D'abord l'érosion régulière d'Internet Explorer qui a connu un pic à 45,5% en février et la tout aussi régulière progression de Chrome. Moins que Firefox, c'est en fait Google qui participe à faire plier Microsoft, car la part de Firefox n'a pas connu de telles variations, elle a même baissé comparé à janvier 2010.
Cette présence de plus en plus importante de Chrome s'observe aussi au niveau mondial. Les valeurs sont différentes (Internet Explorer domine encore nettement Firefox), mais les courbes suivent la même direction. Un constat déjà dressé avec les statistiques de Net Applications du début janvier (lire iOS et Chrome : les grands vainqueurs de 2010). Là aussi Chrome suivait une courbe ascendante que rien ne semblait pouvoir freiner pour le moment.