Le juge a donc demandé à ce que « les employés et agents soient interdits d'activer à distance les webcams intégrées aux ordinateurs portables », décision que le district scolaire de Lower Merion a accepté. Il a aussi ordonné que tous les documents qui pourraient être utilisés dans cette affaire soient conservés. Il semble que cette pratique dépasse le cadre de ce collège, et soit utilisée dans d'autres établissements — reste à voir si cette décision de justice leur donnera l'idée d'eux aussi arrêter ces programmes qui peuvent mener à des dérapages.