Photoshop a beau être un outil très performant, il ne sait pas tout faire. Heureusement, le logiciel d'Adobe a été conçu pour pouvoir être complété par des plug-ins qui améliorent grandement la productivité des professionnels. C'est l'un de ces logiciels, Mask Pro 3.0.1, que nous avons testé pour vous.



Mask Pro est un Plug-in pour Adobe Photoshop 6 à 7. Après son installation, on trouve un sous-menu « Extensis » dans le menu « Sélection » comprenant 2 items, « Mask pro sélection » et « Mask pro convertir en tracé ».



Le premier appelle le module et la sortie se soldera par une sélection dans Photoshop. « Convertir en tracé » appelle une fenêtre de conversion d'une couche ou d'une sélection en tracé. Malheureusement, en l'absence d'une quelconque prévisualisation du tracé à créer, il faut s'y reprendre à plusieurs fois et jongler entre les curseurs de contraction et de tolérance.



L'appel du module Mask Pro peut également se faire depuis le menu « Filtre » au bas duquel un nouveau menu « Extensis » a fait son apparition. L'entrée par ce menu effacera les parties masquées sur le calque sélectionné ou produira un masque si on a pris soin d'en créer un vierge auparavant.

Enfin, ces trois options sont également disponibles par le menu rassemblant tous les modules Extensis directement dans la barre de menus de Photoshop.



Le principe de fonctionnement de Mask Pro est de sélectionner des couleurs à préserver et d'autres à supprimer au moyen de pipettes dédiées. Ces couleurs se retrouvent alors stockées dans deux palettes distinctes. L'une des nouveautés marquantes de cette version 3 est la possibilité de regrouper les couleurs dans des groupes que l'on pourra activer et désactiver d'un simple clic selon la zone de l'image sur laquelle on travaille. Un voyant allumé signale les groupes actifs.



Pour effacer les couleurs indésirables, on utilise pinceaux, baguettes magiques et autres pots de peinture classiques de l'environnement Photoshop à ceci près qu'à l'instar des couleurs, il en existe de deux sortes selon qu'ils tiennent compte ou pas des couleurs sélectionnées pour opérer.

Parmi les nouveautés de Mask pro 3, les surligneurs vont faciliter la suppression des couleurs dans les zones à supprimer ou conserver entièrement. Ces nouveaux outils réglables en épaisseur vous permettent de délimiter rapidement des zones à supprimer ou conserver sans tenir compte des couleurs de sélection. Un appui sur la touche « Commande » les transforme en pot de peinture pour aller encore plus vite. Un curseur dans le bas de la fenêtre règle l'opacité de 0 % à 100 %, à 0 % les zones sont toujours actives, mais on ne les voit plus.







Un outil « Ciseau » fait également son apparition dans cette version. Il permet de retirer ou ajouter un contour paramétrable au masque. Tant qu'on n’a pas lâché le bouton de la souris, on peut repasser sur la même zone sans crainte de voir un nouveau contour retiré. Cet outil est décidément fort pratique à l'usage.








Toujours au registre des nouveautés, l'outil « Flou » symbolisé par une goutte atténue les bords et permet de fondre les parties masquées dans l'arrière-plan. Ce dernier justement devient dans cette version enfin visible pendant le masquage d'un simple clic sur le bouton masque composite à l'extrême droite de la barre des modes de masque sur le bord de la fenêtre principale. On peut ainsi constater de visu le résultat du masquage dans son contexte. Pour les corrections fines de contour et les fondus à la goutte, c'est un vrai régal. On repère aussi immédiatement les remontées de couleurs de l'ancien fond.

Un autre nouveau mode de masque fait son apparition en plus du mode composite, c'est le mode Original. Grâce à lui, on peut revoir l'image originale avant modifications et repérer ainsi des détails effacés par erreur par exemple. Les autres modes demeurent inchangés.

En conclusion, Mask Pro est un très bon outil de masquage, riche et performant pour peu qu'on fasse les bons choix. En effet, le logiciel ne donnera toute sa mesure qu'entre des mains expérimentées et nécessite plus que jamais un peu de temps pour une bonne prise en main.
Les nouveaux outils apportent une réelle plus-value au module qui n'est donc pas une simple réécriture pour Mac OSX comme on peut en voir par ailleurs. Il reste néanmoins quelques lacunes au niveau de la gestion des formes vectorielles, dont l'absence de prévisualisation lors de la transformation en tracé et la gestion de la plume qui reste aussi moins intuitive que les autres outils. On aimerait pouvoir gérer les masques vectoriels directement dans le module.

Project:Omega publie aujourd'hui la première partie d'une série d'articles, écrits par Renaud Préat, brillant contributeur belge, qui expliquent les rouages de la communication entre objets au sein d'une application ou entre applications différentes. Développement - Les notifications en Objective-C - Partie 1 : Les notifications sont un mécanisme qui permet d'informer certains d'objets qu'un événement a eu lieu, que les propriétés d'un objet ont été modifiées, au sein d'une même application ou entre différentes applications. La première partie de cet article, s'adressant à un public novice, sert à comprendre comment et quand les utiliser, ainsi que leurs limites.

iKey, ex-Youpi Key, vient d'être mis à jour [1.0.4 - 1,9 Mo - Fr]. Au passage, l'utilitaire d'automatisation est débarrassé de quelques bogues et amélioré sur certains points (ajout d'un article permettant d'imprimer la sélection, révision de l'aide, ajout de nouveaux exemples). De nouvelles fonctionnalités font également leur apparition : ajouts de l'action "Attendre que l'application active ait une fenêtre" et de l'action "Lancer Préférences Système".

Le nom Andrew Andrew désigne deux individus qui jouent aux jumeaux, habillés d'une blouse blanche de chimiste, une cravate noire sévère leur serrant le col, les yeux cachés derrière d'épaisses lunettes. Pour autant, cette apparence cache deux DJ's branchés. C'est eux qui apprennent en ce moment aux noctambules new-yorkais à mixer. Pour cela, ils se servent de deux iPod.

Encore un article sur la version Windows d'iTunes Music Store. Cette fois, il émane de l'Associated Press. Son auteur, Matthew Fordahl, revient sur la facilité d'utilisation, insiste sur la légalité retrouvée, et surtout sur le fait que désormais 95 % des utilisateurs d'ordinateurs y ont accès. Il rappelle également que l'iPod permet d'emporter avec soi la musique achetée. "iTunes [Music Store] ne peut être battu", écrit-il.

Après avoir trousse de voyage où ranger non seulement le baladeur d'Apple mais aussi l'ensemble des accessoires qui l'accompagnent (le dock, l'adaptateur secteur, la télécommande, le câble FireWire, les écouteurs). Chaque élément est logé dans une poche particulière, ce qui permet que l'un ou l'autre ne vienne rayer malencontreusement l'iPod. L'iPod Gear Pouch est vendu 35 $ et est disponible en quatre coloris.

À en croire le Billboard Bulletin (enregistrement payant obligatoire), la publication professionnelle qui n'a rien d'un site de rumeurs, Apple prépare iTunes Producer, un logiciel destiné à aider les maisons de disques à préparer et à soumettre leur contenu au catalogue de l'iTunes Music Store. Gratuit, le logiciel pourrait être disponible, en version bêta, dès la fin de ce mois. Il permettrait ainsi d'encoder la musique, de préparer la fiche signalétique (album, chanson, jaquette, etc.), avant d'envoyer le tout vers les serveurs d'Apple. Toujours selon le Billboard Bulletin, Apple aurait également conclu un accord avec Google, accord selon lequel le moteur de recherche offrira un tarif publicitaire réduit aux labels qui feraient la promotion de l'iTMS en même temps qu'ils vanteraient leurs poulains. Un tel dispositif viendrait ainsi compléter l'iTunes Link Maker qui permet de très facilement faire des liens vers les produits du disquaire virtuel.