Test de l'iMac 27" « Thunderbolt » (CTO Core i7 Quad 3,4 GHz avec SSD 256 Go, mi-2011)

Anthony Nelzin-Santos |
Processeurs Sandy Bridge, connectique Thunderbolt, SSD, ce sont des éléments que l'on commence à bien connaître, ensemble ou séparément, sur de nombreux Mac. Mettez le tout dans un seul et même iMac, et vous obtenez une véritable bombe.

20062011_iMac-27-Thunderbolt-2011_IMG_4079
© AZ


Un iMac au prix d'un Mac Pro
La configuration que nous testons aujourd'hui représente le haut de la gamme iMac : écran 27" bien sûr, 4 Go de mémoire vive DDR3 à 1 333 MHz, un processeur Intel Core i7 quadricœur à 3,4 GHz, une carte graphique AMD Radeon HD 6970M avec 1 Go de mémoire GDDR5, un disque dur 1 To et un SSD 256 Go. On pourrait évidemment mettre plus de RAM, pousser le disque à 2 To ou la carte graphique à 2 Go, mais en l'état, cette configuration coûte la bagatelle de 2 699 € — 300 € de plus que le Mac Pro « de base ».

Cet iMac est d'abord… oui, un iMac. Les problèmes restent donc les mêmes : un écran parfois un peu trop brillant et un peu trop lumineux, un lecteur de cartes SD un peu trop près du lecteur SuperDrive… Cette nouvelle génération offre cependant de nombreuses petites nouveautés : la webcam est désormais capable de filmer en HD 720p (même si la qualité est plus que moyenne) alors que les ports USB 2.0 (4) et FireWire 800 (1) sont rejoints par des ports Thunderbolt (2). De même, les disques sont désormais reliés en SATA III (débit théorique maximal de 6 Gb/s, le SuperDrive reste en SATA II), et la carte WiFi est reliée à trois antennes, ce qui permet à l'iMac 2011 d'utiliser le WiFi 802.11n trois canaux à 450 Mb/s.

20062011_iMac-27-Thunderbolt-2011_IMG_4080

La présence de deux ports Thunderbolt permet de relier l'iMac 27" à deux écrans externes. Vous n'aurez aucun problème à relier deux Apple Cinema Display 27" : utilisez deux câbles mini-DisplayPort (même connectique que le Thunderbolt), et tout fonctionnera… sur 81 pouces de diagonale. Si vous utilisez un écran d'une autre marque ou un ancien écran Apple, il vous faudra utiliser un adaptateur : vos adaptateurs VGA, DVI, HDMI vers mini-DisplayPort fonctionnent parfaitement. Le seul problème viendra des écrans 30" : vous devrez utiliser un adaptateur dual-link, un boîtier actif coûtant une centaine d'euros.



Pour le reste, les ports Thunderbolt servent à bien peu : les périphériques utilisant cette nouvelle norme, quoique prometteurs, n'arriveront pas avant le milieu de l'été. Destinés avant tout aux professionnels, leur coût promet d'être prohibitif et leurs usages limités : pour le moment, l'intérêt de ce nouveau connecteur reste limité pour le grand public.

Ce n'est pas le cas des autres chevaux de course de ce nouvel iMac. Le processeur est un Intel Core i7-2600, le plus rapide des Core i7 de deuxième génération. Il dispose de quatre cœurs physiques, reconnus comme huit cœurs logiques (HyperThreading) cadencés à 3,4 GHz. Lorsqu'une application n'utilise pas tous les cœurs mais a besoin de puissance, le processeur peut désactiver des cœurs pour augmenter dynamiquement la fréquence des cœurs restants : il peut ainsi monter jusqu'à 3,8 GHz sur un cœur (Turbo Boost). Le tout avec une enveloppe thermique raisonnable dans cette gamme, 95 W (gravure 32 nm).

Intel Z68

Intel fournit aussi le chipset de cet iMac, un Series 6 Z68, le remplaçant du P67 qui avait connu de nombreux problèmes au lancement de la plateforme Sandy Bridge (dégradation des performances du SATA). Ce chipset gère Smart Response, une nouvelle technologie permettant d'utiliser un SSD (jusqu'à 64 Go) comme cache pour le disque dur, à la manière des disques hybrides comme le Seagate Momentus XT. Apple ne fait pas usage de cette fonction : le SSD et le disque dur de cet iMac apparaissent comme deux volumes complètement distincts. Ils sont tous deux reliés en SATA III, ce qui leur permet de s'exprimer à leur plein potentiel.

…pour les performances d'un Mac Pro ?
Ce plein potentiel, pour le SSD, c'est 240 Mb/s. de débit maximal, 160 Mb/s. de débit moyen. C'est bien sans être fulgurant, d'autant que le disque dur de 1 To fourni par Apple (un Western Digital Caviar Black 7200 TPM SATA III à 32 Mo de cache) s'en tire très bien. La grande densité de ses plateaux, son interface SATA III et son cache de 32 Mo lui permettent d'atteindre des débits autour des 120 Mb/s, avec une belle linéarité sur les gros fichiers.

Globalement plus performant, le SSD, disposé dans un logement derrière le SuperDrive, prend l'avantage sur deux domaines : ses temps d'accès et son niveau sonore. Rapide, rapide, rapide, tels sont les trois adjectifs pour décrire ce SSD : solution miracle sur le MacBook Air et les MacBook Pro, il l'est aussi sur l'iMac. Alors que le disque dur gratte et est parfois responsable d'une certaine latence, le SSD permet de démarrer la machine en une poignée de secondes (12 à 14), d'oublier la roue colorée de la mort, et de fluidifier de manière générale les opérations, le tout dans un silence royal accentué par la présence discrète des ventilateurs.

Capture%20d%E2%80%99e%CC%81cran%202011-06-17%20a%CC%80%2015.15.55
En plein encodage vidéo.


C'est en effet une des grandes surprises de ce modèle : malgré le processeur performant et le climat estival de la période de test, la température de cet iMac Sandy Bridge est restée à des niveaux étonnamment bas. La plupart du temps, la température processeur reste autour des 30 à 35° : le système de ventilation est efficace et les points d'extraction en haut de l'écran et derrière le pied, autrefois brûlants, sont désormais tièdes. Lors d'une exportation Aperture, la température monte à 48°. Un encodage vidéo où les quatre cœurs sont à 100 % pendant 25 minutes ? 55°. Les ventilateurs gardent en permanence le sang-froid de la machine sans pour autant se faire entendre, un contraste saisissant avec la précédente génération (lire : Test de l'iMac 27" Core i5 3,6 GHz) et certains MacBook Pro Sandy Bridge (lire : Test du MacBook Pro 15" Core i7 2 GHz « Thunderbolt » (début 2011)).

Cette discrétion peine à masquer les performances brutes de cet iMac Core i7 : elles atteignent voire dépassent celles de l'essentiel de la gamme Mac Pro. Ce n'est pas la première fois que l'on voit le haut de la gamme iMac rivaliser avec les Mac Pro voire les dépasser, mais c'est la première fois que la différence est si grande et si marquée.

bench-recap.numbers
Les iMac 2011 comparés aux iMac et Mac Pro 2010. Cliquez pour agrandir.


La distinction est claire : sur les tâches courantes, cet iMac Core i7 écrase l'intégralité de la Mac Pro. Il enfonce non seulement son rival direct, le Mac Pro Westmere 2,4 GHz à huit cœurs (3 400 €), mais s'offre même le luxe de rendre minable le Mac Pro Westmere 2,93 GHz douze cœurs, une machine à… 8 300 € ! On ne peut même pas dire que c'est son SSD qui l'avantage : le Mac Pro à douze cœurs a été testé avec son excellent SSD Toshiba 512 Go. C'est donc l'architecture Sandy Bridge qui fait des merveilles, sur les compressions dans le Finder ou les exportations GarageBand ou Aperture. Match quasi-nul sur l'exportation musicale avec XLD.

bench-recap.numbers
Un test comme Cinebench montre que les Mac Pro Westmere gardent l'avantage en puissance brute, l'iMac étant au-dessus des Mac Pro Nehalem. L'ensemble de la gamme iMac fait mieux que la gamme Mac Pro côté graphismes, une habitude désormais.


Même dans le domaine de la vidéo, où le Mac Pro est traditionnellement à l'aise, les processeurs Westmere marquent le pas : on retrouve la balance fine entre la fréquence brute et le nombre de cœurs, qui détermine directement les performances selon les applications. Handrake, par exemple, ne reconnaît que les cœurs logiques : cet iMac se bat donc avec quatre cœurs contre huit cœurs pour le Mac Pro Westmere à 3 400 €. Mais Handbrake ne tire pas parti de toutes les subtilités des processeurs Xeon, alors que la fréquence brute est un élément clef de son fonctionnement : l'iMac, avec deux fois moins de cœurs mais un bon gigahertz de plus que le Mac Pro, domine avec insolence. Il ne peut par contre rien face aux douze cœurs du Mac Pro à 8 300 € : l'écart de fréquence est moins important et largement compensé par l'utilisation de trois fois plus de cœurs.

Les différences très marquées dans les tests Photoshop confirment les profils très différents de ces machines. Le test DHT utilise beaucoup de filtres anciens, si bien que les différences sont gommées au-delà de cinq cœurs (réels et virtuels) : l'iMac prend donc la main avec sa fréquence supérieure. Le test RAT, lui, est beaucoup plus réaliste et simule la retouche d'une photo avec des filtres plus récents : même si Photoshop atteint un plafond de performances avec les configurations massivement multicœurs, les Mac Pro Westmere sont cette fois devant.

20062011_iMac-27-Thunderbolt-2011_IMG_4086

Un bel iMac à 2 700 € peut-il mettre au placard des Mac Pro largement plus chers ? Dans la plupart des domaines, oui, et largement : cela montre, encore une fois, l'efficacité de la plateforme Sandy Bridge d'Intel. L'indépendant ayant besoin de puissance pourra donc se tourner vers cet iMac, qui est non seulement l'iMac le plus puissant jamais conçu par Apple, mais est aussi un des Mac les plus puissants de la gamme actuelle. La différence entre ces deux gammes ne se fait donc plus sur la puissance brute, mais sur le concept : l'iMac reste un tout-en-un, contrairement au Mac Pro, qui garde toute sa pertinence par son évolutivité, gage d'une durabilité propre à amortir l'investissement conséquent que représentent les plus grosses configurations. Il reste aussi la machine par excellence de certaines niches, ici pour ses capacités de calcul, là pour la possibilité de lui adjoindre des cartes d'extension.

20062011_iMac-27-Thunderbolt-2011_IMG_4094

Reste que l'iMac s'impose plus que jamais comme l'ordinateur à tout faire d'Apple.
avatar pim | 
Fichtre ! 9/10, voilà une note que j'ai rarement vu sur MacGé ! Ça tue ! :-)
avatar Hasgarn | 
Une p*tain de bête de course… Si je n'avais pas eu mon MBP, c'est celui là que j'aurai pris. Ça présage du très bon pour Ivy Bridge et ses transistors. La marche sera peut être moins haute, mais en plus d'un design certainement revu, le prochain iMac risque d'être très fort. En l'état, celui ci semble déchirer.
avatar MachX (non vérifié) | 
Attention Anthony de ne pas bouffer le futur article de Florian sur son appel à témoins concernant le Mac Pro.
avatar Sebastien_annonce | 
Voilà le genre de test chez Macgé qui manque vraiment d'objectivité... Aucun des tests effectués, à part Cinebench ne justifie l'achat d'un MacPro. Cet iMac est une bonne machine ultra-rapide qui est parfaite pour une certaine gamme de logiciel, mais pas pour d'autres. Pour résumé, je vous envoie le lien de votre "partenaire" qui a une autre avis et qui, curieusement, n'a pas encore été publié par MacGénération... http://www.barefeats.com/imac11f.html
avatar LaurentR | 
L'article est intéressant, mais la comparaison de prix est erronée. Vous avez oublié de rajouter les 1099,00 € de l'écran 27" au prix du Mac Pro de base, ce qui l"amène à 3498,00 € pour l'ensemble au lieu de 2699,00 € pour l'Imac.
avatar Anthony Nelzin-Santos | 
@Sebastien_annonce : nié ? On a, au final, des conclusions très similaires de celles de Barefeats : le Mac Pro reste le Mac le plus puissant. Pour les tâches quotidiennes cependant, et même pour tout une gamme de tâches plus particulières, la fréquence brute (point fort de l'iMac) l'emporte sur le nombre de cœurs (point fort du Mac Pro). Barefeats a testé le Mac Pro 3,33, on s'est arrêté au 2,93 : même fréquence, deux fois plus de cœurs, forcément sur Handbrake le Mac Pro est plus rapide que l'iMac équivalent (le manque d'objectivité, c'est de ne pas tout lire en détail). Nul doute que les prochains Mac Pro reprendront l'avantage, mais qu'importe : les critères de choix d'il y a deux ans n'ont plus lieu, il faut maintenant penser optimisation des applications (multicœur, notamment pour le traitement en masse), évolutivité de la machine, et non plus fiche technique mise à plat puisque les niveaux globaux de perfs sont assez similaires sur de nombreux segments. @Laurent_R : oui, j'hésite toujours. Je me dis qu'un client Mac Pro a déjà un ou deux écrans qui traînent.
avatar frizouille | 
Il est ridicule de comparé un Apple iMac avec un Apple MacPro. C'est comme comparé la Twingo avec le Scénic. 2 produits différents pour 2 usages différents. Il me parait bien plus pertinent de comparé les différents modèles au sein de la gamme iMac i7 contre i5 par exemple pour mesurer l'intérêt du surcoût de l'option. Pour ma réflexion d'achat personnel, une comparaison entre un modèle 27" i7 1To et un autre 27" i7 1To + SSD afin de mettre en évidence le gain apporté par une option à 600€. Même pour la clientèle "aisé" d'Apple, il est légitime de ce poser cette question.
avatar Amonchakai | 
@frizouille: ben justement, je trouve pas cela ridicule. Car c'est un peu la question de a quel besoin correspond un macpro qui se pose ici. Vu que l'iMac fait tout aussi bien. Faut arrêter de croire que les professionnel ont des ressources illimités. Dans ma boite, on travaille dans la vidéo. Et bien on se pose ce genre de questions car on a des budgets a respecter. Il ne s'agit pas de prendre le macpro car il y a marqué pro dessus. On en a quand même qq un, car on voulait une carte d'acquisition vidéo. Mais si c’était juste pour la puissance de calcul, justement on aurai surement pas fait ce choix. Je me demande vraiment combien d'utilisateur de macpro on vraiment besoin d'un macpro... Genre tout les gens qui font de l'image, retouche photo, 3D, traitement video passez votre chemin et achetez des choses moins cher! C'est ce que montre ce test
avatar Wochouu | 
@ Anthony et la rédaction Je suis assez sceptique et ne suis pas du tout convaincu par l'utilisation de Cinebench 11 pour tester les performances brutes de la carte graphique. Par exemple, on voit sur vos tests qu'une Radeon 5870 (haut de gamme 2010) fait un score de 32.38, à peine mieux qu'une Radeon 5750 (milieu de gamme 2010) qui score 31.96. Pourtant, la puissance brute (ainsi que le gain de fps dans les jeux) de la 5870 est au moins 50% supérieure à celle de la 5750. On peut aussi soulever le fait que la 5770 réalise un score de 30.08, moins que le 31.96 de la 5750 alors que la 5770 est plus puissante que la 5750. Vous avez bien compris, je remets en question la pertinence de ce bench pour évaluer les performances graphiques des ordinateurs que vous testez.
avatar Ugooo | 
2 questions betes: Finalement, quel usage pour un macpro? Quel est le probleme d'un superdrive et d'un lecteur SD trop pres?? :s
avatar eled | 
@Kinky : Hoho. C'est tout ce que ça m'inspire. À part pour ton commentaire sur les écrans qui est lui très vrai, je résume ce que tu reproches à l'iMac : - "Trop cher" : mais néanmoins nettement moins cher qu'un bon MacPro, si tu considères que claquer 2600 c'est la même que claquer 4000+, c'est ton problème ; - "Pas la carrure de ses prétentions" : il est puissant, compact et design, il se targue d'être puissant, compact et design, ça lack où ? ; - "Inconfort sans égal" : plaît-il ? l'écran brillant peut-être ? tu veux faire des rotations à 180° ? entièrement subjectif ; - "Actuellement sur Mac Mini" : Ok, donc là tu perds toute crédibilité, pour avoir ne serait-ce que tenté un mac mini en attendant des performances ; - "customisable" : va falloir que tu changes de crémerie là, Apple n'a jamais fait dans le customisable et ça ne semble pas être son objectif ; - "évolutif" : l'évolutivité des composants est à chaque fois toute relative, mais si tu as des besoins graphiques assez lourds ou besoin de cartes d'acquisition précises (ce dont je doute, pour avoir pris un mac mini), effectivement un Mac Pro est plus le produit qu'il faut ; - "quand l'USB3 sera de la partie" : sans commentaire ;-) Bref, pour moi ces iMac remplissent très bien leur niche, ils ont bien sûr des défauts (généralement inhérents à leur forme), mais globalement ce sont de très bonnes machines pour un encombrement minimum et de beaux objets. C'est à peu près tout ce qu'ils prétendent être, donc je m'avoue entièrement satisfait.
avatar Tesh (non vérifié) | 
Tous ça c'est bien, mais quand est ce qu'on aura aussi les TEST EN STUDIO AUDIO avec des interfaces comme Ensemble d'apogée ? Sur macgeneration nous n'avons droit qu'aux test vidéo et de compression... D'ailleurs, un vrai test de machine doit traiter de tout (plein régime sur une longue durée, vidéo, audio, jeux, température, bruit,...) En studio on souhaite avoir une machine qui reste en enregistrement 6h durant, sans qu'un message survienne indiquant qu'il y a saturation de la machine. Et sans que les disque dur et ventilo nous parasitent avec leur bruit ou meme leur vibrations Après il y a toujours ceux qui viennent se plaindre avec les mac mini, les mac pro,... Et on peu très bien brancher un second écran correct si il faut !
avatar Anthony Nelzin-Santos | 
@Wochouu : ce n'est pas le seul test que nous utilisons pour ça, c'es un des tests. Je m'en suis servi ici parce qu'il était représentatif de ce que je disais. C'est d'ailleurs très drôle, parce que les deux ou trois tests graphiques montrent bien les segments de gamme : l'iMac a une carte qui se débrouille en jeu, celle du Mac Pro se distingue par ses performances GPGPU. @Tesh : on teste la machine en usage normal pendant 48 à 72h, en pleine charge pendant environ 4 à 6 heures. Ce que tu demandes (bruit et vibrations) est _clairement indiqué_ (comme toujours) : cet iMac SSD chauffe peu même pendant les charges les plus élevées avec une température ambiante haute, les ventilateurs sont discrets et l'ensemble est d'un silence remarquable. SSD = pas de vibrations.
avatar Alias | 
Je constate que mon iMac i5 27" 2,7GHz n'est pas vraiment largué par ce haut de gamme. Un bon choix qualités / performances / prix ;-)
avatar Wochouu | 
@ Anthony Ce que tu dis concernant les domaines de performance des cartes graphiques des iMac et Mac Pro n'a pas de sens. Les cartes graphiques du Mac Pro sont des cartes grand public (gamme Radeon chez AMD), comme celles de l'iMac. Le Mac Pro n'intègre pas de cartes professionnelles (gamme FirePro chez AMD). Il ne devrait donc pas y avoir la différence que tu mentionnes. Je continue donc de remettre vos tests en question.
avatar boulawan37 | 
Bonsoir à tous, Juste un petit HS mais qu'elle est log que l'on voit dans la barre de menu permettant apparemment de suivre l'utilisation CPU ? Merci et bonne soirée à tous
avatar Anthony Nelzin-Santos | 
@boulawan37 : iStat Menus.
avatar boulawan37 | 
Merci Anthony !!!
avatar Anonyme (non vérifié) | 
Bonjour Après avoir trainé mon PowerMac 400 pendant une bonne dizaine d'années, j'ai acheté un iMac 2,8Ghz avec lequel je travaille sur Cubase6 avec entière satisfaction, mais je sens que je vais être un peu juste dans quelques temps en en scrutant mon cpu car les voix et leur traitement de mon projet actuel ne sont pas encore mises alors que ce cpu devient de plus en plus "leds"; À l'achat de mes Macs je lis souvent les rapports de tests et pour le 2,8Ghz je m'étais déjà aperçu de cette puissance des iMac qui insultait souvent les Macs Pros. Mon 2,8Ghz était aussi puissant que le moyenne gamme Mac pro, voire le dépassait sur certains test!! Donc on ne peut rien reprocher à ces machine qui encore aujourd'hui suscite mon admiration de voir tant de puissance dans une "valise diplomatique". Si je donne mon avis aujourd'hui c'est parque je vais passez à iMac 27"/3,4Ghz/i7, car si il y a un truc qui m'énerve; c'est des cpu qui plante quand vous en avez besoin! Et j'ai encore constaté que cette machine est encore un monstre qui dégage avec arrogance tous les macs Pros de début de gamme. Ma conclusion c'est que les iMacs sont faits pour les gens qui veulent des iMacs (tout dans la même boîte), et les MacsPros pour les Pros qui n'ont pas le choix, et ne peuvent pas se permettre de dire à leur clients >Je ne peut pas finir votre projet car je manque de puissance < Un pro est un Pro!! Moi je suis à la Sacem, donc, un amateur averti et exigeant qui se paiera un Mac pro de très haut de gamme, seulement si j'ai les moyens de me faire ce petit caprice,car acheter un Mac Pro de début de gamme est un non sens car on se rend vite compte que l'on va dépenser beaucoup plus d'argent à le monter en gamme au fil du temps que de reculer pour mieux sauter ; je ne vois pas l'intérêt d'acheter ce genre de machine juste pour la frime, car un pro peu parfaitement travailler avec un Mac Mini si c'est la configuration qui lui faut pour mener ses projets à bout..

CONNEXION UTILISATEUR