VirtualBuddy, l’outil de virtualisation gratuit qui simplifie la création de machines virtuelles sur le Mac, gagne une option supplémentaire avec sa dernière mise à jour. La version 2.1 peut désormais importer des fichiers directement depuis UTM, la référence du domaine qui est beaucoup plus complète grâce à sa couche d’émulation, mais aussi plus complexe à prendre en main. Si vous aviez commencé avec UTM, mais que vous préférez l’interface plus léchée de VirtualBuddy, c’est désormais possible. Vous pouvez glisser le fichier directement sur l’icône du Dock ou bien passer par le menu contextuel pour ouvrir une machine virtuelle UTM dans l’autre app.
Import d’une machine virtuelle créée avec UTM dans VirtualBuddy 2.1.
Précision importante, cette transition ne fonctionnera qu’avec les machines virtuelles qui reposent sur la couche de virtualisation fournie par macOS, car c’est la seule gérée par VirtualBuddy. UTM propose d’autres options basées sur QEMU, si bien que les systèmes virtuels qui font ce choix ne pourront pas faire la bascule. Ajoutons qu’il ne s’agit pas simplement d’ouvrir les fichiers de base : VirtualBuddy repose sur son propre format de fichiers et l’import consiste en réalité en la conversion du format UTM vers le sien. La machine virtuelle d’origine restera inchangée, si bien que vous pourrez aisément revenir en arrière en cas de problème.
La liste des nouveautés est encore longue et on repère dans le lot une alerte qui s’affichera désormais si on essaie de quitter l’app alors qu’un système d’exploitation virtuel est actif. On peut rafraichir le catalogue, qui propose des machines virtuelles prêtes à l’emploi pour macOS et Linux et de nombreux bugs ont été corrigés.
VirtualBuddy est une app gratuite et open-source, dont le code source en Swift est distribué sur GitHub. On peut toutefois aider son développeur en achetant une copie à cette adresse (prix défini par l’utilisateur) ou en sponsorisant son travail sur GitHub. Un Mac Apple Silicon sous macOS 13 est nécessaire, son interface n’est pas traduite en français.
macOS Tahoe va apporter du neuf à votre Mac. Cette révision inaugure une nouvelle interface, un Spotlight plus puissant et tout un tas de fonctions éparpillées dans les apps et les réglages. La mise à jour sera la dernière compatible avec les Mac Intel, seuls une poignée de modèles étant encore pris en charge. À quelques heures de sa sortie officielle, jetons ensemble un œil à ce qui va changer sur votre machine.
Une interface modernisée
Comme les autres systèmes d’Apple, macOS Tahoe adopte Liquid Glass, une toute nouvelle interface mettant l’accent sur les effets de transparence et les reflets. Le changement se ressent dès le premier démarrage avec de nouvelles icônes dans le dock et une barre des menus sans arrière plan. L’interface infuse en profondeur à travers le Mac, les réglettes affichant une bulle d’eau laissant voir ce qu’il y a en dessous ou encore sur les boutons des vidéos en mode image dans l’image.
Les options de personnalisations sont plus nombreuses, et on peut désormais changer la couleur des icônes des apps. Elles pourront être standard, constamment sombres, mais aussi transparentes ou dans une teinte définies par vos soins. À propos des icônes, Apple a d’ailleurs procédé à de nombreux changements de petits éléments d’interface. Le curseur en forme de gant de Mickey a tiré sa révérence, tandis que l’icône des disques Time Machine a été revue tout comme celle de Macintosh HD, de l'Utilitaire de disque ou de l’Assistant migration. De plus, l’utilisateur peut maintenant personnaliser la couleur des dossiers.
Ajoutons à cela quelques changements au niveau du centre de contrôle, qui ressemble désormais plus à celui d’iOS/iPadOS. Tout est plus transparent et arrondi, on peut le personnaliser. Et pour ceux qui veulent garder un bureau propre, macOS Tahoe permet enfin de faire le ménage dans les icônes de la barre des menus : une nouvelle section dans les Réglages Système permet d’empêcher les développeurs de nicher leur icône en haut à droite.
L’autre grosse nouveauté de macOS Tahoe, c’est un Spotlight entièrement revu. Le lanceur récupère une interface plus ronde et plus complète permettant d’accéder rapidement à 4 catégories : Applications, Fichiers, Actions et Presse-papiers. Les deux premiers simplifient le tri, là où le troisième permet d’exécuter des actions directement dans les apps.
Spotlight se rapproche ainsi des autres lanceurs avancés que l’on trouve chez les développeurs tiers depuis un moment. On peut par exemple envoyer un mail, démarrer un minuteur ou créer une note sans avoir à quitter la barre au centre de l’écran. Les actions possibles sont nombreuses, et on pourra également lire un podcast, calculer un itinéraire dans Plans ou encore ouvrir un album spécifique dans Photos.
La sauvegarde du presse-papier est désactivée par défaut (une alerte incite à l’activer au premier lancement). Tout ce que vous copiez sur le Mac sera ajouté petit à petit, des mots comme des fichiers ou des URL. On peut alors retrouver tous ces éléments dans Spotlight, qui fait tout de même le ménage au bout d’un certain temps. Ce ne sera donc pas une bonne option pour de la sauvegarde, mais un atout pratique pour certaines tâches de productivité.
macOS Tahoe inaugure trois nouvelles applications : Téléphone, Journal et Jeux. Les deux premières viennent d’iOS, là où la dernière est inédite cette année. Il s’agit d’un programme centralisant tout ce qui est en lien avec le monde du jeu vidéo, avec un système de bibliothèque ou de liste d’amis. On y trouve un onglet faisant la retape des titres Apple Arcade et quelques suggestions de jeux à télécharger. macOS Tahoe apporte aussi du neuf pour Metal, et permet de changer la couleur des LED des manettes PlayStation.
L’arrivée de Journal est intéressante tant le Mac semble adapté à la tenue d’un journal intime. Il s’agit de la même version que l’on a pu découvrir sur iPhone, permettant de facilement rédiger une entrée et donnant également différentes statistiques. Le journal est verrouillé derrière Touch ID, et tout se synchronise entre les appareils.
Enfin, Téléphone ressemble à l’app que l’on connaît bien sur iPhone. Elle permet de passer un appel tout en mettant les contacts favoris en évidence. Une barre de recherche est présente, et on pourra sinon faire le tri grâce à différents filtres mis en place (Appels manqués, messages vocaux…). L’app permet également de composer un numéro directement depuis son Mac.
Si Cupertino n’avance pas aussi vite qu’elle le voudrait avec Apple Intelligence, la mise à jour apporte tout de même quelques petites nouveautés. La traduction en direct dans Messages va faciliter les communications multilingues, tandis que des sous-titres pourront apparaître lors d’une conversation FaceTime ou via Téléphone.
Apple a également apporté quelques nouveautés à ses Genmoji et à Image Playground. ChatGPT est par exemple disponible dans l’app de création d’images, ce qui devrait permettre d’obtenir des résultats mieux finis que ceux générés par le modèle en local. On pourra sinon combiner deux emojis pour un rendu moins brouillon qu’auparavant.
Terminons en évoquant une grosse avancée pour les Raccourcis. L’intelligence artificielle générative fait son entrée dans les automatisations, et il est possible de faire appel à ChatGPT ou aux modèles maison d’Apple. On pourra également automatiser Image Playground ou transcrire un contenu audio grâce à un nouveau modèle amélioré.
Mis à part cela, les nouveautés sont nombreuses et dispersées à travers le système. La mise à jour apporte par exemple 15 économiseurs d’écran exclusifs ou des vitesses de lecture personnalisées pour chaque podcast dans l’app éponyme. Siri devrait prochainement accueillir GPT-5, le dernier grand modèle de langage d’OpenAI. Le remplissage des codes de sécurité a été amélioré dans les navigateurs tiers.
L’un des nouveaux économiseurs d’écran de Tahoe.
Il y a également du neuf pour les utilisateurs avancés, qui remarqueront l’abandon du FireWire ou une nouvelle ligne indiquant la consommation en watts des périphériques USB. Un nouveau framework écrit en Swift et appelé Containerization permet enfin aux applications d’utiliser des conteneurs Linux. Les gestionnaires de parcs Apple ne sont pas en reste avec de nombreuses nouveautés.
C'est le grand jour pour iOS 26 et macOS Tahoe 26. Les serveurs de mise à jour d'Apple devraient chauffer ce soir aux environs de 19 heures. Si vous êtes du genre pressé, profitez de la journée pour lancer une sauvegarde, on n'est jamais trop prudent.
iPadOS : la mise à jour la plus significative ?
Pour Apple, c'est l'heure de vérité en quelque sorte. La liste des nouveautés est plus ou moins longue en fonction de ses logiciels systèmes. C’est iPadOS qui évolue le plus en profondeur. Pour la première fois de son histoire, l'iPad se voit doté d'un vrai système de gestion de fenêtres. En fonction des usages, certains le remarqueront à peine, alors que, pour d'autres, notamment ceux qui utilisent l'iPad avec un clavier, ce sera une petite révolution.
Liquid Glass : Apple va-t-elle réussir à éviter une polémique ?
Mais pour la majorité des utilisateurs, la nouveauté la plus visible reste la nouvelle interface : Liquid Glass fera-t-elle l'unanimité ou divisera-t-elle les utilisateurs en deux camps ? Ceux qui l’aiment et ceux qui la détestent… Apple a déjà connu des interfaces clivantes, comme le passage du skeuomorphisme d’iOS 6 au design plat d’iOS 7. Les changements n’ont presque jamais laissé personne indifférent.
Alors que son interface a été dévoilée, il y a à peine trois mois, Apple l'a déjà fait beaucoup évoluer. Sa problématique est à la fois simple et complexe : faire la part belle aux effets de transparence et aux arrondis, tout en préservant la lisibilité.
Image : Apple
En fonction des appareils, on se prend ce design en pleine pomme. Il est beaucoup plus frappant sur un Mac que sur une Apple Watch, par exemple. L'autre difficulté, justement pour Apple, est de proposer à la fois une interface cohérente et séduisante sur l'ensemble de ses appareils. Liquid Glass peut par exemple séduire sur iPhone, mais laisser de marbre sur Mac. Tout cela sera, on l’imagine, suivi de très près par Apple. Et Liquid Glass est encore appelé à bien évoluer dans les mois et années à venir.
Peu de révolutions, mais des ajouts notables
Si la nouvelle interface d'Apple occupera la majorité des commentaires, c'est aussi parce que les grosses nouveautés sont rares dans ce cru 2026. iPadOS révolutionne la gestion des fenêtres. Spotlight subit une importante mue sur Mac. Aperçu découvre enfin qu'il y a une vie après le Mac. L’iPhone a droit à une toute nouvelle application Téléphone. Apple continue par ailleurs à réduire les distances entre l'iPhone et le Mac : l’application Téléphone débarque sur Mac, tandis que les Activités en direct de l’iPhone s’affichent désormais dans la barre de menus… enfin, sauf dans l’Union européenne d’après nos dernières constatations (la Recopie de l’iPhone reste absente également).
Le bras de fer entre Apple et l’Union européenne risque de devenir une source de frustration croissante pour les utilisateurs. Les Européens devront aussi se passer de l'une des plus grandes nouveautés de cette rentrée : la traduction en direct depuis les AirPods. On se gardera bien de désigner une quelconque coupable. À la fin, ce sont les utilisateurs qui paient l'addition.
De la frustration, il pourrait y en avoir aussi chez les possesseurs d'Apple Watch. L'une des nouveautés majeures, Workout Buddy, le coach sportif d'Apple est disponible uniquement en anglais.
Des mises à jour assez stables
Mais dans l'ensemble, ces éditions 2026 sont assez agréables à utiliser. Apple continue d'ajouter des tas de petites nouveautés qui rendent l'utilisation de ses outils plus agréables. Tout n'est pas parfait. Il y a de nouveaux réflexes à prendre, notamment dans Safari avec la gestion des onglets. Mais les bases sont là.
Notre expérience étant limitée à une poignée d'appareils, il est également difficile d'être catégorique, mais, dans l'ensemble, les systèmes d'Apple sont assez stables. Mais rassurez-vous, Apple n'a toujours pas souhaité corriger les problèmes inhérents à Podcast sur Mac.
Très vite, on saura si Apple a réussi son pari avec Liquid Glass. Nul doute que la vitesse à laquelle les utilisateurs migrent vers ces nouvelles versions sera suivie de près par les responsables d'Apple. Les premiers retours sont d'ailleurs en ce sens plutôt positifs. Au cœur de l'été, Tim Cook avait affirmé qu'il n'y avait jamais eu autant de testeurs des bêtas publics que cette année. Verdict dès ce soir ou presque : au moment d’appuyer sur « Installer », chacun saura vite s’il tombe du côté des convaincus… ou des réfractaires.
Certains vont peut-être trouver le temps long jusqu'à vendredi. Histoire de faire saliver les plus impatients, Jon Freier a publié une série de photos montrant les boites de l'iPhone 17 Pro et de l'iPhone 17 Air.
Comme le note MacRumors, Apple propose dans le cadre de son programme iPhone Upgrade des images des boites de ses nouveaux produits.
Si pour certains, l'attente est longue. Cette semaine est souvent très mouvementée pour Apple et ses partenaires, qui doivent apporter des millions d'iPhone dans des milliers de points de vente. Chez Apple, on doit en plus analyser les premiers jours de précommande afin d'analyser la popularité de chaque modèle et de chaque couleur !
Le keynote est passé, il est donc temps de souffler... non ? Ah. Bon. La présentation des nouveaux iPhone permet d’avoir une idée de la direction que prend Apple pour l’avenir, entre la réfection totale du visuel proposé par ses systèmes d’exploitation, et les codes retenus pour ses smartphones. De l’autre côté, l’année n’est pas encore finie, et beaucoup de produits sont dans les tuyaux, que Mark Gurman a visités de fond en comble.
Ça a chauffé au Steve Jobs Theater pour voir les nouveaux iPhone de plus près. Image Justin Ormont/Wikipedia, CC BY 4.0.
As Alive As You Need Me To Be (Aussi vivant que tu as besoin que je le sois)
Depuis le départ de Jony Ive en 2019, sans se voiler la face, il est facile d’admettre que le design des produits Apple stagne, avançant plus lentement qu’un glacier (et encore, avec la fonte des glaces...). Il faut dire qu’une majorité des designers qui étaient sous la coupe de Ive sont partis en même temps si ce n’est peu après lui, que ce soit pour rejoindre LoveFrom, pour monter leur propre entreprise de design ou pour aller à la concurrence. Depuis, l’aspect des produits était surtout supervisé par Jeff Williams, qui a décidé de partir lui aussi, laissant sa place de n°2 d’Apple en juillet et celle de chef du design à la fin de l’année.
Est-ce à dire qu’il n’y a plus d’intérêt pour le design chez Apple ? Qu’il n’y a plus aucune idée ? S’il est facile de le penser (et inquiétant à la fois), Apple semble avoir fait en sorte durant le dernier keynote de prouver le contraire : entre la citation de Steve Jobs, l’intro montrant les produits en gros plans quasi statiques et la présentation de l’iPhone Air et de l’iPhone 17 Pro par des designers faisant partie de l’équipe les ayant dessinés, il y avait longtemps que Cupertino n’avait pas autant parlé courbes et matériaux.
Si ça ronronne pour le moment, il va falloir renforcer le design dans les années à venir. Image Apple.
Il faut dire que remplacer Ive comme tête de pont n’est pas chose facile : s’il était le designer en chef d’Apple depuis une vingtaine d’années à son départ, c’était aussi un très bon communiquant qui avait une présence particulière durant les présentations produit (preuve en est le nombre de satires qu’il a pu recevoir). Cet accent typiquement anglais, cette façon de présenter le produit, Apple semble vouloir retrouver cette ambiance avec les deux designers vus durant le keynote de septembre. Est-ce pour autant une voie à suivre, ou est-ce juste un bref passage ? L’avenir nous le dira, mais Apple devra quoiqu’il en soit se réveiller niveau design, tant les prochains produits promettent d’être disruptifs.
Closer (plus près)
Et en parlant de nouveaux produits, les prochains mois risquent d’être chargés ! D’ici la mi-2026, c’est pas moins de 10 produits qui devraient être présentés ou renouvelés, dont voici la liste :
iPad Pro M5 : la sortie devrait intervenir d’ici le mois d’octobre, en faisant comme l’année dernière le porte-drapeau de la nouvelle version du SoC d’Apple. Il devrait contenir une seconde caméra avant, pour permettre à la fois le mode portrait et le mode paysage.
nouveau Vision Pro : petite mise à jour interne du Vision Pro, qui ne mérite pas l’appellation « Vision Pro 2 », qui devrait sortir avant une version revue, plus fine et allégée en 2027.
AirTag 2 : Apple prépare depuis quelques temps déjà cette nouvelle génération, qui devrait améliorer la portée et la précision de la localisation grâce à une nouvelle puce radio.
Apple TV : la nouvelle petite boîte noire d’Apple, en plus de contenir un SoC plus rapide pour accueillir Apple Intelligence et le nouveau Siri quand ils sortiront, devrait avoir le droit à la puce N1 maison pour gérer les réseaux Wi-Fi, Bluetooth et Thread.
Bientôt le renouvellement pour la petite boîte noire d’Apple. Image Apple.
HomePod mini : comme la nouvelle Apple TV, il devrait recevoir un processeur plus puissant pour gérer Apple Intelligence, et la nouvelle puce N1. Bien entendu, qui dit nouvelle version dit aussi nouvelles couleurs.
MacBook Pro M5 : si habituellement Apple sort ses nouveaux laptops pro en fin d’année, ceux-ci devraient pour une fois voir le jour en début 2026, possiblement avec une option cellulaire. Ils devraient être les derniers à sortir avec le design actuel, avant une refonte complète pour 2027.
MacBook Air M5 : comme les MacBook Pro, ils devraient sortir en début 2026.
nouveau moniteur externe : Apple travaillerait sur deux moniteurs externes, dont au moins l’un d’eux devrait sortir courant 2026. Sera-ce le remplaçant du Pro Display XDR, ou celui du Studio Display ? Mystère pour le moment.
iPhone 17e : le remplaçant de l’iPhone 16e devrait arriver début 2026, probablement avec le même A19 que l’iPhone 17.
Smart Home Hub : le fameux HomePod à écran intégré devrait arriver lui aussi dans la première moitié de 2026... si le Siri dopé aux LLM n’est pas en retard.
Ruiner (Ruiner)
Avec le nouvel iPhone 17 Pro Max et son option à 2 To, Apple tente la même technique qu’avec l’iPhone X : préparer psychologiquement les utilisateurs à l’arrivée de smartphones atteignant, puis dépassant la barre symbolique des 2 000 dollars (barre largement pulvérisée par chez nous, avec une version tapant les 2 479 €... et donc se rapprochant des 2 500). À l’époque, le prix de l’iPhone X avait fait grand bruit, et où en est-on quelques années plus tard ? La plupart des appareils de la pomme s’approchent ou dépassent allègrement les 1 000 dollars. En France, seul l’iPhone 17 de base s’affiche sous le tarif symbolique de 1 000 €, et encore, c’est de justesse.
L’iPhone 17 Pro Max est le premier modèle de la pomme à dépasser les 2 000 €. Image Apple.
Si l’iPhone 17 Pro Max 2 To reste pour le moment pour une frange plus que limitée de la population (peu de monde peut justifier l’usage de 2 To sur un smartphone, qui plus est à ce tarif), cette barre symbolique risque d’être plus souvent aperçue, voire dépassée avec les prochaines générations d’iPhone : Apple prépare sa version pliante, qui devrait atteindre un tarif plus que conséquent (il suffit pour cela de voir les prix pratiqués par Samsung et autres sur leurs smartphones pliables), et l’iPhone 20, attendu pour 2027, est attendu comme une prouesse digne de l’iPhone X... avec les tarifs qui suivent bien entendu.
En résumé, si depuis quelques années les tarifs tournaient sagement autour des 1 000 dollars ou un peu plus en euros sans vraiment monter plus, les prochaines années devraient voir une montée vers les 2 000 dollars... les clients suivront-ils ? De la réponse à cette question dépendra la suite pour Apple.
Right Where It Belongs (À sa juste place)
Un design logiciel entièrement renouvelé, le (possible) retour du design, ou en tout cas de la communication sur celui-ci, et des produits toujours plus chers : Apple n’est-elle finalement pas à sa juste place ? En attendant, je vous souhaite une bonne semaine, et à dimanche prochain !