Alors que le froid s’installe dans une large partie du monde, Apple met en avant la résistance à la chaleur de l’iPhone 17 Pro dans une nouvelle publicité. Intitulé « Peak Performance » (« performance optimale »), le clip met en scène un homme en train de courir dans un paysage désertique et aride. Soudain, des nuages se forment au-dessus de lui ; une goutte d’eau tombe, s’évapore instantanément en touchant son front et lui confère des capacités quasi surhumaines, notamment une aisance multitâche improbable — vous avez déjà fait du piano tout en courant et en résolvant un Rubik's Cube ?
C’est une façon amusante de vanter la chambre à vapeur des iPhone 17 Pro et 17 Pro Max. Ce composant prend la forme d’une fine enveloppe de cuivre accolée au système sur puce, contenant quelques gouttes d’eau déminéralisée. Lorsque la zone la plus chaude monte en température, l’eau s’évapore ; la vapeur migre ensuite vers la partie la plus froide avant de se condenser. Ce circuit, associé au cadre en aluminium, améliore significativement la dissipation thermique.
Comme nous avons pu le constater, les iPhone 17 Pro chauffent moins que les générations précédentes lors des tâches intensives et maintiennent des performances élevées plus longtemps. Il se murmure d’ailleurs que les futurs iPad Pro M6 pourraient adopter à leur tour une chambre à vapeur.
Il y a des promotions qui sonnent comme du recyclage marketing, et puis il y a celles où on sent qu'une boîte a décidé de vraiment mettre le paquet.
Cette année, Imagen a choisi la deuxième option : du 10 novembre au 2 décembre, tout passe à moins cinquante pour cent. Et quand on dit tout, c'est tout. Les abonnements d'édition, les forfaits de tri photo, les profils de retouche, même le premier versement des plans annuels. Aucune petite ligne en bas de page qui limite l'offre aux nouveaux clients ou aux trois premiers produits. Non, c'est simple et carré.
Un logiciel qui apprend votre style de retouche
Pour ceux qui découvrent Imagen en lisant ces lignes, un petit détour s'impose. On parle d'un logiciel d'édition photo piloté par intelligence artificielle, qui analyse votre manière de retoucher pour ensuite l'appliquer automatiquement à vos nouveaux clichés.
Concrètement, vous lui montrez quelques milliers de vos images déjà éditées, et l'algorithme déchiffre vos préférences : comment vous gérez la balance des blancs dans une église sombre, comment vous poussez les tons chauds lors d'un coucher de soleil, comment vous corrigez l'exposition sur un portrait en contre-jour. Une fois cette phase d'apprentissage bouclée, Imagen devient capable de traiter une photo toutes les 0,33 seconde. Ce qui signifie qu'un mariage complet, galerie de mille images comprise, sort édité en cinq minutes et demie.
Le logiciel s'occupe de la balance des blancs, de la correction colorimétrique, des ajustements d'exposition, du recadrage automatique et même du redressement des horizons. Il peut appliquer un masque sur les sujets pour leur donner plus de présence, lisser la peau, blanchir les dents ou réduire le bruit sur les photos prises en basse lumière. Tout ce qui relève de la mécanique pure, en somme. Ce qui reste après, c'est l'espace pour les ajustements fins, les masques locaux sur les visages, les retouches qui font qu'une image devient mémorable.
L'écosystème complet qui change tout
Cette année, Imagen a construit sa campagne autour du concept "Better Together", et il faut reconnaître qu'il y a une cohérence dans cette approche. Parce que ce qui fait la force du logiciel, ce n'est pas seulement l'édition automatique. C'est l'écosystème complet. Quand on combine l'édition avec le tri intelligent des photos et les profils de retouche préenregistrés, on obtient une chaîne de production fluide qui traite l'intégralité du workflow post-shooting.
Le module de tri repère automatiquement les meilleurs clichés en analysant la netteté, la composition, l'exposition. Il groupe les photos similaires et sélectionne les meilleures de chaque série, exactement comme le ferait un humain, mais en quelques minutes plutôt qu'en plusieurs heures. L'édition applique ensuite votre style personnel ou celui d'un photographe dont vous admirez le travail.
Et les profils, justement, permettent de jongler entre différentes ambiances selon le type de séance photographiée. Vous n'avez pas encore assez d'images éditées pour entraîner votre propre profil ? Pas de problème. La boutique de profils propose plus des dizaines de styles créés par des photographes reconnus, prêts à être appliqués immédiatement.
L'idée, c'est que chaque maillon renforce les autres. Le tri fait gagner une heure, l'édition en récupère dix, et les profils évitent de repartir de zéro à chaque nouveau projet. Imagen ne cherche pas à remplacer le photographe, mais à éliminer toute la partie ingrate du métier, celle qui consiste à répéter mécaniquement les mêmes gestes sur des centaines de fichiers.
Les tarifs pendant le Black Friday
Parlons chiffres maintenant. En temps normal, Imagen propose trois formules d'édition. Le paiement à l'utilisation sans engagement facture 0,045 euro par photo, avec un minimum mensuel de sept euros qui se convertit en crédits de retouche. Les abonnements annuels démarrent à 60,75 euros par mois pour dix-huit mille modifications par an, avec une économie de dix pour cent par rapport au tarif standard. L'offre Entreprise, elle, s'adresse aux gros volumes avec plus de cent mille photos annuelles et propose un accompagnement sur mesure.
Pour le tri des images, deux options existent : un abonnement annuel à onze euros mensuels (paiement annuel) ou un abonnement mensuel à seize euros. Le Culling Studio fonctionne de manière autonome et nécessite son propre abonnement, distinct des outils d'édition. Avantage notable : aucun paiement minimum de sept euros avec l'abonnement tri.
Côté stockage cloud, les forfaits commencent à trois euros mensuels pour cinq cents gigaoctets (prix barré à cinq euros) et neuf euros pour deux téraoctets (prix barré à douze euros). Tous les nouveaux abonnés bénéficient de cent gigaoctets gratuits pendant trois mois, quel que soit le forfait choisi.
Avec la promotion Black Friday qui applique cinquante pour cent de réduction sur l'ensemble du catalogue, ces tarifs se retrouvent donc divisés par deux jusqu'au 2 décembre. Les nouveaux venus profitent de la réduction sur leur premier mois d'abonnement. Ceux qui ont déjà un compte actif peuvent acquérir des forfaits de tri, des forfaits de stockage ou acheter des profils de retouche à moitié prix. Et même le premier versement des plans annuels passe sous la barre des cinquante pour cent, ce qui constitue une porte d'entrée financièrement plus douce pour s'engager sur douze mois.
Récupérer du temps en pleine période de rush
Les photographes de mariage ou de portraits passent régulièrement plus de la moitié de leur temps de travail derrière un écran à éditer. C'est une réalité du métier que peu de gens extérieurs soupçonnent. Pendant les périodes de rush, entre novembre et janvier, cette charge devient écrasante.
Les galeries s'empilent, les délais de livraison se tendent, et le temps consacré à prospecter de nouveaux clients ou à travailler son book personnel disparaît complètement. Des photographes professionnels rapportent avoir récupéré des dizaines d'heures par semaine après avoir intégré le logiciel dans leur routine, ce temps auparavant englouti dans des tâches répétitives comme ajuster l'exposition ou corriger les dominantes de couleur.
Il faut dire qu'Imagen a bâti sa réputation sur la fiabilité. Le logiciel s'intègre directement dans Lightroom Classic, ce qui évite d'avoir à apprendre une nouvelle interface ou à jongler entre plusieurs programmes. On exporte son catalogue, Imagen le traite, et on récupère les fichiers édités prêts à être finalisés. Pas de révolution dans les habitudes de travail, juste une accélération brutale de ce qui prenait des heures.
L'un d'eux expliquait avoir transformé ce qui ressemblait à un job dévorant en quelque chose qui s'apparente désormais à un mi-temps. Pas parce qu'il travaille moins, mais parce que le logiciel s'occupe de tout ce qui relève de la mécanique pure, libérant du temps pour ce qui demande vraiment un cerveau humain : la direction artistique, les ajustements fins, les masques locaux sur les visages, les retouches qui font qu'une image devient mémorable.
Cette campagne Black Friday ressemble donc à une opportunité rare. Pas parce qu'Imagen invente le concept de la promotion saisonnière, mais parce que cinquante pour cent sur un outil qui peut diviser par dix le temps passé en post-production, ça change sérieusement l'équation. Pour ceux qui croulent sous les galeries ou qui rêvent simplement de récupérer leurs soirées, c'est probablement le moment d'essayer.
Il est possible de faire l’acquisition du nouveau portable d’Apple pour 1699 €, que ce soit chez Amazon, Fnac ou Darty. Cette machine ne souffre d’aucun problème de disponibilité. La configuration de base comprend 16 Go de RAM et 512 Go de SSD.
La configuration avec 1 To de stockage fait également l’objet d’une remise de 100 €. Elle est proposée au prix de 1949 € chez les mêmes revendeurs : Amazon, Darty et Fnac.
Enfin, selon la même mécanique : les mêmes 100 € de réduction s’appliquent chez Amazon, Fnac et Darty sur le modèle avec 24 Go de RAM et 1 To. Prix : 2199 € au lieu de 2299 €.
Le MacBook Pro M5 est avant tout un formidable outil de travail : très bien construit, avec un écran mini-LED toujours aussi bluffant (luminosité, contraste, colorimétrie), un excellent son, un trackpad de référence et une autonomie qui permet de tenir sans stress une longue journée loin du chargeur, voire davantage selon l’usage. La puce M5 apporte un vrai saut générationnel : CPU nettement plus rapide, GPU bien plus solide pour un intégré (jeux modernes en 1200p jouables dans de bonnes conditions) et SSD PCIe 5.0 au-delà des 6 Go/s. Pour beaucoup, c’est typiquement le Mac “qui disparaît” : on ouvre le capot, on bosse, et tout répond avec une fluidité exemplaire.
Les compromis existent, mais ils ne gâchent pas le tableau d’ensemble. Le design ne bouge pas et reste un peu massif, l’encoche est toujours là sans Face ID, les ports stagnent (pas de Thunderbolt 5 ni de Wi-Fi 7) et le ventilateur se fait entendre en charge lourde, conséquence directe d’un TDP relevé pour maintenir des performances très stables dans le temps.
En pratique, on reste face à un Mac très abouti, ultra polyvalent et durable, qui coche l’essentiel pour un usage pro ou exigeant : puissance, confort, silence la plupart du temps et autonomie de marathonien. Pour qui cherche un 14” sérieux, efficace et prêt pour plusieurs années, le MacBook Pro M5 est clairement une excellente pioche. Par contre, si cette machine vous intéresse, pensez à faire l’achat d’un adaptateur secteur !
Après des années de stagnation, les choses s’améliorent pour les joueurs sur Mac. Preuve en est : Steam est désormais optimisé pour les puces Apple Silicon ! Il s’agit d’une des dernières grosses apps qui traînait des pieds pour adopter la nouvelle architecture d’Apple. Comme l’a remarqué le site Apple2CH, le changement a été mis en place via une mise à jour publiée la semaine dernière.
Image MacGeneration
J’ai pu le vérifier sur ma machine : après avoir téléchargé la mise à jour et redémarré le client, l’app est passée dans la rubrique Apple du Moniteur d’activité. Il s’agissait d’ailleurs de la dernière sur mon Mac. La note de mise à jour reste bien modeste sur ce qui est un gros changement, se contentant de mentionner la nouvelle icône optimisée pour macOS 26 Tahoe. Elle n’est plus enfournée dans une disgracieuse boîte grise, ce qui rend mieux dans le dock.
Valve a passé des années à maintenir la version Mac de Steam sans faire d’effort sur l’optimisation ou les fonctions pour macOS. Si l’on commençait à perdre espoir de voir un jour arriver une version Apple Silicon, l’entreprise a lancé une première bêta optimisée… quelques jours après la WWDC, lorsque Cupertino a annoncé la fin de la prise en charge de Rosetta sur macOS 28.
Pour mettre à jour Steam, lancez l’application et rendez-vous dans l’onglet Steam de la barre des menus. Un bouton permet de télécharger la dernière version de l’utilitaire, qui se lance logiquement beaucoup plus vite qu’auparavant. S’il est désormais optimisé, Steam reste cependant bien loin d’être une app native à macOS étant donné que le lanceur repose sur Chromium. Apple2CH a d’ailleurs noté qu’il était encore dépendant de Rosetta 2 sur certains points, ce qui indique qu'il reste quelques boulons à serrer.
La nouvelle icône Steam sur Tahoe. Image MacGeneration
Cette transition est bénéfique pour les performances générales et l’autonomie. Néanmoins, seuls le lanceur et ses services sont maintenant compilés pour Apple Silicon. Une grande partie du catalogue Mac repose encore sur du code Intel ou sur des couches de compatibilité et ne profite donc pas automatiquement de la même optimisation.
Si vous travaillez avec des personnes sur d’autres fuseaux horaires ou que vous avez de la famille à l’étranger, il vous arrive sans doute de vous poser régulièrement une question : « mais quelle heure est-il là-bas ? ». Zone Bar est une petite app visant à vous éviter de devoir faire du calcul mental en affichant l’heure de plusieurs villes directement dans votre barre des menus.
Zone Bar en action. Image MacGeneration
L’app est simplissime. On peut ajouter n’importe quelle ville via une petite barre de recherche, que l’on peut différencier grâce à un nom personnalisé ou un emoji. On a alors juste à cliquer sur une petite icône de globe dans la barre des menus pour avoir un coup d’œil général, et une petite barre à faire glisser permet de surveiller quelle heure il sera dans quelques heures sur toutes les horloges. Une fonction pratique pour planifier des réunions ou vérifier si des amis à l'étranger seront réveillés.
Zone Bar a quelques petits atouts, comme le fait de pouvoir l’activer d’un raccourci clavier ou d’ajuster quelques aspects de son interface. Pour éviter d’avoir à cliquer sur son icône, on peut également faire en sorte d’avoir constamment l’heure d’une ville affichée dans la barre des menus.
Quelques éléments sont absents : il n’y a pas les secondes, de version sous forme d’horloge ou de synchronisation iCloud. Cela reste pertinent pour des besoins basiques, d’autant plus que l’app est gratuite pour le moment. Elle devrait devenir payante à terme, donc si le concept vous intéresse, ne traînez pas trop à la télécharger sur le Mac App Store. Elle nécessite macOS 26.1.
C’est loin d’être le premier utilitaire du genre, et macOS propose par exemple un widget natif pour afficher l’heure des villes à travers le monde. Tout n’est malheureusement pas particulièrement flexible, le widget avec plusieurs villes n’étant disponible que sous forme d’horloge. Pour une gestion plus poussée (mais pas dans la barre des menus), Overlap est une sympathique application actuellement en promo pour 0,99 € sur le Mac App Store.