On aurait bien du mal à décrire l’Eigenharp Alpha, cet instrument de musique ressemblant à un manche de guitare de 120 cases bardées de capteurs électroniques surmonté d’une embouchure. Chaque côté de ce manche est une énorme touche, affectant d’un côté la hauteur de note, et de l’autre le volume. Enfin, une sorte de clavier regroupe 12 pads de percussions.
Cet instrument étrange est d’abord conçu pour les musiciens électroniques, qui vont pouvoir retrouver les sonorités d’une guitare, d’une basse, d’un clavier ou d’un saxophone dans un instrument un poil plus visuel qu’un synthé, l’appareil étant perçu comme un instrument de concert, afin de mettre les musiciens sur le devant de la scène et non plus derrière leur mur de claviers. Il s’agit aussi de leur donner l’occasion d’avoir un instrument leur permettant de mieux s’exprimer, grâce à des touches extrêmement sensibles (détection de position des doigts à l’échelle du micron).
L’Eigenharp Alpha, fruit de huit ans de développement, est en fait une interface à des boucles Audio Units (ou des instruments MIDI), et le logiciel dédié à leur gestion est pour le moment uniquement disponible sur Mac. Ses développeurs expliquent : « nous avons développé le logiciel sur un Mac, en partie parce que la plateforme est meilleure pour la création de musique et son support des Audio Units, mais aussi, soyons honnêtes, parce que tout le monde utilise des Mac dans le monde de la création musicale professionnelle ». Le logiciel sera néanmoins porté sur Windows prochainement, et son code sera même rendu open-source afin de le rendre pérenne.
Car l’Eigenharp est tout de même un instrument qui coûte plus de 4.300 €, et qui dépend de sa base logicielle pour la programmation de ses sons. L’Eigenharp peut jouer et enregistrer des boucles, changer de clef et transposer à la volée, programmer des rythmes, et bien plus encore. Un modèle plus abordable, l’Eigenharp Pico, est proposé à 379€. On y retrouvera le même système de touches sensibles, cette fois limitées à 18, dans un format plus compact. A la vue des vidéos de démonstration, on ne peut qu’être enchanté des possibilités de cet instrument présenté par Eigenlabs comme « l’instrument le plus révolutionnaire des 60 dernières années ».
Cet instrument étrange est d’abord conçu pour les musiciens électroniques, qui vont pouvoir retrouver les sonorités d’une guitare, d’une basse, d’un clavier ou d’un saxophone dans un instrument un poil plus visuel qu’un synthé, l’appareil étant perçu comme un instrument de concert, afin de mettre les musiciens sur le devant de la scène et non plus derrière leur mur de claviers. Il s’agit aussi de leur donner l’occasion d’avoir un instrument leur permettant de mieux s’exprimer, grâce à des touches extrêmement sensibles (détection de position des doigts à l’échelle du micron).
L’Eigenharp Alpha, fruit de huit ans de développement, est en fait une interface à des boucles Audio Units (ou des instruments MIDI), et le logiciel dédié à leur gestion est pour le moment uniquement disponible sur Mac. Ses développeurs expliquent : « nous avons développé le logiciel sur un Mac, en partie parce que la plateforme est meilleure pour la création de musique et son support des Audio Units, mais aussi, soyons honnêtes, parce que tout le monde utilise des Mac dans le monde de la création musicale professionnelle ». Le logiciel sera néanmoins porté sur Windows prochainement, et son code sera même rendu open-source afin de le rendre pérenne.
Car l’Eigenharp est tout de même un instrument qui coûte plus de 4.300 €, et qui dépend de sa base logicielle pour la programmation de ses sons. L’Eigenharp peut jouer et enregistrer des boucles, changer de clef et transposer à la volée, programmer des rythmes, et bien plus encore. Un modèle plus abordable, l’Eigenharp Pico, est proposé à 379€. On y retrouvera le même système de touches sensibles, cette fois limitées à 18, dans un format plus compact. A la vue des vidéos de démonstration, on ne peut qu’être enchanté des possibilités de cet instrument présenté par Eigenlabs comme « l’instrument le plus révolutionnaire des 60 dernières années ».
