Le lecteur vidéo HTML5 SublimeVideo possède désormais un mode Flash, qui lui permettra d'afficher soit un lecteur HTML5, soit un lecteur Flash, selon le navigateur visitant la page où il est utilisé.
Ainsi, ce sera la version HTML5 qui sera servie à Safari (4.0.4+), Chrome (4.0+) ou Firefox (3.6+). Ceux qui utilisent Internet Explorer, par exemple, se verront offrir la vidéo en Flash, tout comme ceux qui utilisent Firefox ou Opera si la vidéo n'est pas encodée en Ogg-Theora, mais en MPEG-4. Sur iPhone ou iPad, c'est la version HTML5 qui apparaîtra.

L'interface est exactement la même entre les deux versions, la version Flash pouvant être testée sur cette page où elle est forcée. Les puristes pourront désactiver ce mécanisme pour ne proposer que le lecteur HTML5. Et si l'on n’est pas puriste, côté serveur, on pourra se contenter d'un seul format, le H.264, qui sera lu nativement notamment par Safari ou Chrome, et lu à travers le player Flash sur les autres navigateurs. Enfin, SublimeVideo ne fait désormais plus appel à des librairies JavaScript externes.
Ce procédé de fall back, mais dans le sens inverse de ce que l'on a l'habitude de voir, permet donc à SublimeVideo d'être un peu plus universel, et permettra aux fournisseurs de contenu d'offrir leurs contenus sur toutes les plateformes, en utilisant le HTML5 comme point de départ plutôt que Flash. Ne reste donc plus à SublimeVideo qu'à sortir de sa phase de développement.
Ainsi, ce sera la version HTML5 qui sera servie à Safari (4.0.4+), Chrome (4.0+) ou Firefox (3.6+). Ceux qui utilisent Internet Explorer, par exemple, se verront offrir la vidéo en Flash, tout comme ceux qui utilisent Firefox ou Opera si la vidéo n'est pas encodée en Ogg-Theora, mais en MPEG-4. Sur iPhone ou iPad, c'est la version HTML5 qui apparaîtra.

L'interface est exactement la même entre les deux versions, la version Flash pouvant être testée sur cette page où elle est forcée. Les puristes pourront désactiver ce mécanisme pour ne proposer que le lecteur HTML5. Et si l'on n’est pas puriste, côté serveur, on pourra se contenter d'un seul format, le H.264, qui sera lu nativement notamment par Safari ou Chrome, et lu à travers le player Flash sur les autres navigateurs. Enfin, SublimeVideo ne fait désormais plus appel à des librairies JavaScript externes.
Ce procédé de fall back, mais dans le sens inverse de ce que l'on a l'habitude de voir, permet donc à SublimeVideo d'être un peu plus universel, et permettra aux fournisseurs de contenu d'offrir leurs contenus sur toutes les plateformes, en utilisant le HTML5 comme point de départ plutôt que Flash. Ne reste donc plus à SublimeVideo qu'à sortir de sa phase de développement.