Apple.be : une histoire belge

Christophe Laporte |
Comment faire un hit ? Tout simplement en emportant avec vous votre PowerBook lors d'un long trajet en avion. C'est ainsi que DJ F.R.A.N.K. et AJ Duncan ont réalisé 'Summer Jam', l'un des tubes de l'été qui s'est vendu à 80 000 exemplaires en Belgique !

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IBM premier de la classe

Amok |
Le Customer Respect Group vient de rendre public son rapport sur l'efficacité du service après-vente en ligne des sociétés du secteur de l'informatique. Si Apple n'est pas trop mal placé dans ce rapport, on ne peut pas dire que la société fasse des étincelles puisqu'elle obtient une note de 6.6 (sur 10), bien loin du 9.5 d'IBM et du 8.3 de Dell.

Ce rapport prend en compte 25 points parmi lesquels on trouve le respect de la vie privée du consommateur, des réponses rapides et honnêtes aux questions posées et la facilité de navigation sur les sites des compagnies testées.

Silicon Graphics, Novell, Oracle et Adobe (qui obtiennent respectivement 6.5 pour les deux premiers, 5.7 et 5.3) se retrouvent unis dans la série "peut mieux faire, copie à revoir".

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10 millions pour l'ITMS

Christophe Laporte |
Contrairement à ce que certains disaient, le succès de l'iTunes Music Store ne se dément pas. La boutique musicale d'Apple a dépassé la semaine dernière le cap des 10 millions de morceaux vendus, soit une moyenne de 500 000 titres vendus par semaine. L'histoire retiendra que cette barre symbolique a été franchie le 3 septembre à 11h34. Un internaute a acheté à ce moment-là "Complicated" d'Avril Lavigne.

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Interview Altiris

Christophe Laporte |
Ce n'est pas un secret, Apple cherche à refaire son nid dans le monde de l'entreprise. Depuis l'arrivée de Mac OS X, on assiste d'ailleurs à un véritable raz-de-marée de solutions clés en main pour les professionnels. Bien que le catalogue de logiciels destinés aux professionnels pour Mac OS X ne soit pas encore parfait, il est chaque jour de plus en plus conséquent. Ainsi, de nouvelles sociétés ont-elles fait leur apparition dans le monde d'Apple autrefois si fermé.

C'est le cas d'altiris, jeune société crée en 1998, qui offre une gamme de logiciels très pointue pour faciliter le travail des administrateurs réseaux. L'éditeur de logiciels propose une gamme de solutions complètes, permettant de faire l'inventaire d'un parc d'ordinateurs, de les contrôler à distance, d'installer automatiquement sur une série de PC des logiciels ou des mises à jour ou encore d'effectuer des sauvegardes de données.

Devant l'intérêt de plus en plus prononcé des décideurs informatiques pour ce type de solutions, nous avons interrogé Philippe Charpentier, Ingénieur avant Vente d'Altiris, qui nous explique pourquoi sa société commence à porter ses solutions sur notre plate-forme...

- Présentez-nous tout d'abord Altiris et son secteur d'activité...

- Altiris est une société américaine basée dans l'Utah. On est éditeur de logiciels exclusivement, on a des accords stratégiques avec des grands constructeurs (HP...) ou éditeurs qui distribuent nos produits. On a pas mal de produits qui sont "OEMisés" par ces sociétés. On a également notre suite de produits qui est identifiée par différents axes : Asset Management, Serveur provisionning (gestion des serveurs), Client & Mobile Management, tout ce qui est gestion de terminaux clients du Palm au PC.

En ce qui concerne chacune de ces suites, tout est articulé sous forme de modules, ce qui fait que notre offre est très modulaire et facilement enrichissable. Si un client récupère par exemple toute la partie inventaire sur Mac, il peut rajouter très facilement le module client Windows et Linux par la suite et avoir ces trois modules qui s'intègrent les uns avec les autres pour avoir une vue centralisée et homogène de l'information qu'il a dans sa base.

Pour définir notre secteur d'activité, nous dirons que nous savons gérer tout le cycle de vie des postes et des serveurs. Le cycle de vie commence quand une nouvelle machine arrive et qu'il n'y a rien dessus. À la volée, on va pouvoir déployer un système d'exploitation, rendre cette machine utilisable pour les utilisateurs, redéployer à la volée son profil, ses préférences et ses applications. Puis continuer le cycle de vie de la machine avec les problèmes potentiels que pourrait avoir l'utilisateur, possibilité de lister les incidents, de prendre la main à distance sur le poste, continuer à gérer le poste de travail. Si l'utilisateur a un problème, on lui propose une solution de roll-back. Si le lundi matin, il a un problème avec sa machine alors qu'elle fonctionnait parfaitement le vendredi, on la remet dans l'état où elle était vendredi... Ensuite le cycle continue jusqu'à ce que la machine arrive en fin de vie. On recommence le processus avec une nouvelle machine...

- Quel logiciel fonctionne pour le moment sur Macintosh ?

- Pour l'instant, le seul logiciel disponible sur Macintosh, c'est Inventory. On a plusieurs modules d'inventaires suivant les systèmes d'exploitation utilisés. Ils fonctionnent tous d'une manière similaire. C'est un agent que l'on va mettre sur le système d'exploitation qui va remonter de l'information différentielle. C'est à dire qu'il ne remonte l'information qu'une fois, et qu'il transmet uniquement ensuite les données qui ont changé pour économiser du temps processeur et de la bande passante. Les informations sont remontées en http et le format de données est en XML. Ca permet d'une part de modifier les données simplement en XML et, d'autre part, de s'affranchir de tous les problèmes de routage, firewall et autres...

L'agent est architecturé de plusieurs agents qui vont chacun être spécialisés dans leur tâche : un pour le hard, un pour le soft, un pour tout ce qui est "bios" et un dernier pour tout ce qui est spécifique aux données utilisateurs sur la machine sur laquelle on fait l'inventaire. L'avantage, c'est que les agents sont très spécialisés et font remonter beaucoup d'informations. Lorsque l'on cherche l'inventaire d'une machine, on n’a pas nécessairement besoin de tout. L'idée, c'est de planifier en avance ce que l'on veut remonter comme inventaire. Par exemple, je veux remonter l'inventaire matériel toutes les semaines et l'inventaire logiciel tous les jours. La solution Inventaire s'intègre dans le framework d'Altiris ce qui permet de planifier beaucoup de choses.

Le module d'inventaires fonctionne de manière identique sur tous les OS supportés (Macintosh, Windows, Linux...). Aujourd'hui il n'y a que la partie inventaire qui est disponible sous Mac. Le module logiciels devrait suivre d'ici la fin de l'année. Un administrateur réseau pourra à partir de son poste piloter l'installation de logiciels sur une série d'ordinateurs. C'est déjà possible sous Windows ou sous Unix.

- Pourquoi vous intéréssez-vous au Macintosh ?

- En fait, c'est une demande du marché. Altiris est une société jeune, née en 1998. On est entré au Nasdaq l'année dernière. On a une croissance du CA de 80 % tous les ans. On grossit, on grossit, et quand on grossit comme ça, on se rend compte que sur le marché, il n'y a pas que Windows et Unix.
Il y a des clients qui nous demandent le support de Mac, surtout quand on attaque les grands comptes comme on le fait aujourd'hui. De toute façon, un client est hétérogène quoiqu'il arrive même dans les petits et moyennes entreprises. Pour faire du graphisme, de la vidéo, de la photo, du traitement d'images, le Mac est très largement mis en avant. Donc forcément, il y a un parc non négligeable qui nous intéresse, d'autant que c'est un critère de sélection du produit. Nous essayons de mettre en avant notre logiciel, en disant que nous faisons ce que les autres le font pas. C'est un point différenciateur. Quand on prétend pouvoir gérer tous les systèmes informatiques des entreprises, cela inclut bien évidemment les Macintosh, mais aussi les PocketPC et tous les terminaux qu'on peut imaginer.

- Avez-vous ressenti une véritable demande de la part du marché ?

- Déjà, il faut savoir que les utilisateurs Macintosh sont des férus convaincus. Il est hors de question de remplacer leur Mac par un PC sous Windows. Cela dénote quelque chose : les parts de marché de Macintosh ne vont pas baisser. Avec la sortie de Mac OS X, on note un regain d'intérêt pour cette plate-forme. Il y a un marché qui, a priori, est en croissance et cela intéresse les éditeurs qui veulent gérer l'ensemble du parc, donc forcément cela nous intéresse.

- Quels sont vos projets pour le Macintosh à l'avenir ?

- Sur Windows, ce que l'on sait déjà faire, c'est la gestion des patchs. On a un logiciel qui permet d'automatiser la distribution de patch sur ce type de parcs. Pour un grand compte, le logiciel peut chercher le correctif sur Microsoft et l’appliquer à l'ensemble d'un parc. On prévoit de porter ensuite ce logiciel sur Macintosh. La volonté d'Altiris, c'est de fournir les mêmes logiciels sous Macintosh que sous Windows.

- Allez-vous développer les logiciels pour Mac et PC simultanément ?

- Le but final est d'avoir une suite équivalente sur Mac et PC. Maintenant, je ne vous cache pas que le développement ne se fera pas en même temps. Ce ne sont pas les mêmes plates-formes, cela va se faire par module et l'on va rattraper progressivement notre retard. Il faut progresser par palier et d'augmenter peu à peu notre offre sur Mac.

- Avez-vous des contacts avec Apple ? Est-ce qu'Apple a soutenu votre démarche ?

- Côté français, nous n'avons aucun contact, nous sommes une petite structure. Aux USA, je pense, que oui, ne serait-ce que d'un point de vue technique. On a recruté au développement des spécialistes Macintosh.

-Comment sont gérés vos éléments serveur ?

- La partie serveur s'appuie sur un serveur Web. C'est souvent IIS avec une base SQL derrière. Il y a du développement qui est fait actuellement sous Linux, mais cela concernera d'abord tout ce qui est la partie Déploiement. Il y a une forte demande de nos clients. Les grands comptes s'y mettent de plus en plus. On a un gros développement autour de Linux en ce moment pour répondre à ces besoins. Il faut répondre à tous les besoins du client quel que soit le système d'exploitation qu'il utilise.

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Nouvelle campagne pour l'iPod

Vincent Absous |
Apple USA vient de lancer une nouvelle campagne publicitaire pour vanter les mérites de l'iPod. Visibles sur le bords des routes américaines et dans les pages des magazines, les nouvelles publicités laissent voir une silhouette noire, le baladeur à la main et les écouteurs aux oreilles, se détachant sur un fond uni, à la couleur vive. L'iPod et ses écouteurs, ainsi que son nom et le logo d'Apple, parce qu'ils sont blancs, se distinguent ainsi très distinctement, comme en relief.

[M.À.J. 15:00] Apple a profité de la commercialisation des nouveaux iPod pour mettre à jour la page dédiée à iPod. Celle-ci reflète la nouvelle communication d'Apple dans ce domaine.

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En attendant l'Apple expo

Christophe Laporte |
Apple n'a pas attendu l'Apple expo pour mettre à jour son catalogue. En effet, l'Apple Store, qui a fermé momentanément ses portes en tout début d'après-midi, offre désormais à la vente de nouveaux iPod et de nouveaux iMac.

Pas de révolution, mais des évolutions qui sont les bienvenues pour l'iMac et l'iPod qui devraient être deux des produits phare d'Apple pendant les fêtes de fin d'année. Avec cette mise à jour, le baladeur MP3 de Cupertino dont le succès ne se dément pas au fil des mois, devrait pouvoir résister à la concurrence de plus en plus forte. Seule la taille des disques est affectée : le 10 Go reste en entrée de gamme, le modèle intermédiaire passe à 20 Go (contre 15 Go précédemment), et le modèle haut de gamme atteint les 40 Go (contre 30 Go). Une autre nouveauté, tarifaire cette fois, ravira les acheteurs européens : les trois modèles d’iPod perdent chacun 50 euros, et sont désormais vendus 349, 449, et 549 euros. Pour la Suisse, les prix sont les suivants : CHF 479 (10 Go), CHF 629 (20 Go), CHF 779 (40 Go).

Ceux qui rêvaient de voir un iMac doté d'un processeur G5 devront par contre faire preuve encore d'un peu de patience. La boule d'Apple accueille désormais sur deux des trois modèles un processeur G4 cadencé à 1,25 GHz et une carte NVIDIA GeForce 5200 Fx. Le modèle haut de gamme est désormais pourvu d'un disque dur interne de 160 Go. Notons également qu'Apple a baissé le prix de ses ordinateurs de 10 % environ. Enfin, on notera la généralisation de l'USB 2.0, en série sur tous les iMac G4 et le bus système qui fonctionne à 167 MHz. Voici les configurations disponibles sur l'Apple Store (Belge, France et Suisse)


- iMac 15" - Combo - 1GHz - 256 Mo DDR 333 - 80 Go - NVIDIA GeForce 4Mx 32 Mo - USB 2.0 - Support BlueTooth et Airport Extrême - 1434 euros - CHF 1999
- iMac 17" - SuperDrive - 1,25GHz - 256 Mo DDR 333 - 80 Go - NVIDIA GeForce 5200 Fx 64 Mo - USB 2.0 - Support BlueTooth et Airport Extrême - 2032 euros - CHF 2799
- iMac 17" - SuperDrive + - 1,25GHz - 512 Mo DDR 333 - 160 Go - NVIDIA GeForce 5200 Fx 64 Mo - USB 2.0 - BlueTooth et Airport Extrême intégrés - 2427,88 euros - CHF 3346,99

Grâce à ces annonces, Steve Jobs s'est probablement laissé le champ libre pour parler des sujets qui lui tiennent à coeur en ce moment : les portables et Panther. Vivement la semaine prochaine...

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iMac : montée en puissance

bferran |
L'iPod n'est pas seul a bénéficier d'une mise à jour. L'iMac a aussi été revu. Au programme : montée en puissance, meilleure carte graphique, USB 2.0, et modèle 15 pouces mieux fourni. Voici les trois configurations proposées par Apple Store :
- iMac 15" - 1GHz - 256 Mo DDR 333 - 80 Go - NVIDIA GeForce 4Mx 32 Mo - USB 2.0 - Support BlueTooth et Airport Extrême - 1434 euros
- iMac 17" - 1,25GHz - 256 Mo DDR 333 - 80 Go - NVIDIA GeForce 5200 Fx 64 Mo - USB 2.0 - Support BlueTooth et Airport Extrême - 2032 euros
- iMac 17" - 1,25GHz - 512 Mo DDR 333 - 160 Go - NVIDIA GeForce 5200 Fx 64 Mo - USB 2.0 - BlueTooth et Airport Extrême intégrés - 2427,88 euros

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