Robert Reich, l'ancien secrétaire du Travail sous le président américain Bill Clinton, s’étonne qu’Apple puisse se retrouver dans le cadre d’une éventuelle enquête antitrust. Pour lui, la Commission fédérale du commerce (FTC) a beaucoup mieux à faire que chercher des poux à Apple. Selon lui, l’agence ferait bien mieux d’enquêter sur les agissements des principales banques américaines.
Une phrase résume assez bien son propos : «Notre avenir dépend bien plus de personnes comme Steve Jobs qui invente de véritables produits qui améliorent nos vies, que de personnes comme Jamie Dimon [PDG de la banque JP Morgan Chase] qui mettent au point des produits financiers qui ne font rien d’autre que menacer notre économie».
D’après lui, Apple est dans son droit le plus strict. Elle peut très bien forcer les développeurs à utiliser ses outils de développement afin de maintenir une qualité optimale. Si le consommateur n’est pas d’accord avec cette politique, il ira voir ailleurs selon lui. Robert Reich rappelle que la part de marché d’Apple au niveau mondial sur le marché des smartphones n’est que de 16 %. Bref, pas de quoi crier au loup.
La situation des grandes banques américaines est autrement plus préoccupante, pour l’homme politique. Elles ont un tel poids dans l’économie américaine, que si l’une d’elles s’effondre, le pays tout entier est menacé. Bref, au lieu de s’interroger sur Apple, il recommande de saucissonner les principales banques américaines qui sont devenues trop grosses.
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