Starck est de retour chez LaCie, il a dessiné pour le fabricant deux nouvelles gammes de disques durs, la version mobile testée ici et un modèle de bureau format 3,5" le "Desktop". Le Starck Mobile existe en deux capacités de 320 et 500 Go (nous avons utilisé la seconde), avec une unique prise USB 2. Qui dit Starck dit une forme de boîtier qui va s'affranchir d'une certaine banalité. Le designer a expliqué dans une vidéo la raison de ce mélange de façade façon "magma" et de coque protectrice très dure.
Après, on peut ne pas aimer. Le disque en tout cas rend une impression de franche solidité, on croirait à la limite tenir une pierre en main et l'aluminium d'un MacBook Pro ferait presque plastique à côté. Ce Starck prend le contre-pied d'un autre modèle de LaCie, le Rugged qui, lui, est ceinturé d'une bande de caoutchouc pour limiter les dégâts lors d'une chute. Sur le Starck aucune ambition de ce côté-là, s'il était une voiture, il y aurait de quoi se faire du mouron pour ses occupants en cas de choc. Un sentiment de dureté renforcée par un toucher légèrement rugueux et surtout un poids plus élevé que la normale. Cela se paie sur la balance. Avec ses 355 grammes, ce disque ne se fait pas oublier dans une poche, même grande. C'est par exemple deux fois et demie le poids d'un iPhone.
L'arrière du périphérique comprend le témoin d'activité du disque, le câble USB intégré qui vient s'enrouler et se fixer et enfin une petite prise (câble fourni) si jamais l'ordinateur hôte n'avait pas la puissance nécessaire pour alimenter le périphérique via son seul port USB.
Le fait que le câble de connexion soit attaché au disque (et inamovible) a l'avantage d'éviter qu'on l'oublie. Cependant, il est court, à peine 10 cm, et rigide. Pour le brancher sur un portable, aucun problème, mais au dos d'un iMac ou d'un écran, la longueur du câble est vraiment trop juste, sauf à poser le disque dur sur sa face avant… Toutefois ce câble peut se détacher, il faut y aller doucement et on se retrouve avec une prise mini-USB.
Au premier branchement sur le Mac un assistant se déclenche automatiquement pour éventuellement donner la possibilité de partitionner le disque et choisir pour quelles plateformes le formater. L'opération terminée, l'utilitaire dépose sur le disque l'installeur de Intego Backup Assistant.
Les tests de lecture écriture montrent des performances dans une bonne moyenne, ce disque dur se tient correctement, mais sans faire d'excès. Pour donner un exemple concret, la copie sur le disque d'un dossier de 12 films (6,7 Go) a pris environ 3 minutes trente.
Le prix public est de 140 € mais il oscille entre 109 € et 115 € sur le terrain (pour ne citer que les tarifs de l'Apple Store et de la Fnac). Ces tarifs ne sont pas outranciers au vu de cette capacité de 500 Go mais on trouvera facilement des concurrents entre 90 et 100 €. Et pour le prix du LaCie, d'autres vendent des modèles à triple interface USB/FireWire400/800. Mais on paye aussi pour une marque et une griffe. Le choix de ce modèle plutôt qu'un autre se fera probablement pour une bonne partie au vu de son look et de son patronyme… À noter qu'en même temps LaCie a sorti une autre gamme, plus légère, les "Petit Hard Disk", 241 g, avec les mêmes capacités et très légèrement moins chers.
Après, on peut ne pas aimer. Le disque en tout cas rend une impression de franche solidité, on croirait à la limite tenir une pierre en main et l'aluminium d'un MacBook Pro ferait presque plastique à côté. Ce Starck prend le contre-pied d'un autre modèle de LaCie, le Rugged qui, lui, est ceinturé d'une bande de caoutchouc pour limiter les dégâts lors d'une chute. Sur le Starck aucune ambition de ce côté-là, s'il était une voiture, il y aurait de quoi se faire du mouron pour ses occupants en cas de choc. Un sentiment de dureté renforcée par un toucher légèrement rugueux et surtout un poids plus élevé que la normale. Cela se paie sur la balance. Avec ses 355 grammes, ce disque ne se fait pas oublier dans une poche, même grande. C'est par exemple deux fois et demie le poids d'un iPhone.
L'arrière du périphérique comprend le témoin d'activité du disque, le câble USB intégré qui vient s'enrouler et se fixer et enfin une petite prise (câble fourni) si jamais l'ordinateur hôte n'avait pas la puissance nécessaire pour alimenter le périphérique via son seul port USB.
Le fait que le câble de connexion soit attaché au disque (et inamovible) a l'avantage d'éviter qu'on l'oublie. Cependant, il est court, à peine 10 cm, et rigide. Pour le brancher sur un portable, aucun problème, mais au dos d'un iMac ou d'un écran, la longueur du câble est vraiment trop juste, sauf à poser le disque dur sur sa face avant… Toutefois ce câble peut se détacher, il faut y aller doucement et on se retrouve avec une prise mini-USB.
Au premier branchement sur le Mac un assistant se déclenche automatiquement pour éventuellement donner la possibilité de partitionner le disque et choisir pour quelles plateformes le formater. L'opération terminée, l'utilitaire dépose sur le disque l'installeur de Intego Backup Assistant.
Les tests de lecture écriture montrent des performances dans une bonne moyenne, ce disque dur se tient correctement, mais sans faire d'excès. Pour donner un exemple concret, la copie sur le disque d'un dossier de 12 films (6,7 Go) a pris environ 3 minutes trente.
Le prix public est de 140 € mais il oscille entre 109 € et 115 € sur le terrain (pour ne citer que les tarifs de l'Apple Store et de la Fnac). Ces tarifs ne sont pas outranciers au vu de cette capacité de 500 Go mais on trouvera facilement des concurrents entre 90 et 100 €. Et pour le prix du LaCie, d'autres vendent des modèles à triple interface USB/FireWire400/800. Mais on paye aussi pour une marque et une griffe. Le choix de ce modèle plutôt qu'un autre se fera probablement pour une bonne partie au vu de son look et de son patronyme… À noter qu'en même temps LaCie a sorti une autre gamme, plus légère, les "Petit Hard Disk", 241 g, avec les mêmes capacités et très légèrement moins chers.
