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Tesla a voulu forcer la main des Pays-Bas pour valider sa conduite autonome en Europe, ça ne s’est pas bien passé

Nicolas Furno

lundi 24 novembre à 22:33

Mobilités

La conduite entièrement autonome supervisée, comme Tesla l’appelle très sérieusement outre-Atlantique, arrivera-t-elle finalement en Europe en début d’année prochaine ? Le constructeur en est convaincu, nous beaucoup moins. Elon Musk en personne promettait l’arrivée du FSD (Full-Self Driving) dès la fin de l’année 2022. En septembre 2024, une autre rumeur évoquait sa disponibilité début 2025 et alors que les fêtes de fin d’année approchent, force est de constater que l’on n’a toujours rien de concret. On a l’habitude des chronologies optimistes, pour ne pas parler de mensonges, du milliardaire, même si cette fois, cela semble devenir plus concret.

Ma Model 3 aux Pays-Bas, bloquée par la RDW, allégorie. Image MacGeneration.

En effet, le compte officiel de Tesla en Europe a publié il y a quelques jours un message sur X qui promettait la disponibilité du FSD en Europe dès février 2026. Ce long message commence par détailler tout le travail effectué pendant « plus de 12 mois » (on se demande bien ce qu’ils ont fait du travail certainement mené entre 2022 et aujourd’hui) pour adapter la conduite semi-autonome maison au cadre local, avant de se plaindre des règles européennes. C’est de bon ton de nos jours, surtout de la part d’une entreprise américaine, même s’il faut noter que la firme d’Elon Musk ne se prive jamais de reporter la faute sur les autorités, y compris dans son propre pays.

Quoi qu’il en soit, Tesla cherche à obtenir une approbation de la part de la RDW (‌Dienst Wegverkeer) néerlandaise, une agence gouvernementale qui régule le secteur automobile. Le constructeur automobile a des liens historiques forts avec les Pays-Bas, qui ont toujours été sa porte d’entrée vers l’Europe. De la même manière, si le pays approuve le FSD (Supervised) actuel, le système pourrait ensuite être approuvé par les autres pays membres de l’Union européenne. Tesla y a par ailleurs testé la conduite autonome dès avril 2025, comme en témoigne cette vidéo publiée à l’époque.

Ce n’est pas le seul pays qui a vu circuler des Tesla avec le système actif pendant cette phase de tests : les Parisiens ont aussi pu croiser des véhicules en mai dernier, par exemple. Il faut dire que, comme l’explique le constructeur dans son message, il devait apporter des preuves concrètes de son bon fonctionnement. En un an, l’entreprise a ainsi fait rouler ses véhicules avec une bêta du FSD (Supervised) pendant un million de kilomètres et à travers 17 pays.

Tesla fait rouler sa conduite entièrement autonome (supervisée) autour de la Place de l’Étoile

Tesla fait rouler sa conduite entièrement autonome (supervisée) autour de la Place de l’Étoile

Pour que son assistant à la conduite supervisé par un humain soit approuvé, Tesla doit convaincre les autorités que son système respecte les règles actuelles. Il lui faudra aussi obtenir des dérogations par rapport à la réglementation européenne. Il n’y a pas encore de cadre légal permettant une conduite autonome sans maintenir ses mains sur le volant hors des autoroutes et c’est justement tout l’intérêt de la fonctionnalité telle que le constructeur la propose dans son pays. Sachant probablement que le combat va être difficile à mener, l’entreprise d’Elon Musk a tenté de passer en force en indiquant dans sa communication que la RDW s’est engagée à répondre en février et surtout en incitant ses nombreux fans à faire pression en envoyant un message à l’agence pour réclamer l’approbation du système.

Sans trop de surprise, la réaction ne s’est pas faite attendre et l’autorité néerlandaise ne se laisse pas impressionner. Dans un communiqué publié deux jours après le coup de pression de Tesla, la RDW refuse de commenter les demandes en cours des constructeurs automobiles, tout en reconnaissant qu’elle coopère actuellement avec Tesla et qu’ils avaient en effet convenu ensemble d’une étape à l’échéance annoncée. L’entreprise américaine devra alors avoir démontré que son système répond aux exigences et si c’est bien le cas, le système pourra être approuvé. Le calendrier est toutefois moins assuré et le communiqué souligne même que des reports pourraient être nécessaires. L’agence termine en demandant au public de ne plus les contacter à ce sujet : cela ne servira pas à accélérer le dossier et ces messages de masse perturbent la prise en charge des autres demandes.

Sans aller jusqu’à conclure que Tesla a ainsi gâché sa chance de valider sa conduite autonome supervisée en Europe, on peut penser que les autorités néerlandaises auront au minimum un a priori négatif concernant la demande. Reste le plus dur de toute manière : prouver que cette assistance à la conduite qui est censée diriger la voiture en toute autonomie tout en exigeant une supervision constante d’un humain est suffisamment sûre pour les standards européens. Même si le cadre réglementaire actuel est probablement trop contraignant, il y a peu de chances pour que les autorités valident toutes les demandes sans s’assurer que des mesures de sécurité restent bien en place.

Est-ce que le FSD (Supervised) sera effectivement proposé en Europe l’année prochaine ? On aura peut-être un début de réponse en février, mais même si les Pays-Bas valident la demande à ce moment-là, il faudra ensuite un vote de l’Union européenne pour une validation à l’échelle du continent. Autant dire qu’il faudra faire preuve de patience même si Tesla a un dossier absolument béton, ce qui est déjà loin d’être garanti.

Anthropic veut reprendre la couronne du meilleur modèle avec Opus 4.5 et ajoute Claude Code à son app pour macOS

Nicolas Furno

lundi 24 novembre à 21:18

Intelligence artificielle

Anthropic annonce un nouveau modèle avec l’arrivée d’Opus 4.5, la dernière itération de son grand modèle de langage le plus sophistiqué, celui qui a la meilleure capacité de « raisonnement » et qui peut résoudre les tâches les plus complexes. Il remplace Opus 4.1 qui a été lancé pendant l’été et il s’agit d’une mise à jour mineure des modèles de quatrième génération qui remontent au printemps. Malgré tout, cette version permet au créateur de Claude d’affirmer qu’il dispose du « meilleur modèle au monde pour le code, les agents et l’usage informatique », rien que ça.

Présentation d’Opus 4.5 en lançant Claude sur le Mac. Image MacGeneration.

Ce faisant, Anthropic espère brièvement récupérer la palme du meilleur modèle, chipée à tous ses concurrents par Google lors du lancement de Gemini 3 qui a eu lieu il n’y a même pas une semaine. Le temps ne semble pas évoluer de la même manière dans le monde des grands modèles de langage (LLM) indispensables aux intelligences artificielles génératives. À l’époque, le géant de la recherche avait impressionné avec des scores très élevés dans les mesures de performance standards de l’industrie.

Google lance Gemini 3 Pro, qui doit être meilleur que GPT-5, Grok ou Claude

Google lance Gemini 3 Pro, qui doit être meilleur que GPT-5, Grok ou Claude

Six jours plus tard, Anthropic surenchérit avec des chiffres encore meilleurs. Les écarts ne sont pas non plus énormes et il faut souligner que ce sont des valeurs sélectionnées avec soin par le créateur du modèle. C’est de bonne guerre car tout le monde le fait, mais dans le monde réel, évaluer les gains des nouveaux LLM devient de plus en plus complexe, comme le relève Simon Willison qui est pourtant un spécialiste en la matière et qui suit toutes les évolutions des IA génératives depuis des années. Ses propres tests ne suffisent plus à trouver une différence significative entre deux modèles, qu’ils soient concurrents ou au sein d’une même famille.

Graphique Anthropic.

Ainsi, il a eu accès en avance au nouveau modèle Opus 4.5 et quand cet accès a cessé, Claude est repassé automatiquement sur Sonnet 4.5 (LLM intermédiaire, il y a aussi un Haiku 4.5 pour les besoins plus légers) sans même qu’il ne le réalise. Ça ne veut pas dire que le nouveau-venu est mauvais, plutôt que les gains ne seront probablement pas sensibles dans la majorité des besoins courants. Ce n’est pas une surprise, c’est maintenant bien établi qu’il ne faut plus attendre de gros progrès majeurs avec la technologie actuelle, comme c’était le cas les premières années.

Quoi qu’il en soit, Opus 4.5 est désormais accessible aux utilisateurs payants de Claude. Il faut en effet souscrire un abonnement facturé à partir de 173 € HT par an ou 17 € HT par mois pour utiliser le meilleur modèle, avec des limites comme toujours. On peut aussi l’exploiter via l’API fournie par Anthropic, avec un prix bien inférieur à son prédécesseur, même s’il reste plus élevé que les concurrents : environ 4,3 € par million de tokens en entrée et 22 € en sortie. C’est trois fois moins que pour Opus 4.1, mais c’est aussi jusqu’à quatre fois plus cher que ce que demande OpenAI pour un modèle similaire.

Claude Code sur le Mac sans terminal

L’entreprise californienne en a profité pour annoncer d’autres nouveautés et notamment l’intégration de Claude Code à son app macOS. Cet outil optimisé pour le développement, que ce soit pour modifier un projet existant ou vibe-coder un projet de zéro, s’utilisait jusque-là principalement depuis le terminal. Anthropic avait commencé à l’ouvrir à davantage d’utilisateurs en introduisant une version web le mois dernier.

Claude Code n’est plus limité au terminal de votre ordinateur, il peut fonctionner depuis le web

Claude Code n’est plus limité au terminal de votre ordinateur, il peut fonctionner depuis le web

L’intégration à l’app macOS est un prolongement de cette démocratisation. Il n’est plus nécessaire d’ouvrir une session de terminal et de connaître les commandes nécessaires pour manipuler Claude Code (même si Claude pouvait sûrement aider aussi sur ce point… 🤯) : on peut maintenant basculer dans un mode spécifique qui permet ensuite de travailler sur ses projets. Il n’est même plus nécessaire d’avoir le code source en local, on peut brancher son compte GitHub et effectuer les changements directement sur les serveurs de Microsoft.

Avantage supplémentaire de cette nouvelle interface, on peut facilement initier plusieurs sessions et laisser l’agent travailler dans son coin, en parallèle sur chaque tâche. Sous le capot, Opus 4.5 interviendra et toute la fonctionnalité demande ainsi un compte payant.

En contrepartie, Anthropic indique avoir augmenté les limites d’utilisation, si bien qu’on devrait pouvoir utiliser Opus pour la majorité de ses tâches quotidiennes. Il fallait jusque-là régulièrement revenir à Sonnet, même avec les abonnements les plus chers.

Il y a forcément un écran qui vous correspond : les meilleures offres BenQ du Black Friday 📍

Article sponsorisé

lundi 24 novembre à 20:00

Services

À l'approche du Black Friday 2025, BenQ déploie une gamme d'offres substantielles sur ses moniteurs professionnels, avec des réductions oscillant entre 7 % et 30 %. Que vous soyez créatif indépendant, photographe exigeant ou simple amateur de belles images, cette sélection mérite un détour attentif.

Fini, l'époque où il fallait choisir entre précision colorimétrique et budget raisonnable. Le constructeur taïwanais BenQ brade ses écrans calibrés d'usine avec des réductions allant jusqu'à 30 %, transformant des références habituellement réservées aux studios en opportunités accessibles.

De l'écran d'entrée de gamme à moins de 400 € jusqu'aux dalles 5K ultra-définies, voici une sélection non-exhaustive qui couvre un spectre suffisamment large pour séduire aussi bien le photographe amateur que le graphiste aguerri.

Les offres sont valables du 3 novembre au 2 décembre 2025, avec livraison gratuite dès 99 € d'achat et un droit de rétractation de 30 jours pour tester votre écran en toute sérénité.

L'offensive tarifaire : de 400 à 1100 €

Les promotions touchent aussi bien les modèles d'entrée de gamme que les références haut de gamme. Le PD2706U, actuellement affiché à 400 € après une réduction de 7 %, constitue la porte d'entrée la plus accessible de cette sélection. Ce moniteur 27 pouces en définition 4K (3840x2160) couvre 95 % de l'espace colorimétrique P3 et délivre 90W via son port USB-C. Pour qui cherche un écran professionnel sans franchir le seuil psychologique des 400 €, l'occasion semble propice.

À l'autre extrémité du spectre tarifaire, le PD2730S passe de 1199 à 1099,99 €. Cette référence se distingue par sa résolution 5K native (5120x2880), soit une densité de 218 pixels par pouce qui rivalise avec les écrans Retina d'Apple. Le moniteur embarque la technologie IPS Black, garantissant un rapport de contraste de 2000:1, nettement supérieur aux dalles IPS conventionnelles. TechRadar avait notamment salué ce modèle comme une alternative crédible au Studio Display d'Apple, pour un tarif inférieur de plusieurs centaines d’euros.

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La gamme MA, taillée pour l'écosystème Mac

Les MA320U et MA270U affichent respectivement 599,99 € et 499,99 € après remise. Ces deux déclinaisons (32 et 27 pouces) partagent une filiation commune : un calibrage spécifique pour s'harmoniser avec les MacBook Pro et Air. Les deux écrans reproduisent 99 % de l'espace sRGB et 97 % du DCI-P3, avec une livraison de puissance de 90W en USB-C.

La technologie Brightness Intelligence Gen2 ajuste automatiquement la luminosité en fonction de l'éclairage ambiant. Le panneau nano-mat réduit les reflets à leur strict minimum. Creative Bloq a particulièrement apprécié la fidélité chromatique du MA270U, notant qu'il était difficile de percevoir une différence entre l'écran du MacBook et celui du moniteur externe lors du passage de l'un à l'autre.

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Le PD3225U, compromis entre surface et précision

À 999,99 € dans sa version promotionnelle, le PD3225U offre un large panneau de 31,5 pouces en 4K. La technologie IPS Black assure ici aussi un contraste de 2000:1. Le moniteur couvre 98 % du P3, 100 % du sRGB et du Rec.709, avec une précision colorimétrique Delta E inférieure à 2. PCWorld l'a testé en profondeur et a mesuré un Delta E moyen de 0,43, le plaçant dans le peloton de tête des 900 moniteurs passés au crible par la rédaction américaine en quinze ans.

Le Thunderbolt 3 délivre 85W et permet le chaînage en guirlande de plusieurs écrans. Un switch KVM intégré facilite le pilotage de deux machines depuis un unique ensemble clavier-souris. Le calibrage d'usine est certifié par Calman et validé par Pantone.

PD2725U, l'équilibre au juste prix

Le PD2725U, désormais proposé à 700 €, vise les professionnels en quête d'un compromis entre performances et budget. Ce 27 pouces 4K couvre 95 % du P3 et 100 % des espaces sRGB et Rec.709. Le Thunderbolt 3 assure un transfert de données à 40 Gb/s tout en fournissant 65W de puissance. Le mode M-Book synchronise les couleurs avec les ordinateurs portables Mac, tandis que le logiciel Display Pilot 2 permet de contrôler la luminosité directement depuis le clavier de l'ordinateur.

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Le PD2706UA et son bras articulé

À 499,99 €, le PD2706UA se différencie du PD2706U classique par l'inclusion d'un bras ergonomique. Cette version offre les mêmes spécifications colorimétriques (95 % P3, 99 % sRGB et Rec.709), la même connexion USB-C 90W, mais libère le bureau en fixant l'écran sur une potence réglable en hauteur, inclinaison, rotation et pivot. Pour qui travaille dans un espace restreint ou jongle avec plusieurs périphériques, cette configuration apporte une flexibilité substantielle.

Quelle référence pour quel profil ?

Pour les adeptes de l'écosystème Apple en quête de fluidité, les MA270U et MA320U séduiront par leur calibrage spécifique et leur intégration logicielle poussée. Les designers et retoucheurs exigeants se tourneront vers le PD2730S et son extraordinaire densité de pixels, ou vers le PD3225U pour conjuguer surface généreuse et précision. Les photographes et monteurs vidéo au budget contenu trouveront dans le PD2706U une entrée en matière sérieuse, tandis que le PD2725U propose un équilibre solide entre fonctionnalités et tarif.

Chaque référence embarque la technologie AQCOLOR de BenQ, garante d'un calibrage d'usine rigoureux et d'une uniformité chromatique sur l'ensemble de la dalle. Les certifications Pantone et Calman, présentes sur la plupart des modèles, attestent de la fiabilité colorimétrique. Tous proposent également des modes prédéfinis (CAD/CAM, Animation, Darkroom, Display P3, Rec.709) facilitant le passage d'un flux de travail à l'autre sans recalibrage manuel.

Cette salve d'offres Black Friday permet d'accéder à des outils professionnels à des tarifs plus digestes. Reste à déterminer si votre pratique justifie l'investissement dans la résolution 5K du PD2730S ou si un 4K bien calibré suffira. Dans tous les cas, l'éventail couvre suffisamment de besoins pour que chacun y trouve son compte.

Ces écrans ne représentent qu'une fraction des promotions déployées par BenQ pour ce Black Friday : vidéoprojecteurs, barres lumineuses et autres périphériques profitent également de réductions substantielles sur toute la durée de l'opération.

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Jony Ive et Sam Altman ont des prototypes de leur mystérieux appareil pensé autour de l’IA

Stéphane Moussie

lundi 24 novembre à 18:49

Intelligence artificielle

Le projet mené par Jony Ive et Sam Altman, à savoir un produit imaginé autour de l’IA, a franchi une nouvelle étape. « Nous avons les premiers prototypes », a annoncé le patron d’OpenAI, interrogé par Lauren Powell Jobs lors d’une conférence.

« Je suis absolument stupéfait par la qualité de ce travail et l'enthousiasme qu’il suscite, a-t-il ajouté. Avec le recul, en observant le processus à rebours, je réalise à quel point tout était déjà là et pourquoi rien n'aurait été possible autrement. Et au final, il en résulte cette chose extraordinaire. »

Cette « chose », censée intégrer de manière transparente l’IA générative (comprendre ChatGPT) dans la vie quotidienne, reste floue, les deux hommes gardant la surprise pour plus tard. « Il y avait un précédent prototype qui nous enthousiasmait beaucoup, mais je n'avais pas l'impression d'avoir envie de me jeter dessus et de le tester, et puis finalement, nous y sommes arrivés d'un coup », a simplement déclaré Sam Altman pour faire monter la mayonnaise.

Selon les rumeurs toutefois, il s’agirait d’un accessoire sans écran qui ne remplacerait pas l’iPhone, mais le compléterait. Équipé de micros et de caméras, il pourrait être posé sur une table ou porté autour du cou. Une description qui évoque immanquablement le funeste AI Pin, mais gageons que les célèbres associés éviteront ces écueils. Jony Ive, désormais responsable du design pour OpenAI parmi d’autres clients, a indiqué durant l’entretien que le produit sortirait d’ici moins de deux ans.

Pour mener à bien ce projet, OpenAI a recruté quasiment toute la garde rapprochée du designer du temps où il officiait chez Apple, et les débauchages se poursuivent.

Jony Ive et OpenAI débaucheraient sans trop de difficultés des spécialistes chez Apple

Jony Ive et OpenAI débaucheraient sans trop de difficultés des spécialistes chez Apple

Réduction rare sur le Magic Keyboard USB-C Touch ID avec pavé numérique

Stéphane Moussie

lundi 24 novembre à 17:46

Matériel

Le Magic Keyboard avec capteur Touch ID et pavé numérique bénéficie d’une remise de 19,90 € sur Amazon en ce moment. Son prix passe ainsi à 180 €. Cela reste élevé, mais les réductions sur ce clavier de dernière génération avec port USB-C sont rares. Notez que le tarif affiché sur Amazon est de 199 €, la réduction de 19,90 € s’applique automatiquement au moment de la commande.

Magic Keyboard avec Touch ID et pavé numérique

Ce clavier étendu est unique au monde, car c’est le seul à avoir un capteur Touch ID intégré à une touche. Et quand on a pris l’habitude de déverrouiller son Mac et ses apps avec son empreinte digitale, impossible de revenir en arrière. Les fans de tableurs apprécieront le pavé numérique pour taper plein de chiffres à la vitesse de la lumière.

Prise en main du Magic Keyboard avec USB-C et sa mystérieuse nouvelle touche

Prise en main du Magic Keyboard avec USB-C et sa mystérieuse nouvelle touche

Pas de réduction pour l’instant sur le Magic Keyboard Touch ID en version courte (169 €), mais cela changera peut-être à l’approche du vrai vendredi du Black Friday. Quant au modèle sans Touch ID, il est en promo à 91 € au lieu de 119 € chez Apple.

Puisqu’on est dans les périphériques Apple, on peut aussi relever des rabais sur les souris de dernière génération avec port USB-C. Toujours sur Amazon, la Magic Mouse blanche est à 65 €  au lieu de 85 € et la Magic Mouse noire à 85 € au lieu de 119 € — ce n’est pas une erreur, la noire coûte plus cher.