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Incogni : la vie privée, enfin prise au sérieux (par quelqu’un d’autre que vous) 📍

Article sponsorisé

lundi 21 avril 2025 à 19:00 • 0

Services

Il y a encore quelques années, la protection des données personnelles se résumait, au mieux, à une extension de navigateur pour bloquer les cookies. Puis le Règlement général sur la protection des données (RGPD) est arrivé en Europe, suivi du CCPA californien, et la question a changé de ton. Elle s’est juridicisée. Soudain, nous avions des droits.... Mais entre le droit et son application concrète, un gouffre persiste. C’est dans cet interstice qu’Incogni s’est glissé.

Incogni, développé par Surfshark, n’a pas pour ambition de vous « protéger » de manière vague : sa mission est claire, précise et légalement fondée.

Il s’agit d’un agent automatisé qui agit en votre nom pour exercer votre droit à l’effacement auprès des courtiers de données (data brokers). Et là, on ne parle pas d’un coup d’éponge symbolique sur les cookies marketing : on vise les bases de données profondes, celles qui alimente les moteurs de scoring, les profils publicitaires avancés, les reventes croisées entre entreprises peu scrupuleuses.

Un fonctionnement sur mandat

Le service fonctionne sur mandat : une fois votre identité vérifiée, Incogni devient votre représentant officiel et envoie des demandes de suppression de données aux entreprises listées dans ses bases.

Ces demandes sont juridiquement contraignantes dans les pays couverts par le RGPD ou des lois équivalentes. En d’autres termes : elles ne relèvent pas d’un opt-out de confort, mais d’une obligation légale.

Une mécanique bien huilée… et plus intelligente qu’il n’y paraît

L’interface est dépouillée, volontairement. Mais derrière cette apparente simplicité se cache un moteur algorithmique qui cartographie en permanence l’écosystème mondial des courtiers de données. Incogni classe ces acteurs par juridiction, profil de risque, type de données collectées et réactivité historique face aux requêtes. Autrement dit, chaque demande est priorisée en fonction d’un indice d’impact potentiel.

En pratique, cela signifie que le service ne se contente pas d’une stratégie linéaire : il optimise vos chances de voir vos données supprimées là où elles posent le plus problème. Le suivi est granulaire : chaque entreprise contactée est affichée avec son statut (demande envoyée, en attente, acceptée, refusée, hors juridiction…), et les progrès sont consolidés dans un rapport de suppression.

Jusqu’où peut-on reprendre le contrôle ?

La question est cruciale : peut-on réellement purger sa présence numérique en utilisant un outil comme Incogni ? Réponse courte : non. Réponse longue : partiellement, mais de manière significative.

Pourquoi ? Parce que certains courtiers opèrent en dehors de toute juridiction protectrice. D’autres, plus pervers, masquent leur existence ou se déguisent sous des dizaines de marques. Et puis il y a les plateformes elles-mêmes (Google, Meta, Amazon…), dont les modèles économiques reposent sur la collecte — celles-là, Incogni ne les touche pas directement.

Mais là où l’outil excelle, c’est dans l’assainissement du marché gris : les courtiers semi-légaux, les revendeurs de listes marketing, les agrégateurs de profils socio-économiques utilisés par les assureurs ou les recruteurs. En quelques semaines, plusieurs dizaines de bases peuvent cesser de vous profiler. Et cela a un effet tangible : réduction des spams, fin de certaines publicités ultra ciblées, diminution des sollicitations commerciales obscures.

Une approche défensive, mais stratégique

Incogni s’inscrit dans une logique de défense active. Loin d’un gadget « privacy-friendly », c’est un outil pensé pour les individus lucides sur l’économie de la donnée. Celles et ceux qui savent que l’exposition numérique est un levier d’influence — commerciale, sociale, parfois politique — et qui choisissent de refermer les portes une à une.

Le modèle économique est transparent : abonnement mensuel ou annuel en illimité (7,29 € par mois ou 12,99 € par an), avec la possibilité d’annuler à tout moment. Pas de revente de données, pas de pistage parallèle : Surfshark joue ici la carte de la cohérence éthique, renforçant sa position sur le marché des services de protection numérique.

👉 Essayez Incogni pour retirer vos informations personnelles du Web

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