandir

Benjamin ne joue pas, et c’est tant mieux car le catalogue de jeux compatibles avec Linux est encore plus rachitique que sur Mac. Et puis il n’a pas besoin de monter des vidéos et il ne dépend d’aucun logiciel spécifique à OS X, du moins si l’on excepte Xcode. En faisant la transition d’un système à l’autre, il faut accepter de changer ses habitudes, ce qui implique parfois de ne plus utiliser des logiciels pourtant très pratiques.

De manière générale, Linux reste en retrait sur ce point : ce n’est pas nécessairement qu’il y a moins de logiciels disponibles, mais plutôt que les logiciels qui sont proposés sont souvent moins agréables à utiliser ou moins complets. Par ailleurs, si les distributions grand public, comme Fedora, ont fait des progrès pour chercher et installer de nouveaux logiciels, on reste aussi loin de la simplicité d’Apple. Benjamin a beau se plaindre du Mac App Store et de la politique imposée par Apple, notamment en matière de sandboxing, le logiciel de Fedora qui permet de trouver et installer des applications est nettement en retrait.

L’équivalent du Mac App Store, mais pour Fedora. Cliquer pour agrandir

En apparence, c’est la même chose : on peut chercher des logiciels et les installer en quelques clics, et on peut ensuite les mettre à jour dans une section dédiée. Mais cette « boutique » (où l’on ne peut rien acheter) est bien vide. La plupart du temps, il faudra passer par le site de l’éditeur pour télécharger un logiciel, ou alors utiliser le gestionnaire de paquet de Fedora, yum. Et dans ce cas, il faut ouvrir le terminal et connaître les commandes nécessaires : ce n’est pas difficile, mais tout le monde n’a pas envie de passer son temps dans un terminal…

Puisque l’on parle de logiciels, notons au passage que Gnome dispose d’une fonction à la LaunchPad que Benjamin n’utilise jamais, mais qui rassurera les débutants. Les distributions Linux ont encore des progrès à faire toutefois, même s’il faut noter que certaines sont spécifiquement conçues pour les néophytes. On évoquait dernièrement une distribution basée sur Ubuntu, mais simplifiée en suivant le modèle d’OS X : Elementary OS. C’est sans doute une piste à envisager si on veut abandonner OS X.

Le LaunchPad de Gnome. Cliquer pour agrandir

Pour conclure

Quand on lui demande s’il est satisfait de son passage à Linux, Benjamin n’hésite pas longtemps : il ne regrette pas du tout son infidélité à OS X et compte bien laisser Fedora en place sur son MacBook Air. Du moins, tant que les choses n’évoluent pas du côté d’Apple : on n’efface pas des années passées avec un système d’exploitation et Linux reste en retrait sur quelques points.

Malgré tout, il se demande désormais s’il a encore intérêt à acheter des Mac à l’avenir. C’est bien la preuve que ce que propose Apple ne lui convient plus… et il est le premier à le regretter.

avatar Doctomac | 

1) Je peux te retourner le même argument avec Linux et les serveurs. Et on peut chercher à trouver telle ou telle explication mais ça ne change rien au constat.

2) Personne ne dit ça. Mais encore faut-il ne pas raconter n'importe quoi sur les raisons du changement.

3) Come on. Linux a un très bon réseau de distribution, à savoir Internet. Linux n'est pas un échec dans le grand public pour manque de pub ou de réseaux mais simplement car Linux est un OS sans identité (on a copié l'interface de Windows un temps puis celle de OS X maintenant), aux rouages inadaptées au grand public et surtout qui ne propose pas de librairies logicielles variées et de bonnes qualités qui pourraient attirer le grand public.

avatar rikki finefleur | 

Quand je parlais du circuit de distribution, je parlais au niveau pro. Car étant gratuit , il n’intéresse pas réellement la distribution. D'autant que les softs tournant dessus sont souvent gratuits.
Donc il n'a pas de ressource maketing et financière nécessaire pour se faire.
Il est est de même pour le grand public. Et linux de par sa diversité peut faire peur.

Question utilisateur , peut être aussi un besoin de changement , et ne plus être lié à un constructeur ou vendeur d'OS. Cela arrive parfois. Prendre un bol d'air ailleurs.
Je dis d'autant plus clairement que je n'aime pas trop linux, mais je comprends tout a fait ceux qui utilisent linux.

avatar John Maynard Keynes | 

@rikki finefleur

Quand je parlais du circuit de distribution, je parlais au niveau pro. Car étant gratuit , il n’intéresse pas réellement la distribution.

Au là très belle connerie, illustrant à merveille ta profonde méconnaissance du sujet que tu aborde avec moque, comme d'habitude.

GNU/Linux est la source d'une économie florissante (Supérieur au CA d'Apple) et est porté par des majors de l'industrie informatique qui ont investit en lui des sommes plus que conséquentes (Plus d'un milliard pour IBM au hasard)

D'autant que les softs tournant dessus sont souvent gratuits.

Connerie, des dizaines de milliards d'euro de CA sont produits par des logiciels professionnels tournant sur GNU/Linux et on ne parle même pas des services.

Donc il n'a pas de ressource maketing et financière nécessaire pour se faire.

Encore une connerie, dans le B2B il y a au contraire de très gros effort marketing qui ont été produit pour porter l'adhésion de GNU/Linux et c'est encore le cas.

Le jours où tu arrêteras de proférer avec morgue des inepties sur des sujets que tu ne connais pas autrement que par tes fantasmes ...

avatar rikki finefleur | 

"Le jours où tu arrêteras de proférer avec morgue des inepties"

Insulte detected.

Quand t’arrêteras tu dans tes insultes et autres insultes mr JMK ?

Pour le reste tu confonds OS et services tournant autour.. Inutile d'aller plus loin ..

avatar John Maynard Keynes | 

@rikki finefleur

Tu es presque mignon avec tes faux fuyants pour botter en touche, mais je suppose que tu es hélas un adulte et là ce n'est plus mignon, c'est effrayant.

Désolé affirmer que tu parles de ce que tu ne connais pas, que tu travestis tous les propos, que tu es intellectuellement mal-honnête, que tu manie une rhétorique éculée, que tu enfiles les inepties comme d'autres les perles ... n'est en rien de l'ordre de l'insulte calomnieuse, il s'agit de jugement étayés et motivés.

Mais même ces évidences t'échappent et tu préfères te draper avec ineptie dans ta dignité bafoué en te référent à une notion qui est absolument pas pertinente ici.

Désolant, comme toujours :-(

Mais je te laisse à tes habituelles roublardises te permettant de ne surtout pas te confronter à ce qui te dérange.

Tu es affligeant comme peu et là encore c'est constat désolant et non une insulte.

avatar rikki finefleur | 

@Jmk
Ce qui est désolant c'est qu'un gars balance des insultes et encore des insultes comme jmk.

L'anonyme derriere son écran. Sans respecter les conditions du forum.
On a pas besoin d'un gars qui ne sait pas parler correctement ,, ni ne sait se tenir , sans insulter.

avatar John Maynard Keynes | 

@rikki finefleur

Te faire remarquer de manière factuelle que tu professe des inepties plus grosse que toi n'est en rien une insulte, n'en déplaise à ton ego envahissant.

Tu as raconté des conneries sans nom sur le marché B2B GNU/LInux c'est un fait avéré et indéniable.

L'honnête homme reconnaîtrait cela, toi tu te drape dans des faux fuyant infantiles et te pose en victime.

Tu vas te réfugier dans les jupons de ta maman la prochaine fois : maman, maman, méchant il m'a traité ... ouin !!!

Affligenat :-(

PS : Le plus succulent c'est que ce faquin, ma par contre fort régulièrement insulté avec toute la grossièreté dont il est capable. Le vrai visage des cuistres.

avatar rikki finefleur | 

@Jmk
Ce qui est désolant c'est qu'un gars balance des insultes et encore des insultes comme jmk.

L'anonyme derrière son écran. Sans respecter les conditions du forum.
On a pas besoin d'un gars qui ne sait pas parler correctement ,, ni ne sait se tenir , ni confronter des idées sans insulter.

avatar philoo34 | 

@rikki finefleur :

"L'anonyme derriere son écran. Sans respecter les conditions du forum."

Réfléchis 2 min (non ce n'est pas une insulte ! )
Donc il est anonyme et se cache derrière son écran ? Il ne risque rien ? C'est ça ?
Mais du coup toi aussi tu es caché derrière ton écran non ?
Et donc toi aussi tu ne risques rien , les soit disant insultes n'atteignent donc pas ton intégrité non ?

Les insultes ne sont que façe a certaines de tes idées ,
Et j'espère que toutes ne sont pas ici hein ?
:-))
Donc arrêtes de t'emballer et essaies de te défendre sans te poser en martyr .
Mais effectivement ça demande des efforts .

avatar John Maynard Keynes | 

@philoo34

Notre camarade cherche effectivement à décoder le monde contemporain avec un logiciel datant des années 70, qui plus est en version Alpha ... et cela ne marche pas :-)

avatar philoo34 | 

@rikki finefleur :

"Question utilisateur , peut être aussi un besoin de changement , et ne plus être lié à un constructeur ou vendeur d'OS. Cela arrive parfois. Prendre un bol d'air ailleurs."

Encore une fois , tu restes bloqué dans une vision de l'informatique personnelle congelée de 20 ans .
En 2014 tu fais désormais partie d'une catégorie d'utilisateur nettement minoritaire .
Va falloir t'y faire un de ces jours ....
Ça t'évitera d'être à côté de la plaque .

Maintenant les gens ne voient dans l'ordinateur qu'un outil leur permettant de produire quelque chose ou de lui rendre service .
Seuls vont compter les applications utilisées , pas l'OS .
Donc oui le grand public veut une machine genre PS4 pour faire tout ce qu'elle veut avec , comme elle le fait pour les jeux sur console .
On allume et ça marche de suite , le moins de prise de tête possible . C'est tout !
Les reste n'est que désir de geek , dont je fais encore volontier partie à mes heures perdues .
Moins maintenant qu'il y a 20 ans :)

"Je dis d'autant plus clairement que je n'aime pas trop linux, "

J'en conclu que ton OS préféré est Windows ??

avatar Akarin | 

@Doctomac :
Ben, c'est le cas non ? Windows ou OS X sur les clients et Linux / Windows sur les serveurs. Et oui, Linux sur le client, c'est une niche (petite, en plus).

avatar John Maynard Keynes | 

@Akarin

Nos quelques postes clients sous GNU/Linux sont principalement dédiés à Maya.

Le restant est effectivement sous OS X, ou Windows

avatar misstique | 

Du temps où j'utilisais Windows, j'ai déjà tenté l'aventure Gnu/Linux mais je n'y suis jamais resté bien longtemps.

Pour ce qui de OS X, il est vrai que j'ai gardé un bon souvenir de Snow Leopard, et que depuis la version Lion je ne retrouve pas mes petits. D'ailleurs, je n'ai pas installé Yosemite.

Pour ce qui est d'iOS 8, je dois apparemment être le seul à ne pas rencontrer de problème de lenteur (hormis peut être un démarrage un peu différent je vous l'accorde) avec mon iPad mini (le premier du genre) avec ses 32 Go, j'ai toujours autant de plaisir à l'utiliser.

avatar PahraDeHaske | 

La Helvetca est en partie responsable du rendu daubesque de Yosemite? Certes je conçois qu'elle ne puisse plaire à tout le monde, la rigueurs helvétique est parfois un peu déroutante, figée, froide. Mais la qualifier de daube je peux pas accepter. Typographiquement parlant sa conception est exemplaire, qualité de lecture, dessin, déclinaison, utilisation... C'est une vraie référence. Vous prenez n'importe quelle com' loupée, vous donnez à un bon graphiste (pas un info graphiste qui sort de MMI) la consigne de simplement remplacer la typo par de la Helvetica et le rendu est déjà tout autre. J'ai du mal à comprendre ce qui le révulse.

avatar itiger | 

Le but d'un article de ce genre c'est de comparer, ça conforte le choix de la plupart des gens de rester bien au chaud cet hiver avec osx. Longue vie à Apple et à Mac. Bon, vu certains bugs sur l'app MacG sur iOS, le dev peut en dire autant des bugs d'osX qui dure des années....

avatar John Maynard Keynes | 

@itiger

Bon, vu certains bugs sur l'app MacG sur iOS,

On pourrait effectivement espérer qu'il fasse preuve à l'égard de lui même du même très haut niveau de sens critique que celui qu'il déploie dans ses passions :-)

PS : Je dois concéder être fort peu convaincu par la dernière itération de l'app sous iPad, même après un temps d'adaptation.

avatar fc60 | 

@Lestat1886

Par obsolescence programmée, j'entends ce qui est communément entendu par ce terme ... et je note qu'Apple à poussé le bouchon jusqu'au bout en programmant (au sens propre) l'obsolescence de l'iPhone 4 et de l'iPad 1 ... et je ne reviendrais pas sur le changement de connecteur Dock, l'impossibilité de brancher une clef USB ou une carte SD et "l'évolution" d'iTune !

Concernant Linux, je suis tout à fait d'accord avec vos remarques (pas grand public) et, pour être sincère, j'espère qu'Apple ne me dégoûtera pas d'OS X !

Je ne suis pas optimiste sur ce dernier point ...

avatar John Maynard Keynes | 

@fc60

j'entends ce qui est communément entendu par ce terme

Qui comme tout ce qui est instrumentalisé par les média a fini par être vidé de tout sens.

A force d'user et d'abuser du concept pour tout et n'importe quoi, il ne veut plus rien dire.

Ce que tu décris n'est en rien de l'obsolescence programmé au sens véritable du concept.

avatar frankm | 

C'est vrai qu'Apple ne devrait pas se forcer à changer les versions de leurs OS tous les ans.
Avec une machine à 1500 € rien ne doit dysfonctionner !

avatar jazz678 | 

@frankm :
Ah bon? Le dysfonctionnement a donc un prix? A combien tu le fixes?
Cette logique me dépasse. Tout comme celle de ceux qui estiment qu'un iPhone qui a coûté 900€ dois être remplacé dans discussion par Apple au moindre problème.

avatar lmouillart | 

[supprimé]

avatar Doctomac | 

"La machine Apple dans votre exemple coûte 1500€, le logiciel Apple étant pour sa part : totalement gratuit."

Quel est le postulat ? C'est gratuit donc pourri ? Linux ce n'est pas gratuit ?

avatar lmouillart | 

[supprimé]

avatar Doctomac | 

Tout comme ce qui tourne autour du "libre". Donc ??????

Tu dis que le matériel est bon mais payant mais le logiciel gratuit n'est pas bon. Donc on en déduit que ce qui est gratuit n'est pas bon. C'est toi qui l'écrit.

Donc en suivant ton raisonnement tordu, nous pouvons conclure que Linux est pourri.

avatar lmouillart | 

[supprimé]

avatar John Maynard Keynes | 

@ lmouillart

Non j'ai juste dit qu'Apple était un assembleur d'ordinateur et un donneur d'ordre pour la construction de périphériques mobile et que le logiciel c'était visiblement pas du tout leur truc.

Il est donc impossible d'avoir une discussion sur ces considérations sans tomber dans l'outrance caricaturale ou le manichéisme ?

avatar Doctomac | 

Non seulement tu n'assumes pas ce que tu écrits mais en plus au lieu de répondre, tu parts sur de l'anti-Apple primaire sur fond de propos caricaturaux.

avatar lmouillart | 

[supprimé]

avatar jazz678 | 

@lmouillart :
A bien réfléchir je préfère me dire qu'il s'agit d'une boutade

avatar jazz678 | 

@lmouillart :
"Le logiciel Apple fonctionne souvent bien mal"
Il ne faut pas exagérer. Qu'il y ait des dysfonctionnements je veux bien. Je travaille sur environnement Mac et Windows. Je n'ai pas l'impression qu'il y a si souvent.

avatar CLMNT | 

Je trouve que Xcode est moins stable depuis Mavericks/Yosemite (je développe depuis peu) Juste en ouvrant un projet il arrive que Xcode cesse de fonctionner..

avatar hmmmr | 

Je comprend que les releases osx annuelles l'embête. Non pas pour les bugs, mais pour les changements que cela implique, changement de compilo associé a xcode (g++ vers clang++), changements de répertoires en tous genre, etc etc.
Des changements invisibles a l'utilisateur lamda

Allier machine de travail et machine de loisir est compliqué. Et autant maintenir un environnement de travail stable sur une distrib est plus simple, autant pour utiliser OpenSuse au boulot, je n'en voudrais jamais comme machine personnelle.
Au hasard :
- bug drivers wacom, si je change un bouton du stylet, il ne marche plus, meme si je remet par defaut.
- bug des behavior des fenetres de survol de la souris
- dolphin (finder), obligé de faire F5 pour actualiser un dossier
- chercher une info sur une option, un programme linux c'est se retrouver sur stackoverflow a lire les reponses d'IT ingenieurs en info incomprehensibles pour la plupart des gens
Etc etc etc

avatar fc60 | 

@John Maynard Keynes
Non ... Tu as raison ... C'est du marketing n'est-ce pas ?
Ou peut être c'est juste l'art de prendre des utilisateurs captifs pour des c...

avatar John Maynard Keynes | 

@fc60

Non ... Tu as raison ... C'est du marketing n'est-ce pas ?

Non c'est tout simplement de la bonne gestion, dans le cadre d'une société de consommation et d'un système basé sur la croissance.

Ce constat ne vaut nullement adhésion, mais de là a dire n'importe quoi et à dévoyer des concepts il y a un pas.

avatar fc60 | 

@John Maynard Keynes

Quelle arrogance !

Pour mieux me faire comprendre je vais donc aller sur votre terrain 2 mn : l'obsolescence programmée n'est pas un concept mais un ensemble de techniques visant à réduire la durée de vie ou d'utilisation d'un produit afin d'en augmenter le taux de remplacement (définition wikipédia*) ... donc, avant de dire n'importe quoi, réfléchissez (parfois ça aide !).

Ma remarque à propos de l'obsolescence programmée "au sens propre" visait tout simplement à souligner que dans notre domaine (l'informatique) ces techniques peuvent être poussées à l'extrême en "programmant" (littéralement) l'obsolescence ...

Pour prendre un exemple, c'est ce que font depuis longtemps certains fabricants de cartouches d'encre qui programment la puce de la cartouche afin qu'elle indique à l'imprimante qu'elle est vide ... même si la cartouche a été rechargée.

On peut imaginer que certains éditeurs d'OS et fabricants d'ordinateurs programment leur système pour forcer les utilisateurs à changer de machine ... non ?

Enfin, concernant Apple et OS X j'étais jusqu'à présent plutôt satisfait, mais je m'inquiète de voir les "évolutions" apportées au rythme des nouvelles "versions" : franchement, pensez-vous qu'il soit justifié / sérieux / honnête (rayez les mentions inutiles) de sortir une nouvelle version d'un "système d'exploitation" et que les changements majeurs de cette version soient "à la marge" ? (la remarque vaut également pour Microsoft)

(*) c'est gratuit aussi ... j'espère que ce n'est pas grave !

avatar John Maynard Keynes | 

@fc60

Quelle arrogance !

Si tu veux le prendre ainsi, libre à toi

l'obsolescence programmée n'est pas un concept

C'est pourtant bien un concept

donc, avant de dire n'importe quoi, réfléchissez (parfois ça aide !).

Cela par contre c'est de la pure arrogance.

Ta référence à wikipedia n'invalide en rien mon propos.

Pour le restant je te redonne le contexte de l'emplois du concept que tu fis en te citant :

et je note qu'Apple à poussé le bouchon jusqu'au bout en programmant (au sens propre) l'obsolescence de l'iPhone 4 et de l'iPad 1 ... et je ne reviendrais pas sur le changement de connecteur Dock, l'impossibilité de brancher une clef USB ou une carte SD et "l'évolution" d'iTune !

Désolé ce que tu met en avant n'est en rien de l'obsolescence programmer au sens stricte.

Au lieu de te contenter de l'incipit de l'article Wikipedia tu aurais tiré un grand bénéfice à le lire intégralement ;-)

Mais bon c'est tellement plus simple de jouer les susceptible bafoués que de chercher vraiment à comprendre.

Le concept d'obsolescence programmé de doit pas être mis à toutes les sauces comme tu le fais, tout comme bien d'autre.

Utiliser ce concept comme clef de lecture de tout et n'importe quoi est simplement ridicule, particulièrement dans le cadre de l'informatique ou la loi empirique de Moore fait qu'il n'y a pas un grand besoin de programmer une obsolescence qui adviendra fort naturellement.

Après fait ce que tu veux de tout cela, il n'y a aucune gravité de manipulé des concepts mal maitrisé, c'est même très banal.

avatar John Maynard Keynes | 

@fc60

Pour essayer de sortir de la polémique stérile, le concept de l'obsolescence programmé est très accessoire en matière de matériel informatique.

En faire une clef de lecture de l'industrie est une facilité ne reposant que sur une mode médiatique.

L'obsolescence programmée telle qu'elle fût initialement conceptualisé, vise à réduire la durée de vie d'un produit qui de part la maitrise des techniques pourrait être bien trop longue au regard du besoin de renouvellement imposé par le modèle économique dominant pour que les entreprises survivent.

Sur des produit informatique, l'obsolescence n'a que très marginalement besoin d'être programmé, elle intervient quasi naturellement de part la rapide progression des techniques.

En caricaturant on considère que dés qu'on l'achète un ordinateur est déjà quasiment obsolète.

La loi empirique de Moore, le besoins de nouveauté, la force du marketing, la volonté d'être à la page ... font qu'il n'est pas grand besoin de programmer l'obsolescence de ce type de matériel qui intervient quasi mécaniquement en très peu de temps.

Les ordinateurs de qualité ont au contraire une durée de vie assez impressionnante, nul besoin de les concevoir avec des faiblesses de dimensionnement limitant leur espérance de vie ... ils seront assez rapidement dépassés par de nouvelles offres plus attractive ... pas besoin de biaisé leur espérance de vie.

J'ai foule de machines plus où moins ancienne qui fonctionnent toujours parfaitement et pourtant elles ne sont plus que des pièces de musée.

Il en est ainsi depuis les débuts de l'informatique.

Par contre mon electro-ménagé est bien ancien et cela fait chier ceux qui l'on fabriqués. :-)

L'obsolescence programmée à bien plus de raison d'être dans d'autres industries, tel celle de l'electro-ménagé ou l'automobile par exemple.

Il faut arrêter d'utiliser ce concept pour expliquer des phénomènes qui n'ont rien à voir avec lui.

Croire que c'est l'arme ultime des entreprises technologique pour nous faire dépenser notre argent, c'est ce mettre des œillères et éviter de réfléchir sérieusement.

Mais l'homme a besoin de réponses simpliste à des pb complexes, les médias ont trouvé une belles réponse qui peut expliquer presque tout, mais appauvrie dramatiquement la qualité de la réflexion :-(

avatar fc60 | 

@Patrick86
C'est une boutade (voir dico) ...
L'obsolescence "programmée" !
;-)

avatar aldomoco | 

@fc60

... et la boutade disjoncte ;-)

avatar Zoupinou | 

@Akarin

"J'entends beaucoup parler des bugs de Yosemite mais je me sens unique par le fait de n'en avoir jamais rencontré à ce jour"

Non, tu n'es pas seul. C'est la même chose pour moi avec également différentes casquettes (design, musique, video, ...) et tout tourne nickel. Je suis même soufflé depuis l'achat d'un MBPr de voir comme toute action est instantanée. Je clique sur Safari qu'il est déjà ouvert, même chose pour Spotlight, etc. Les seuls temps d'attente que je connaisse sont suite à l'application de filtres dans AE ou ce genre de chose mais ça c'est normal.
J'ai d'autre bécanes dont une sous Maverik et l'autre sous Snow (et même une sur Panther...) et bien franchement je trouve Yosemite bien supérieur même s'il est vrai qu'il faut une config relativement musclé pour bien en profiter.

Les arguments de l'articles sont vraiment légers. L'attente de Spotlight par exemple... Ridicule. Bref.

avatar Zoupinou | 

@lmouillart

"Leur teste commence pour le moins plutôt mal :"

Visiblement tu lis mal l'anglais...

avatar lmouillart | 

[supprimé]

avatar Doctomac | 

L'article disait "a bit" et ne spécifiait pas les config de ce MacBook. Quelle version de linux as-tu installée sur ton ancien Mac.

Perso, Yosemite se débouille très très bien sur mon MacBook Pro unibody de 2008 avec 4 GO de mémoire. Spotlight y fonctionne de manière presque instantanée. J'utilise le même OS sur un iMac de 2010 avec 16 Go de mémoire. Là c'est l'extase.

avatar lmouillart | 

[supprimé]

avatar Doctomac | 

Tu m'étonnes, au vu de la pauvreté softs, tu dois plus faire grand chose avec ton Mac. Comment peut-on sacrifier un si belle machine à ce point ?

avatar lmouillart | 

[supprimé]

avatar Lestat1886 | 

@fc60 :
Le doxk a changé au bout de 10 ans, il n'y a jamais eu de port usb et c'est plus la fermeture du systeme qu'obsolescence ici, l'ipad 1 et l'iphone 4 ne pourraient pas faire tourner correctement ios 8... L'iphone 4 a quand même connu 3 mises a jour majeures soit prise en charge de 4 ans. Et ça a gueulé quand ça ramait sous ios 7 et quand ils le font pas ça gueule quand même :)

Attention je ne dis pas qu'apple ne fait pas du tout d'obsolescence programmée parce que ça arrive surtout pour les premières versions d'un produit (l'ipad 1 n'a pas connu beaucoup de mises a jour) et pour la RAM soudée par exemple mais dans l'ensemble je trouve qu'ils font pas mal d'efforts dans le suivi des appareils

avatar fc60 | 

@Lestat1886 :

Je suis d'accord ... mais il est tout de même regrettable que les dernières versions supportées "plombent" les performances des appareils concernés (iOS 7 et précédent pour l'iPhone 4, et 5.4 pour l'iPAd 1 qui, par exemple, plante en permanence sur Safari) ...

J'ai du mal à croire que ça ne soit pas un peu fait exprès !

avatar arturus | 

"daube immonde".... marrant c'est comme ça que j'ai décrit ios7 et qui m'a entre autre fait switché sur du windows phone.
Vraiment moche ces nouvelles moutures d'ios.

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