À l'occasion du Web 2.0 Summit, Mark Zuckerberg, PDG de Facebook, a évoqué Apple et son manque d'ambition concernant les réseaux sociaux. Il a notamment évoqué Ping, le réseau social d'iTunes qui avait été présenté avec une intégration à Facebook qui a finalement été supprimée suite à un désaccord entre Facebook et Apple. Steve Jobs avait expliqué que Facebook avait des exigences trop importantes (lire : Jobs s'exprime sur Ping et l'Apple TV), sans doute concernant l'accès aux données personnelles.
Le PDG de Facebook n'a pas vraiment remis en cause cette raison, mais explique qu'Apple doit s'adapter à une nouvelle réalité, celle des réseaux sociaux. Apple doit "prendre le train en marche" puisque, selon Zuckerberg, tout est social désormais. Il est vrai que les deux tentatives d'Apple vers les réseaux sociaux, que ce soit Ping ou le Game Center, n'ont pas vraiment connu le succès escompté. Néanmoins, Apple a réussi à signer un partenariat avec Twitter pour le réseau musical, la preuve que Facebook était effectivement trop gourmand ?
Facebook n'est pas contre le partage de ses informations avec des partenaires tels qu'Apple, ou encore Google pour qui l'accès aux données de Facebook est une priorité. L'entreprise veut cependant connaître précisément l'utilisation des données qu'elle propose, et entend surtout obtenir une contrepartie. Mark Zuckerberg voit son entreprise comme un composant social qui pourrait se greffer à différents services, ce qui rejoint les nouveautés présentées récemment (lire : Facebook : "l'iPad n'est pas une plateforme mobile, c'est un ordinateur").
Le PDG de Facebook n'a pas vraiment remis en cause cette raison, mais explique qu'Apple doit s'adapter à une nouvelle réalité, celle des réseaux sociaux. Apple doit "prendre le train en marche" puisque, selon Zuckerberg, tout est social désormais. Il est vrai que les deux tentatives d'Apple vers les réseaux sociaux, que ce soit Ping ou le Game Center, n'ont pas vraiment connu le succès escompté. Néanmoins, Apple a réussi à signer un partenariat avec Twitter pour le réseau musical, la preuve que Facebook était effectivement trop gourmand ?
Facebook n'est pas contre le partage de ses informations avec des partenaires tels qu'Apple, ou encore Google pour qui l'accès aux données de Facebook est une priorité. L'entreprise veut cependant connaître précisément l'utilisation des données qu'elle propose, et entend surtout obtenir une contrepartie. Mark Zuckerberg voit son entreprise comme un composant social qui pourrait se greffer à différents services, ce qui rejoint les nouveautés présentées récemment (lire : Facebook : "l'iPad n'est pas une plateforme mobile, c'est un ordinateur").