Depuis quelques mois, c’est l’avis de tempête dans les hautes sphères d’Apple : les grands cadres historiques se ramassent à la pelle, nombre d’entre eux étant partis soit pour vérifier si l’herbe est plus verte ailleurs, soit prendre une retraite bien méritée. Si certains départs s’expliquent par l’âge des personnes, d’autres sont bien plus inquiétants pour l’entreprise... et les quelques têtes restantes réfléchissent pour certaines à leur départ, ce qui annonce d’autres fracas à venir, comme le rapporte Mark Gurman.
Il ne fait pas si beau que ça en ce moment à l’Apple Park... le vent souffle. Image Apple.
La fin d’une ère
La plupart des dirigeants de Cupertino sont, quand ils étaient dignes de rester en poste, tous à peu près de la même époque : la très grande majorité a entre 50 et 65 ans, à quelques exceptions près. Si ceux étant encore plus proche de la fourchette basse se sentent encore d’attaque pour faire bouger l’immense paquebot qu’est devenu Apple, d’autres plus vieux n’en ont plus vraiment la force, ni l’envie. Ces derniers ont donc décidé de prendre leur retraite, suivant l’exemple de Jeff Williams parti cette année, comme Kate Adams ou Luca Maestri.
Si c’était la majorité, alors pas d’inquiétude, ce serait juste un renouvellement générationnel. Mais si on regarde où partent les cadres dirigeants, malheureusement, c’est rarement pour la retraite : Alan Dye est parti chez Meta, Billy Sorrentino (son n°2) aussi, la loooooongue liste de l’intelligence artificielle avec Ruoming Pang, Ke Yang, Jian Zhang et bien d’autres ont quitté le pont pour aller voir si l’herbe est plus verte ailleurs...
D’autres sont partis un peu « aidés » : le premier de cette courte liste est bien entendu John Giannandrea, pour qui l’entreprise avait perdu toute confiance, le mettant dans un placard doré en attendant de trouver le bon moment pour l’éjecter. C’est chose faite, l’annonce de son départ ayant été officialisée, et son remplaçant venant de chez Microsoft dévoilé. Lisa Jackson, de son côté, a la chance d’avoir un départ bien plus doux. Il faut dire que ce n’est pas un manque de compatibilité avec l’entreprise qui lui est reproché, et qu’elle a bien plus de bouteille que l’ex patron de l’IA. Non, pour elle, c’est l’arrivée à la Maison Blanche d’une nouvelle équipe totalement opposée à ses idées qui nécessite son départ.
Le petit groupe des anciens encore chez Apple se réduit donc comme peau de chagrin : Deirdre O’Brien, Craig Federighi, Eddy Que, Johny Srouji et... Tim Cook. C’est tout. Quatre vétérans, plus le CEO. C’est tout. Et si Craig Federighi et Eddy Cue tout va pour le mieux, les deux gagnant même de nouvelles responsabilités, pour les deux autres, c’est une autre histoire.
Tout va bien pour Hair Force One, qui gagne encore en fonctions, récupérant l’IA. Image Apple.
Pour Deirdre O’Brien, si rien n’est annoncé officiellement, les choses s’activent en silence selon Mark Gurman. Ainsi, les équipes se renforcent sous la DRH d’Apple, et des têtes sont élevées afin de préparer sa succession, signe qu’elle ne devrait pas trop tarder à être annoncée. Il faut dire qu’après plus de 35 ans chez Apple, celle qui a toujours été considérée comme une DRH plus près de l’entreprise que de ses employés n’a plus grand chose à prouver : elle n’est certes pas la plus humaine des directrices, mais a su remettre de l’ordre après la période fashion d’Angela Ahrendts, et surtout la catastrophe qu’avait représenté John Browett avant elle.
Johny Srouji, une figure clé probablement sur le départ
Le cas le plus inquiétant reste Johny Srouji : le patron de l’électronique chez Apple, c’est lui. L’ère moderne, avec la création de l’A4, l’intégration de l’équipe de PA Semi, le passage d’Intel aux SoC Mx sur les Mac, et dans sa globalité toute la feuille de route du succès d’Apple dans les puces, c’est lui. Et selon Mark Gurman, il ne fait pas grand mystère de ses envies de départ, non pas pour la retraite, mais pour une autre entreprise.
Son départ, et surtout pour aller à la concurrence, serait terrible pour Apple. Image Apple.
Si tel était le cas, et c’est ce qui semble se profiler, Apple pourrait fortement s’inquiéter : le départ de la tête pensante de toute la stratégie SoC de l’entreprise serait déjà un coup dur, mais le voir partir offrir ses services à un concurrent pourrait être plus terrible encore, tant l’homme est un atout majeur. Preuve en est les tentatives de Tim Cook pour le garder dans le giron de Cupertino : une paie fortement réévaluée, des responsabilités élargies (le poste de Chief Technology Officer lui aurait été proposé) en faisant le n°2 de l’entreprise,... mais rien n’y fait. Johny Srouji semble sur le départ, ne souhaitant pas continuer sous un autre CEO que Tim Cook. Apple va probablement devoir faire sans lui, ou pire, le retrouver face à lui.
Car oui, l’une des dernières clés de ces départs à la chaîne, c’est lui : le CEO d’Apple. Si certains récemment l’ont vu partir dans les six mois à venir, ce qui n’est pas encore dit, d’autres ont remonté une certaine fatigue chez le patron de Cupertino. Il faut dire qu’à 65 ans, dont quasiment 15 ans passés à la tête de l’entreprise, il y a de quoi être épuisé, d’autant que les dernières années n’ont pas été de tout repos.
Si, ou plutôt quand l’actuel boss annoncera son départ, son successeur semble déjà désigné. Certes, certains jouent des coudes ou des relations pour tenter de devenir Calife à la place du Calife, comme Tony Fadell, mais l’idée semble plus improbable qu’autre chose : John Ternus est là, et tient largement la corde pour remplacer Tim Cook à la tête d’Apple. C’est d’autant plus probable qu’Apple ne semble pas être dans l’idée d’aller chercher son futur dirigeant en externe, et que Fadell n’est pas des mieux vus par certains hauts placés.
La fin de la dream-team ?
D’autres ont eu à gérer ces départs à répétition et un changement d’ère après avoir été sur le toit du monde. Avec plus ou moins de succès... Image Ferrari.
Apple semble à un tournant clé de son histoire : entre départs pour la concurrence, pour des raisons d’âge, ou de compatibilité, toute une génération de cadres clés de l’entreprise prend petit à petit ses bagages pour quitter l’entreprise. Si le recrutement de personnes brillantes pour les remplacer ne devrait pas être une trop grosse difficulté étant donné la confortable trésorerie de l’entreprise, reste à leur prouver que les projets à venir sont motivants, et surtout, à reconstruire une ambiance propice à innover, encore et toujours. Le virage n’est pas facile à prendre, et la moindre erreur peut mener à une sortie de piste qui sera difficile à rétablir.
À l’heure où 2025 s’achève, l’équipe de MacGeneration dresse le bilan des produits qui ont marqué son année, qu’ils soient fraîchement sortis ou déjà bien installés. Il y a eu de bonnes surprises, des satisfactions attendues, mais aussi quelques déceptions. Voici nos coups de cœur et nos coups de gueule, de quoi inspirer vos cadeaux de Noël… ou vous éviter quelques achats regrettables.
L'année dernière, j'avais mis DockKit dans mes coups de gueule. Cette année, j'ai changé d'avis. En 2025, j'ai testé le Flow 2 Pro d'Insta360. C'est un stabilisateur DockKit, qui corrige les défauts du modèle de Belkin, et avec le support MagSafe (souvent optionnel, malheureusement), c'est vraiment pratique.
Je ne fais pas ça avec, mais ça montre qu'il est assez souple. Image Insta360.
Je m'en sers souvent pour filmer des plans fixes proprement, mais c'est aussi très efficace pour les conversations FaceTime, quand on aime marcher en parlant ou quand on veut montrer quelque chose. J'utilisais des stabilisateurs depuis quelques années, mais le combo MagSafe et DockKit (plutôt que la pince classique) est vraiment pratique. Et je me surprends réellement à l'utiliser très régulièrement. Si j'aime beaucoup DockKit, du coup, c'est vraiment dommage qu'Apple ne mette pas ça plus en avant.
Pendant des années, j’ai cherché une application pour gérer des partitions. Celles qui m’intéressaient étaient chères et je n’ai jamais osé sauter le pas, jusqu’à ce début d’année où j’ai dépensé 30 € dans forScore. L'application est universelle et chez moi, chaque appareil a son utilité : le Mac aide à importer les partitions dans la bibliothèque et à créer des setlists ; l’iPad sert évidemment à lire les partitions, mais aussi à les annoter pendant les répétitions avec une merveilleuse fonction de calque ; l’iPhone dépanne pour vérifier ou relire un passage rapidement.
forScore
En migrant mes partitions dans cette app (import PDF et scanner intégré), j'ai pu m’alléger de mes protège documents qui alourdissaient mon sac et me faisaient perdre du temps dans mes recherches. Bref, je recommande vivement cette application aux musiciens qui veulent se simplifier la vie et emporter avec eux leurs real books, partitions de concert ou autres.
L’iPhone Air (Greg)
Alors oui, l’idée n’est pas forcément dans l’air du temps quand on voit les ventes de cet iPhone ultra fin. Mais si tous les compromis peuvent refroidir l’utilisateur en général, il est des personnes chez qui ceux-ci ne sont pas si gênants, et j’en fais partie.
Oui, il n’a qu’un objectif, qu’un haut-parleur, mais il est fin, léger, et a un grand écran. C’est tout ce que je lui demande ! Image MacGeneration.
Dans la majorité des tests, les reproches sont les mêmes : l’autonomie, l’unique caméra arrière et le haut-parleur monophonique. L’autonomie ? Je n’ai pas à m’en plaindre, je n’ai jamais été au bout de la batterie. Il faut dire que mon utilisation typique n’en demande pas trop : la plupart du temps, je suis chez moi. Et quand je sors, je suis en voiture et le chargeur sans fil intégré fait l’affaire.
L’appareil photo ? Étant un grand amateur de photo, quand je sais que j’en ai besoin, je sors le DSLR. Certes, le meilleur appareil est celui qu’on a avec soi. Mais au final, si c’est juste pour prendre une photo à l’arraché, l’optique unique de l’iPhone Air me suffit amplement. Reste le haut-parleur monophonique. Si au départ, c’était étrange de n’avoir de son que sur un côté, en usage courant, je ne m’en aperçois même plus. Et quand j’ai besoin d’avoir un meilleur son, je sors au choix les AirPods Pro 2 ou le Focal Bathys.
Au bout du compte, l’iPhone Air a des limitations, mais on s’en fait plus une montagne qu’autre chose. En contrepartie, j’ai un téléphone avec un grand écran, ce qui revêtait la plus haute importance pour moi étant grand consommateur de contenus textuels. Et que dire du poids : quand je reprends un autre iPhone — à part l’iPhone mini de ma compagne —, quelle différence énorme, j’ai l’impression d’avoir une brique entre les mains ! Donc oui, l’iPhone Air est validé, et c’est sûrement le meilleur iPhone que j’ai eu ces dernières années !
J’ai pu tester cet été le casque OpenSwim Pro de Shokz à conduction osseuse et qui a l’avantage de pouvoir aller sous l’eau. Le produit m’a complètement convaincu, au point que c’est la première fois que j’attribue une note de 5 sur 5 dans les colonnes de MacG !
OpenSwim Pro. Image Shokz.
Le casque n’a rien de particulièrement dingue dans son design ou sa fabrication, mais permet d’écouter sa musique sous l’eau. C’est assez magique la première fois et l’effet ne s’est toujours pas estompé chez moi, même après plusieurs baignades. J’ai retrouvé l’effet « waouh » de la découverte des AirPods, ce moment où l’on se dit : « Attends, on peut vraiment écouter de la musique comme ça ? » Il fonctionne également sur la terre ferme, où il est devenu un bon allié pour mes footings. Bref, un achat que je recommande chaudement pour les nageurs amateurs du mois d’août comme pour ceux pratiquant en bassin plusieurs fois par semaine.
Les S3XY Buttons et surtout le Commander de Enhance Auto (Nicolas)
Cela faisait des années que j’étais intrigué par les « S3XY Buttons » et surtout le Commander d’Enhance Auto. Ce boîtier vient se brancher directement sur les circuits de communication des Tesla et il leur ajoute de multiples fonctionnalités, par le biais des boutons ou même en toute autonomie. J’apprécie d’avoir des commandes physiques dans l’habitacle pour diverses tâches qui nécessitent normalement de passer par l’écran, comme un bouton qui (dés)active la ventilation à l’arrière de ma Model 3. La vraie force du produit dans notre cas, c’est toutefois l’Autopilot en continu, qui corrige un des plus gros défauts de la voiture.
Un des boutons S3XY installé dans ma Model 3. Image MacGeneration.
Comme je l’ai détaillé dans le test complet, le Commander réactive automatiquement le maintien de la trajectoire après avoir changé de voie, ce que Tesla refuse de faire par défaut pour vendre son Autopilot amélioré à 3 600 €. S’il n’était pas question de dépenser une telle somme, ce produit vendu environ 260 € est bien plus raisonnable et il fonctionne vraiment bien. Cela fait maintenant près de 12 000 km que nous roulons avec le boîtier en place, nous avons eu l’occasion de le tester dans toutes les configurations et nous n’avons jamais été déçus par l’appareil.
Je crois que cela fait bien 20 ans que je cherche à acquérir un aspirateur robot, mais on m’a toujours découragé à le faire. Ce secteur est actuellement en plein boom avec l’essor de la domotique et de l’intelligence artificielle.
SwitchBot S20
Non seulement le Switchbot S20 passe l’aspirateur à ma place, mais il est capable de laver le sol. Je reviendrai sur les capacités de cet appareil dans un test à venir, mais voilà, je peux dire à Siri de faire le ménage pendant que je continue de travailler.
Le résultat est tout à fait satisfaisant. Avec le recul, je regrette presque de ne pas avoir pris un modèle branché directement au système d’eau dans la maison. Bref, je ne passe plus l’aspirateur, mais je passe désormais mon temps à l’entretenir. Malgré tout, le gain de temps reste largement positif.
L’iPad (Artem)
J’ai longtemps été un détracteur de l’iPad, un appareil dont je n’avais jamais réussi à justifier l’achat, parce qu’il se positionnait pour moi bizarrement entre le Mac et l’iPhone. Mais cette année, quelque chose a changé. J’en ai tellement marre d’utiliser mon Mac dix heures par jour que, quand je veux me détendre sur un appareil avec un grand écran, l’iPad est devenu la solution. Ne me faites pas dire ce que je n’ai pas dit : ce n’est clairement pas l’idéal, et iOS 26 a même empiré les choses à certains égards (le nouveau système de fenêtres est toujours une alternative étrange à Split View et à un Slide Over vraiment multitâche). Mais malgré tout, ça reste un appareil de niche plutôt sympa.
iPad Pro 13 pouces M4. Image MacGeneration.
Je joue avec, notamment à Medieval Total War et au Colin McRae Dirt 2 de la PSP en émulation. Je compte bien relancer Red Dead Redemption, un jeu de mon enfance. L'iPad de 13 pouces est encombrant à transporter, mais étonnamment pratique en voyage, car il fait parfaitement l'affaire comme écran supplémentaire. Alors, malgré mes sentiments mitigés, j'ai décidé de faire de l'iPad mon coup de cœur cette année. Au fait, j’utilise un iPad Pro M4 de 13 pouces avec le Magic Keyboard.
Le DJI Mic Mini (Félix)
De temps à autre me prend l’envie de faire des vidéos. J’ai pendant longtemps utilisé un micro-cravate de Rode qui a fini par prendre la poussière à cause de son long câble contraignant à mettre en place (et à démêler en le sortant du tiroir). Voulant retenter l’expérience avec un modèle sans fil, je me suis tourné un peu au hasard vers le Mic mini de DJI, qui ne coûte pas grand-chose étant donné qu’il est vendu 25 € seul ou 45 € avec un récepteur.
Mic Mini. Image DJI
Je ne m’attendais pas à être particulièrement époustouflé au vu de ce tarif très abordable par rapport à la concurrence (il faut débourser au moins 100 € pour la même chose chez Rode). J’ai été très agréablement surpris : le micro est livré dans une petite pochette de transport avec différentes bonnettes et plusieurs câbles.
Tout fonctionne immédiatement, le son est excellent et l’autonomie très bonne. Il n’y a même pas besoin d’installer l’application de DJI et le micro peut se connecter directement aux différents produits de la marque. Bref, un achat un peu hésitant que je ne regrette absolument pas.
Aqara FP300 et les autres détecteurs de présence sur pile (Nicolas)
La détection de présence a bousculé ma vision de la domotique : ces appareils basés sur un radar ultra-précis au lieu des ondes infrarouges plus grossières permettent de créer des automatisations vraiment fiables et de gérer les lumières réellement en fonction de la présence dans une pièce. Longtemps réservés à des appareils qui consommaient trop pour fonctionner sans fil, 2025 a été l’année de la détection de présence sur piles, ouvrant de nouvelles opportunités.
Le FP300 d’Aqara, première option nativement compatible Matter que j’ai testée dans la catégorie. Image MacGeneration.
Si j’ai pu expérimenter avec la catégorie en début d’année grâce à Home Assistant, le FP300 d’Aqara est le premier modèle d’envergure dans le domaine. Équipé d’une puce qui peut se connecter en Zigbee ou en Thread au choix, c’est un modèle nativement compatible avec Matter et que l’on peut donc exploiter dans l’app Maison d’Apple. Il fonctionne par ailleurs aussi bien que promis et offre plusieurs fonctionnalités annexes, avec son thermomètre ou son capteur de luminosité intégrés.
L’appareil est malheureusement victime de son succès, mais il semble avoir ouvert la voie pour d’autres produits identiques. SwitchBot en a désormais un, même s’il nécessite un hub maison pour Matter, et Meross a suivi le mouvement avec son propre modèle qui se connecte à la domotique grâce à Thread. Tous ces produits reposent sur les mêmes mécanismes et promettent des fonctionnalités proches, mais vous pouvez compter sur de futurs tests pour s’en assurer.
AirPods Pro 3 (Stéphane)
Les AirPods Pro 3 en coup de cœur, ce n’est pas vraiment une surprise, quoique. J’adore mes AirPods Pro 2 — achetés seulement en fin d’année dernière pour remplacer des Pro 1 défaillants — et j’étais bien décidé à les privilégier pendant longtemps. Mais voilà, les derniers écouteurs ont réussi à me surprendre.
AirPods Pro 3. Image MacGeneration.
Le bond en avant n’est pas aussi important qu’entre les deux premières générations, néanmoins les AirPods Pro 3 progressent sur tous les fronts. La réduction de bruit, bien aidée par les nouveaux embouts infusés de mousse, me bluffe tout particulièrement. Même si je n’utilise pas souvent le capteur de fréquence cardiaque, les AirPods Pro 3 ont conquis mon cœur.
Le routeur portable GL.iNet pour simplifier les vacances connectées (Nicolas)
Ma série estivale sur les vacances connectées a beaucoup fait parler d’elle, mais ce que je retiens surtout, c’est bien le routeur portable qui était au cœur de l’expérience. J’avais choisi un peu au hasard le GL-MT3000 de GL.iNet et le choix s’est avéré payant : à plusieurs reprises, il m’a considérablement simplifié l’accès à internet sur un lieu de vacances, en récupérant la connexion fournie sur place et en créant un réseau Wi-Fi identique à celui qui est en place chez nous.
Le routeur en action dans une maison de vacances. Image MacGeneration.
Bien évidemment, c’est utile si vous vous déplacez avec les objets connectés, qui pourront ainsi retrouver leur connexion n’importe où, sans avoir à les connecter à un réseau différent à chaque fois. C’est aussi, et peut-être surtout, pratique pour tous nos iPhone, montres connectées, iPad et autres ordinateurs portables. Grâce au routeur de GL.iNet, tous ces périphériques peuvent se connecter au même Wi-Fi qu’à la maison, sans avoir à saisir des identifiants à rallonge à chaque fois et en bénéficiant de performances souvent bien supérieures à ce qui est proposé sur place. Que j’ai accès à une prise Ethernet, un réseau sans-fil existant ou même tout simplement que je partage la connexion de mon smartphone, le résultat est toujours le même, ce qui est très pratique.
Le système d’exploitation du routeur GL.iNet regorge d’options, bien plus que je l’imaginais au départ. Je n’ai pas encore tout exploité, mais j’aimerais bien configurer un VPN depuis mon réseau local pour renforcer encore l’idée que je peux transporter ma maison connectée n’importe où.
L'Ethernet rapide arrive enfin à un prix correct (Pierre)
Depuis quelques années maintenant, des NAS intègrent des prises Ethernet à 2,5 ou 10 Gb/s (même chez Synology) et les connexions à internet dépassent largement 1 Gb/s. Mais en parallèle, le matériel ne suivait que rarement. Les cartes Ethernet à 10 Gb/s restent assez onéreuses, les adaptateurs Thunderbolt valent facilement plus de 200 €, et même chez Apple c'est uniquement une option sur le Mac mini M4 et ce n'est pas proposé sur l'iMac M4. Mais en 2025, il y a eu deux bonnes nouvelles.
En janvier, je testais un adaptateur Ethernet à 5 Gb/s en USB-C, et j'espérais un prix vers 40 € pour l'arrivée en masse des accessoires sur le marché. Je m'étais trompé : ils sont à 30 € environ. Et fin novembre, j'ai essayé un des premiers adaptateurs USB-C à 10 Gb/s de la même société (Realtek). Dans les deux cas, l'Ethernet à plus de 1 Gb/s se démocratise et c'est une bonne nouvelle. Il y a quelques compromis, mais pour profiter d'un NAS rapide ou d'une connexion à 8 Gb/s, c'est parfaitement suffisant et surtout beaucoup moins cher que le Thunderbolt.
L'adaptateur USB (à gauche) est vraiment plus petit que le (gros) modèle d'OWC, en Thunderbolt. Image MacGeneration.
Très attaché à Spotify depuis ses débuts, je lui fais pourtant régulièrement des infidélités en lançant Apple Music. Pourquoi ? Parce que j’aime (re)découvrir des morceaux en Dolby Atmos. Le rendu varie d’un titre à l’autre, mais cette année, toute la discographie d’Oasis a été convertie à l’audio spatial, alors je ne pouvais pas passer à côté de ça.
Des nouveautés sympas d’Apple Music sur iOS 26 : l’animation sur l’écran verrouillé ainsi que la traduction et la prononciation des paroles. Image MacGeneration.
Bref, Apple Music regorge de fonctions innovantes qui manquent à Spotify. C’est pour cela que je traque les offres spéciales — je ne compte plus le nombre de mois gratuits glanés au fil du temps. Alors pourquoi ne pas basculer totalement vers le service d’Apple ? Parce que Spotify garde des atouts essentiels à mes yeux, notamment ses recommandations et Spotify Connect. Je jongle donc entre les deux, et ce n’est finalement pas si mal.
Quand Apple a sorti le HomePod 2, j’en ai acheté une paire pour m’en servir d’enceintes de home cinema couplées à une Apple TV. Je les ai immédiatement posés sur un meuble et je les contrôle depuis l’Apple TV ou vocalement avec « Dis Siri ». Il y a quatre mois, ces deux HomePod 2 se sont mis à jouer de la musique à tue-tête en pleine nuit. Heureusement, ça n’a réveillé que moi. J’ai compris rapidement que les enceintes avaient relancé la lecture de la playlist arrêtée juste avant d’aller me coucher.
La surface tactile du HomePod 2 qui s’active toute seule. Image iGeneration.
Le panneau tactile que je n’utilise jamais me fait défaut et un de mes HomePod 2 devient donc inutilisable après deux ans et demi. Il y a bien une bidouille à effectuer dans les paramètres d’accessibilité pour atténuer le problème, mais celle-ci n’a fonctionné qu’un temps. Il y a trois semaines, le HomePod s’est rallumé en pleine nuit avec un podcast cette fois.
À l’Apple Store, on m’a indiqué qu’il n’y avait pas assez de retours utilisateur pour qu’Apple mette en place un programme de service synonyme de réparation gratuite. Il me reste trois options : démonter moi-même l’appareil pour débrancher la nappe de la zone tactile ; payer 280 € pour un remplacement chez Apple ; ou payer un réparateur tiers. Si vos HomePod rencontrent le même problème, n’hésitez pas à aller râler en Apple Store. Qui sait, à la fin, Apple finira peut-être par organiser un programme de remplacement.
Logi Options+, l’app qui ruine (presque) les excellentes souris de Logitech (Nicolas)
Je savais que Logi Options+, l’app associée aux produits Logitech, était mauvaise. Mon collègue Félix avait eu l’occasion de la tester et je l’avais entendu parler de son poids de plus en plus élevé et de ses fonctions « intelligentes » très mal pensées. Néanmoins, j’ai eu l’occasion de le vivre directement en testant la récente souris MX Master 4 et j’ai failli être aveuglé par l’app au point d’ignorer les qualités du matériel.
L’app n’a pas l’air si horrible comme ça, n’est-ce pas. Image MacGeneration.
Le poids de l’app est évidemment ridicule : quasiment 500 Mo sont utilisés sur mon Mac pour configurer une souris. Son interface Electron n’est pas forcément moche, même si elle ne respecte pas les canons de macOS et surtout, elle n’est pas toujours intuitive. Ce qui m’a surtout gêné, pour ne pas dire choqué, ce sont les demandes envahissantes au démarrage de l’app, Logitech obligeant à donner accès à tout ce que l’on saisit sur son Mac pour pouvoir lancer Options+. Si cela peut éventuellement être utile pour un clavier (et encore), c’est totalement superflu pour une souris et je ne devrais pas avoir à donner un tel accès.
Pour ne rien arranger, l’app est techniquement mauvaise sur plein de points. Dans mon test de la souris, j’ai détaillé cette automatisation suggérée par Logitech qui lance Notes en activant Spotlight puis en saisissant le nom de l’app dans le champ de recherche ! Le Mac est une excellente plateforme pour automatiser des tâches et le fabricant devrait avoir honte de proposer une telle fonctionnalité. Heureusement que son matériel est bon…
Le même coup de gueule que l'année dernière, mais pour une raison simple : Belkin a rappelé son support, qui était très perfectible, pour des risques d'incendie. Il n'y a pas de remplacement possible (ni de remplaçant) et Belkin rembourse l'appareil en demandant de s'en débarrasser et de ne plus l'utiliser. Un échec tout du long, donc.
Support rotatif DockKit Belkin
La coque GameBaby (Félix)
J’ai eu la bien mauvaise idée de faire un achat impulsif en début d’année et de précommander la coque GameBaby. Sur le papier, le concept est sympa : une coque réversible dont on peut déclipser la partie arrière pour transformer son iPhone en une sorte de GameBoy avec l’émulateur Delta. Malheureusement, le résultat est plus que bancal pour un accessoire ayant de trop nombreux problèmes de conception.
Image MacGeneration
La coque n’est pas très pratique en soi et est assez compliquée à mettre en place. Même quand c’est fait, le produit est difficilement utilisable étant donné qu’il cache une partie de l’interface du téléphone. Pire : de nombreux faux contacts rendent les parties frustrantes et passent l’envie de s’en servir. L’idée de base n’est pas bête et mériterait sans doute d’être intégralement repensée comme accessoire MagSafe, mais en l’état, la coque a fini au fond d’un tiroir en moins d’une semaine.
La disparition des sorties d’enregistrement dans la hi-fi (Greg)
Vous vous dites peut-être « qu’est-ce que ça vient faire sur un site qui parle d’Apple ? » Le lien est pourtant là, et beaucoup plus profond qu’il n’y parait.
Vieux, mais pas obsolète : le DAT aurait de quoi en remontrer aux aficionados du streaming ! Image audiophile.coolblog.jp
Il y a encore quelques années, un ampli hi-fi ne se concevait pas sans une sortie permettant d’y brancher une platine cassette, ou pour les plus modernes d’entre nous, une platine DAT ou CD-R. Mais depuis quelque temps, y compris dans la hi-fi haut de gamme, pouf, disparue ! Le streaming et la dématérialisation sont passés par là, et ils ont fait de gros dégâts pour ceux qui aiment de temps en temps s’enregistrer une bonne mix tape. La majorité du grand public ne s’intéresse plus qu’à la musique en ligne, en ajoutant au mieux une platine vinyle.
Les audiophiles (même si je déteste ce terme) qui ont encore des platines cassette, DAT, MiniDisc ou même DCC pour se retrouvent les dindons de la farce : impossible d’avoir un ampli décent, récent et connecté qui possède la moindre sortie pour y enregistrer ses morceaux favoris. Certes, ça ne concerne pas la majorité des consommateurs, qui ne jurent maintenant que par Spotify ou Apple Music. Mais par pitié, tout comme certains regrettent la fin de la prise jack sur les iPhone, rendez-nous une sortie d’enregistrement, au moins sur un ampli dans votre gamme !
L'USB-C qui est en fait de l’USB-A (Pierre)
Ça fait une dizaine d'années que j'utilise de l'USB-C (avec un MacBook Pro 2017) et cette norme universelle m'énerve sur un point : les prises USB-A. Sur les dizaines d'accessoires que j'ai pu acheter ou tester sur la période et qui sont « USB-C », je peux compter sur les doigts d'une main ceux qui sont arrivés avec un câble USB-C vers USB-C. Dans l'énorme majorité (en dehors peut-être des SSD externes), le constat est assez simple : les appareils possèdent bien une prise USB-C femelle mais sont livrés avec un câble USB-C vers USB-A. Et dans une partie significative des cas (même si heureusement c'est un défaut qui tend à disparaître), il n'est même pas possible de le remplacer par un câble USB-C classique : ça ne fonctionne tout simplement pas sur un chargeur USB-C qui suit correctement la norme USB PD.
Je ne vais pas vous réécrire le dossier USB-C compliqué et je sais que le problème vient du fait que les acheteurs sont sous Windows avec des PC qui n'ont pas toujours plusieurs prises USB-C, mais ce n'est pas vraiment mon problème, en fait. Si l'USB-C est globalement une réussite et qu'il me semble plutôt positif de tenter d'unifier ce sac de nœuds, la mise en place est tout sauf une réussite. Et devoir vérifier sur la fiche technique si je vais avoir le bon câble, ça a tendance à m'énerver… surtout quand je vois que la seule solution est parfois de me tourner vers une version « pour Mac » évidemment vendue plus cher. Et le résultat, c'est que j'ai une boîte à câble qui ne contient presque que des câbles USB-C vers USB-A, et que je dois garder un chargeur USB-A pour quelques accessoires récalcitrants.
Les chargeurs Qi2 ventilés (Stéphane)
J’apprécie la recharge par induction. J’apprécie encore plus la recharge MagSafe/Qi2 pour sa facette magnétique et sa puissance plus élevée. Mais à trop chercher la vitesse, les fabricants ont fini par faire des produits absurdes.
Pour remplumer le plus rapidement possible les derniers iPhone, certains chargeurs Qi2 de 25 W intègrent un ventilateur. Et devinez quoi, un ventilateur ça fait du bruit. Un bruit qui est vraiment insupportable quand l’appareil est posé sur votre table de chevet.
Pas totalement bêtes non plus, les fabricants ont anticipé cette nuisance en permettant de couper la soufflerie. Mais au bout du compte, on se retrouve face à une débauche de technologies et à des prix très élevés pour un résultat qui reste inférieur à un simple câble en matière de puissance. Absurde, vous dis-je.
Les gens qui croient encore à Windows ARM (Pierre)
Au départ, je voulais faire un coup de gueule sur Windows ARM, parce que chaque PC que je teste est décevant. Mais en fait, ce qui m'énerve quand je teste ce genre de PC, ce sont les personnes béatement optimistes sur le futur de cette solution. Dans littéralement tous les tests, quand j'explique que les applications natives sont ridiculement rares, les commentaires (que ce soit à l'écrit ou à l'oral) sont du même type : « oui, mais ça va arriver », avec parfois une remarque du genre « regarde, — nom d'un logiciel — vient d'arriver en version ARM » ou « mon jeu préféré qui a 20 ans tourne en émulation ». Et je ne comprends pas comment on peut arriver à défendre l'absence d'applications natives.
Windows ARM c'est sympa, tant qu'on ne l'utilise pas. Image MacGeneration.
Les premiers PC sous Windows 10 ARM datent de fin 2017, et les applications réellement natives sont encore rares. En dehors des navigateurs, il y a Office… et c'est à peu près tout. Les jeux ? Oubliez. Les applications pour le travail, dès qu'il ne s'agit pas des géants du secteur ? Oubliez. Et même chez les grands éditeurs, il faut parfois se contenter de versions bêta. Pour tout dire, même Microsoft a traîné pendant des années avant de proposer une version native d'Office ou de ses outils de développement. Un comble. Donc, non, ça ne va pas arriver. Nous sommes en 2025, et à chaque sortie d'un processeur Qualcomm, on peut entendre la même rengaine : « cette fois, c'est bon. » Sauf qu'en réalité, non, ce n'est pas bon.
Je peux comprendre que certains détestent le x86 (et soient encore dans cette opposition RISC/CISC particulièrement datée et fausse), mais pas qu'on puisse en être à encore considérer que cette plateforme puisse un jour devenir autre chose qu'un hobby amusant pour Microsoft et Qualcomm. Un hobby qu'on tente de relancer chaque année avant de se rendre compte que littéralement personne n'achète les PC en question. Et ce qui me fait presque sourire, c'est que c'est en partie à cause des imprimantes. Une catégorie de produits que je pourrais mettre dans les coups de gueule chaque année.
Dernier rappel pour les retardataires : si vous voulez vous offrir le magazine des 25 ans de MacGeneration ainsi que notre joli mug, c’est le moment ou jamais. Tout le stock étant désormais arrivé, nous préparerons et expédierons les commandes dès la semaine prochaine. À l’approche des fêtes de fin d’année, cela peut être une très belle idée cadeau.
Malheureusement, les iPhone ne sont pas inclus !
Au-delà de l'objet, le magazine est une véritable plongée dans nos archives que nous vous proposons. S’il célèbre l’histoire de MacGeneration, il retrace également un quart de siècle de la saga Apple. Du lancement de l’iPod en France à l'ouverture des premiers Apple Store, en passant par la révolution iPhone et les grandes transitions du Mac, c'est un voyage dans le temps qui vous attend.
Entre souvenirs, analyses de fond et clins d’œil à l’âge d’or de la presse papier, nous avons voulu créer un objet qui restera. Que vous ayez découvert la Pomme à l'époque de l'Apple II, du premier Mac, ou plus récemment avec l'iPad ou le Vision Pro (pourquoi pas !), ce magazine a été pensé pour vous.
Plusieurs formules sont à votre disposition : vous pouvez acquérir le magazine seul ou opter pour le pack incluant notre mug (ce dernier est également vendu séparément). Notez que si les tarifs affichés incluent les frais de port pour la France métropolitaine, un supplément s’applique pour les expéditions à l’international.
Un conseil : ne tardez pas trop si vous êtes intéressé. Les stocks sont limités et nous clôturerons définitivement les commandes ce dimanche soir ou lundi matin au plus tard.
Toutes les semaines, écoutez Sortie de veille, le podcast hebdomadaire de MacGeneration ! On débat de l'actualité Apple et tech des derniers jours en une quinzaine de minutes.
Coup sur coup, Apple vient de perdre deux de ses cadres les plus importants. John Giannandrea, qui supervisait les technologies d’intelligence artificielle, va prendre sa retraite. Et Alan Dye, le responsable du design logiciel, va rejoindre Meta. Ces départs sont-ils de mauvaises nouvelles ou au contraire une chance pour l’avenir ? On en discute dans cette émission.
Au programme également, la crise sur la mémoire vive, les moyens de lutter contre les appels indésirables sur iPhone et le blocage de FaceTime en Russie.
Pour écouter Sortie de veille, c'est simple :
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Mise à jour 05/12 — Le MacBook Air M4 est de retour à 874 € sur Amazon. Il s’agit de son prix le plus bas constaté sur Amazon, si l’on met de côté certaines offres faites lors du Black Friday. Pour l'obtenir à ce prix, il est peut-être nécessaire d'activer le code coupon. Un très joli cadeau de Noël !
Article original — à seulement 874 € chez Cdiscount dans sa configuration avec 16 Go de RAM et 256 Go de stockage. Pour en profiter, il faudra entrer le code 25DES249 à l’étape du paiement. Il s’agit de la meilleure offre sur ce modèle en cette journée de Black Friday. Le modèle M2 en 16/256 Go est de son côté proposé à 773 € par la plateforme avec le même code.
Image MacGeneration
C’est une excellente affaire : en comparaison, la MacBook Air M4 est affichée à 1 099 € chez Apple. Cela représente donc 225 € d’économisés ! Les nouveaux clients peuvent optimiser en récupérant 10 € de remise supplémentaire avec le code HELLO10. La configuration identique est sinon à 899 € chez Amazon ou à la Fnac, sachant que l’enseigne française ajoute 80 € de bons d’achat pour les adhérents à la carte Fnac+ utilisant le code BLACKFD10. Darty le propose à 884 € avec le code BLACK15via Rakuten.
Si vous voulez du stockage en plus, la version avec 16 Go de RAM et 512 Go de SSD est à 1 099 € chez Boulanger via Rakuten en entrant le code BLACK40 à l’étape du paiement. Il est sinon possible de le trouver à la Fnac pour 1 149 € tout en récupérant au passage 110 € de bon d’achat utilisable sur une prochaine commande avec le code BLACKFD10.
Et pour la version 15" ? Le prix est globalement tombé à 1 189 € chez les revendeurs pour l’entrée de gamme (16/256 Go). On peut cependant économiser 40 € supplémentaires chez Boulanger via Rakuten en entrant le code BLACK40 dans le panier. Cela ramène son tarif à 1 149 €.
Le MacBook Air M4 a l’avantage d’être totalement silencieux tout en offrant une puissance polyvalente suffisante pour les tâches du quotidien comme pour des usages plus avancés. Sa caméra avec Cadre centré et Desk View améliore nettement la qualité des visioconférences. Son aspect léger en fera un bon compagnon pour les étudiants comme pour ceux souhaitant le trimballer d’une pièce à l’autre dans la maison. Pas besoin d’attendre une future révision M5 : elle ne devrait pas arriver avant plusieurs mois et n’apporter qu’un gain limité pour un usage classique.