Si le PowerPC 970 fait figure de favori pour équiper la prochaine génération de Power Macintosh, il n'est pas exclu pour autant que Motorola et Apple continuent de travailler ensemble à l'avenir. Si les relations, vieilles de 20 ans, entre les deux sociétés semblent connaître des temps difficiles, Steve Jobs ayant exprimé à demi-mot sa rancoeur récemment, Motorola semble croire au futur de ses solutions.
Le fabricant de semi-conducteurs a annoncé hier avoir réussi à intégrer le Low-K dielectric, une technique d'isolation des composants avec sa technologie SOI, qui accélère le transfert des charges électriques des transistors, sur des puces gravées en 0,18 micron. Ce nouveau procédé de fabrication apporte un gain de performance de l'ordre de 20 % sur les PowerPC. Motorola espère parvenir à établir ce procédé sur des puces en 0,13 micron ce mois. Le MPC7457, nouvelle puce en développement de la famille G4 chez le partenaire d'Apple, pourrait bénéficier de ces améliorations. Le but de Motorola est de concevoir des PowerPC fonctionnant à plus de 2 GHz et consommant peu d'énergie (moins de 20 Watts). En sacrifiant ce dernier critère, Dirk Wristers a déclaré que le PowerPC pourrait monter plus rapidement en cadence, mais cette option ne semble pas séduire les ingénieurs du fabricant de semi-conducteurs. Enfin, le responsable de Motorola s'est fixé comme but de doubler la fréquence des PowerPC tous les dix-huit mois.
Alors, que va faire Apple avec toutes ces options ? Va-t-elle "switcher" totalement vers IBM ou rester fidèle à Motorola ? La logique voudrait qu'Apple fasse jouer la concurrence, emploie les puces de Motorola pour les portables et les iMac et celles d'IBM pour les Power Macintosh et les Xserve. Néanmoins, une transition totale vers les solutions IBM apparaît également crédible. Certaines rumeurs indiquent que Big Blue serait en train de concevoir un G3 survitaminé avec la gestion de l'Altivec et le PowerPC 970 coûterait à l'achat nettement moins cher qu'un G4, un argument de taille à l'heure où Apple propose des machines à des prix de plus en plus serrés (même si le processeur n'est pas le composant le plus cher dans un ordinateur). Néanmoins, et Apple le sait bien, il y a des risques non négligeables à confier son avenir à un seul fabricant...
Le fabricant de semi-conducteurs a annoncé hier avoir réussi à intégrer le Low-K dielectric, une technique d'isolation des composants avec sa technologie SOI, qui accélère le transfert des charges électriques des transistors, sur des puces gravées en 0,18 micron. Ce nouveau procédé de fabrication apporte un gain de performance de l'ordre de 20 % sur les PowerPC. Motorola espère parvenir à établir ce procédé sur des puces en 0,13 micron ce mois. Le MPC7457, nouvelle puce en développement de la famille G4 chez le partenaire d'Apple, pourrait bénéficier de ces améliorations. Le but de Motorola est de concevoir des PowerPC fonctionnant à plus de 2 GHz et consommant peu d'énergie (moins de 20 Watts). En sacrifiant ce dernier critère, Dirk Wristers a déclaré que le PowerPC pourrait monter plus rapidement en cadence, mais cette option ne semble pas séduire les ingénieurs du fabricant de semi-conducteurs. Enfin, le responsable de Motorola s'est fixé comme but de doubler la fréquence des PowerPC tous les dix-huit mois.
Alors, que va faire Apple avec toutes ces options ? Va-t-elle "switcher" totalement vers IBM ou rester fidèle à Motorola ? La logique voudrait qu'Apple fasse jouer la concurrence, emploie les puces de Motorola pour les portables et les iMac et celles d'IBM pour les Power Macintosh et les Xserve. Néanmoins, une transition totale vers les solutions IBM apparaît également crédible. Certaines rumeurs indiquent que Big Blue serait en train de concevoir un G3 survitaminé avec la gestion de l'Altivec et le PowerPC 970 coûterait à l'achat nettement moins cher qu'un G4, un argument de taille à l'heure où Apple propose des machines à des prix de plus en plus serrés (même si le processeur n'est pas le composant le plus cher dans un ordinateur). Néanmoins, et Apple le sait bien, il y a des risques non négligeables à confier son avenir à un seul fabricant...












