Opera 10 : le navigateur touche à tout
Opera 10 est disponible en version finale [10 - 10.6 Mo (Intel) - 16.3 Mo (PowerPC) - Mac OS X 10.4 - US - $]. Pour qui n'aurait pas jeté un oeil aux précédentes bêtas mais garde le souvenir des anciennes versions, la première grande différence tient à l'interface qui se fond mieux dans celle de Mac OS X. Deux thèmes sont proposés avec pour chacun des réglagles sur les nuances de couleurs.
Opera 10 inclut plusieurs nouveautés comme la détection de ses mises à jour, un vérificateur d'orthographe, une pour fonction Turbo pour accélérer la récupération des pages lorsqu'on fait face à une connexion Internet plus lente que la normale (hot spot Wi-Fi, connexion 3G…) ou encore des outils pour des développeurs web. Opera fait aussi plus que naviguer sur le web puisqu'il est doté d'un client mail.
Ce côté touche à tout d'Opera (on trouve même un bloc notes) impose en contre-partie une période de découverte non négligeable lorsqu'on entreprend de faire le tour de ses réglages. Rien que ceux relatifs à l'interface offrent de quoi jouer de longues minutes pour agencer les panneaux entre eux, choisir quelles barres d'outils afficher ou non, tester les différents look.
L'avantage c'est que l'on peut se mitonner une présentation aux oignons grâce à ce navigateur hautement personnalisable. En revanche certaines choses sont rendues inutilements compliquées. Cherchez la fonction d'import des signets de Safari, elle n'y est pas (même Chrome en a une). Par contre on a deux options pour importer ceux de Konqueror et d'Internet Explorer… Pour y remédier il suffit d'exporter ses signets Safari en page HTML et de d'importer ce fichier dans Opera via la commande dévolue à ceux de Netscape (encore un petit jeune) et Firefox. Autre retard, le gestionnaire de mots de passe qui est propre à Opera et ne s'appuie par sur le trousseau de Mac OS X. Il faudra donc les réentrer un par un au fil de votre navigation sur les sites protégés.
Pour la vitesse de rendu des pages, Opera annonce un gain de 40% en vitesse sur la version 9.6. Mais sur le test de performances JavaScript "SunSpider", Opera 10 reste en retrait sur ses principaux concurrents et il ne fait pas semblant (réalisé sur Snow Leopard) :
Safari 4 : 575.8 ms
Chrome 4 : 604 ms
Firefox 3.5.2 : 1297.4 ms
Opera 10 : 5175 ms
Opera 10 inclut plusieurs nouveautés comme la détection de ses mises à jour, un vérificateur d'orthographe, une pour fonction Turbo pour accélérer la récupération des pages lorsqu'on fait face à une connexion Internet plus lente que la normale (hot spot Wi-Fi, connexion 3G…) ou encore des outils pour des développeurs web. Opera fait aussi plus que naviguer sur le web puisqu'il est doté d'un client mail.
Ce côté touche à tout d'Opera (on trouve même un bloc notes) impose en contre-partie une période de découverte non négligeable lorsqu'on entreprend de faire le tour de ses réglages. Rien que ceux relatifs à l'interface offrent de quoi jouer de longues minutes pour agencer les panneaux entre eux, choisir quelles barres d'outils afficher ou non, tester les différents look.
L'avantage c'est que l'on peut se mitonner une présentation aux oignons grâce à ce navigateur hautement personnalisable. En revanche certaines choses sont rendues inutilements compliquées. Cherchez la fonction d'import des signets de Safari, elle n'y est pas (même Chrome en a une). Par contre on a deux options pour importer ceux de Konqueror et d'Internet Explorer… Pour y remédier il suffit d'exporter ses signets Safari en page HTML et de d'importer ce fichier dans Opera via la commande dévolue à ceux de Netscape (encore un petit jeune) et Firefox. Autre retard, le gestionnaire de mots de passe qui est propre à Opera et ne s'appuie par sur le trousseau de Mac OS X. Il faudra donc les réentrer un par un au fil de votre navigation sur les sites protégés.
Pour la vitesse de rendu des pages, Opera annonce un gain de 40% en vitesse sur la version 9.6. Mais sur le test de performances JavaScript "SunSpider", Opera 10 reste en retrait sur ses principaux concurrents et il ne fait pas semblant (réalisé sur Snow Leopard) :
Safari 4 : 575.8 ms
Chrome 4 : 604 ms
Firefox 3.5.2 : 1297.4 ms
Opera 10 : 5175 ms