Nous avons pu manipuler hier les nouveaux MacBook et MacBook Pro. Voici les premières remarques.

L'aspect extérieur
Dépecée, la coque aluminium du MacBook fait belle impression. Elle est en effet tout à la fois fine et incroyablement solide. Le résultat final confère aux deux portables une impression de solidité inédite. Sur le MacBook, qui abandonne son polycarbonate, c'est une évidence. Mais le MacBook Pro gagne également en rigidité ; c'est flagrant lorsqu'il est porté à une main, et donc compressé, par le bas. Les deux portables ont bien mérité leur surnom de "brique".
En main, le MacBook n'a pas la lourdeur d'une brique. La différence de poids est perceptible entre l'ancien et le nouveau, à l'avantage de ce dernier. La différence de finesse aussi. Cela tient d'ailleurs moins aux quelques millimètres gagnés qu'à la surface avant bombée. Cette évolution rappelle les changements de design entre l'iPhone Edge et l'iPhone 3G. Pour un habitué de la gamme, l'élargissement du MacBook Pro sera en revanche perceptible. Les fabricants de housse devront revoir leur copie.

L'écran
Les photos ne rendent pas justice aux nouveaux MacBook et MacBook Pro. Le contour noir passe bien mieux dans la réalité, de même que l'écran brillant. Les conditions favorables étaient cependant réunies jeudi, avec une luminosité au maximum sur les ordinateurs et un éclairage contrôlé dans la pièce. L'écran LED du MacBook Pro est, à première vue, d'une qualité sensiblement meilleure que celui du MacBook, notamment par son angle de vision plus important. Un vrai test dans des situations variées s'impose.

Le trackpad
Il faudra quelques temps pour s'y habituer. Mieux vaut en effet cliquer sur la partie basse avec le côté du pouce comme on le faisait sur l'ancien trackpad pour le faire basculer et obtenir un véritable clic. Sinon, on se retrouve à trop forcer et à simuler un clic par le toucher, comme on le faisait sur les anciens trackpad. La surface sur laquelle se repose le poignet est aussi plus rugueuse.
Rien à dire sur les actions à deux et trois doigts qui fonctionnent parfaitement bien, ni sur les réglages complets des préférences systèmes avec lesquels il est possible de configurer chaque zone. L'appel d'Exposé, malgré les quatre doigts concentrés sur le trackpad, est particulièrement plaisant.
À noter que la rotation de la photo (mouvement à deux doigts) manque légèrement de fluidité sur le MacBook. Le MacBook Air, lui, a été étrangement lent lors de la réduction de la fenêtre iTunes vers le dock. À confirmer là aussi.

Le son
Sur le MacBook Pro, le rendu sonore est meilleur, malgré la taille réduite des hauts-parleurs sur les deux côtés du clavier. Le gain des basses est notable.

Bientôt notre test complet
Si la première impression est clairement favorable, il est bien évidemment trop tôt pour formuler une conclusion définitive. Tous les points abordés plus haut, ainsi que les évaluations cruciales des performances, seront développés dans les tests complets que nous vous proposeront prochainement sur MacGeneration.
Sur le même sujet :
MacBook : Apple répond aux questions qui fâchent

L'aspect extérieur
Dépecée, la coque aluminium du MacBook fait belle impression. Elle est en effet tout à la fois fine et incroyablement solide. Le résultat final confère aux deux portables une impression de solidité inédite. Sur le MacBook, qui abandonne son polycarbonate, c'est une évidence. Mais le MacBook Pro gagne également en rigidité ; c'est flagrant lorsqu'il est porté à une main, et donc compressé, par le bas. Les deux portables ont bien mérité leur surnom de "brique".
En main, le MacBook n'a pas la lourdeur d'une brique. La différence de poids est perceptible entre l'ancien et le nouveau, à l'avantage de ce dernier. La différence de finesse aussi. Cela tient d'ailleurs moins aux quelques millimètres gagnés qu'à la surface avant bombée. Cette évolution rappelle les changements de design entre l'iPhone Edge et l'iPhone 3G. Pour un habitué de la gamme, l'élargissement du MacBook Pro sera en revanche perceptible. Les fabricants de housse devront revoir leur copie.

L'écran
Les photos ne rendent pas justice aux nouveaux MacBook et MacBook Pro. Le contour noir passe bien mieux dans la réalité, de même que l'écran brillant. Les conditions favorables étaient cependant réunies jeudi, avec une luminosité au maximum sur les ordinateurs et un éclairage contrôlé dans la pièce. L'écran LED du MacBook Pro est, à première vue, d'une qualité sensiblement meilleure que celui du MacBook, notamment par son angle de vision plus important. Un vrai test dans des situations variées s'impose.

Le trackpad
Il faudra quelques temps pour s'y habituer. Mieux vaut en effet cliquer sur la partie basse avec le côté du pouce comme on le faisait sur l'ancien trackpad pour le faire basculer et obtenir un véritable clic. Sinon, on se retrouve à trop forcer et à simuler un clic par le toucher, comme on le faisait sur les anciens trackpad. La surface sur laquelle se repose le poignet est aussi plus rugueuse.
Rien à dire sur les actions à deux et trois doigts qui fonctionnent parfaitement bien, ni sur les réglages complets des préférences systèmes avec lesquels il est possible de configurer chaque zone. L'appel d'Exposé, malgré les quatre doigts concentrés sur le trackpad, est particulièrement plaisant.
À noter que la rotation de la photo (mouvement à deux doigts) manque légèrement de fluidité sur le MacBook. Le MacBook Air, lui, a été étrangement lent lors de la réduction de la fenêtre iTunes vers le dock. À confirmer là aussi.

Le son
Sur le MacBook Pro, le rendu sonore est meilleur, malgré la taille réduite des hauts-parleurs sur les deux côtés du clavier. Le gain des basses est notable.

Bientôt notre test complet
Si la première impression est clairement favorable, il est bien évidemment trop tôt pour formuler une conclusion définitive. Tous les points abordés plus haut, ainsi que les évaluations cruciales des performances, seront développés dans les tests complets que nous vous proposeront prochainement sur MacGeneration.
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