Un achat de shareware en vue ? Stoppez tout

Florian Innocente |
MacUpdate le site de téléchargement prépare un nouveau bundle de shareware (MUPromo), son contenu devrait être connu dans la semaine. Mais on peut s'inscrire sur le site pour être tenu au courant automatiquement. Une opération qui donne droit à une version gratuite d'AirRadar, un utilitaire de détection et d'information sur les bornes Wi-Fi.

Le précédent bundle de MacUpdate date de Noël dernier, on y trouvait une sélection de 10 petits et grands shareware (et même une application commerciale) pour 49,99$.

MacUpdatepromo
MUPromo : Noël 2008

avatar Florian Innocente | 
La ligne est fine et les deux se mélangent. Disons par exemple qu'une appli commerciale marche ou ne marche plus (passée la démo) alors qu'un shareware payant pourra continuer de fonctionner passé la démo mais en mode limité (certaines fonctions désactivées) ou avec un rappel de paiement (ex : graphic converter) C'est un exemple. On peut en trouver d'autres, comme le fait qu'une application "commerciale" peut être vendue et en boite en magasin et sur Internet alors que pour le shareware c'est à 99% sur Internet (il y a de rares exceptions).
avatar jerome74 | 
Quand le mode "limité" empêche d'utiliser l'application pour un usage réel (c'est pratiquement toujours le cas, sauf exception comme Graphic Converter en effet, du moins à l'époque ou je l'avais acheté…), l'appellation shareware me parait abusive.
avatar DVP | 
Un shareware continue de marcher même si on ne paye pas (avec peut etre une boite de dialogue incitative au lancement) Un soft qui apres X lancements ou X jours d'utilisation ne marche pas si on ne l'a pas payé, c'est pas un shareware, c'est une application commerciale (meme si ils se font parfois appeler shareware) Sinon on peut aussi considerer qu'office (dont une version limitée est (etait ?) fournie avec les mac neufs) est un shareware.
avatar marc_os | 
La distinction sharewere /appli commerciale se fait aussi souvent par rapport à l'auteur du logiciel : Les shareware sont en général écrits par des personnes individuelles, les applis commerciales par des entreprises en bon et due forme. Ce qui n'a jamais été bien clair pour moi, c'est comment un individu déclare les revenus provenant de la vente de ses shareweres, s'il est par ailleurs salarié...
avatar Anonyme (non vérifié) | 
Pourquoi certaines personnes se sentent obligées d'inventer des définitions (fausses) sur des termes techniques clairement définis... Les sharewares sont des applications commerciales, mais toutes les applications commerciales ne sont pas des sharewares. Une application commerciale disponible en version de démonstration, limitée ou non, nécessitant l'achat d'une license pour un usage complet est un shareware. Certaines applications commerciales ne disposent pas de version d'essai, et nécessitent un achat direct pour les utiliser. Celles-ci ne sont pas des sharewares. Donc aucun rapport avec la durée d'utilisation, la présence de nag screens, ou les limitations présentes.
avatar marc_os | 
@[b]DarKo[/b] Pourquoi dire "Pourquoi certaines personnes se sentent obligées [b]d'inventer des définitions (fausses)[/b] sur des termes techniques clairement définis..." Tout le monde à plus ou moins raison ici : Ta définiction correspond à celle de [url=http://en.wikipedia.org/wiki/Shareware]Widkipdia en anglais[/url]. Les autres ne sont pas contradictoires, surtout si on regarde la [url=http://fr.wikipedia.org/wiki/Logiciel_propri%C3%A9taire]définition française dans Wikipedia[/url] qui n'est pas super précise !
avatar Anonyme (non vérifié) | 
Aux dernières nouvelles, Wikipedia n'a jamais été le détenteur de la vérité universelle qui permettrait de trancher durant tout débat d'opinions. De plus, pour ta gouverne, le lien que tu proposes dirige vers l'article [b]Logiciel propriétaire[/b], ce qui n'a absolument rien à voir avec la notion de shareware. L'article français est celui correspondant à la notion de [b]Partagiciel[/b]. Les encyclopédies participatives, c'est bien, encore faut-il savoir s'en servir.
avatar revol | 
@DVP : Ce que tu racontes est faux. Un shareware n'a absolument pas vocation à rester fonctionnel. Le principe du shareware, c'est la libre distribution, rien à voir avec le fait qu'il soit commercial. Un shareware est distibuable librement sous sa forme non enregistrée, alors qu'un produit commercial non shareware n'est téléchargeable (s'il est disponible via ce biais) que sur le site de l'éditeur (sauf autorisation expresse).
avatar revol | 
@marc_os: Tu te trompes, ce n'est pas parce que les sharewares sont souvent issus de petites structures, souvent unilatérales, qu'il n'y a pas une structure légale derrière. Il est INTERDIT de vendre quoi que ce soit, qu'on soit tout seul ou à 10, sans être déclaré. N'importe quel auteur de shareware français est immatriculé, soit en Libéral, Commerçant, SARL, EURL... Vendre sans être immatriculé, c'est frauder, ni plus ni moins. Et ça n'a strictement aucun rapport avec le fait d'être salarié, sauf si ton contrat de salarié t'interdit d'exercer une autre activité (plutôt rare). Le statut d'auto entrepreneur a justement été inventé pour réduire la paperasse et les paiement forfaitaires de charges qui poussent les auteurs à faible ventes à frauder.
avatar Philactere | 
revol National-centrisme, quant tu nous tiens...
avatar marc_os | 
@DarKo (Sarko ?) Plutôt que de jouer au donneur de leçons et prendre les gens de haut, ne pourrais-tu pas citer tes sources ? @revol (Donneur de leçons n°2) Si avant de t'énerver tu avais lu entièrement ce que j'ai écrit, tu aurais pu lire ceci : « Les shareware sont en général écrits par des personnes individuelles, les applis commerciales par des entreprises en bon et due forme. » Que je sache, cela ne veut pas dire : " il n'y a pas de structure légale derrière" Et la suite : « Ce qui n'a jamais été bien clair pour moi, c'est comment un individu déclare les revenus provenant de la vente de ses shareweres, s'il est par ailleurs salarié » ne veut pas dire cela non plus. => Ta réponse est hors sujet.
avatar Anonyme (non vérifié) | 
Non. Démerde toi gros malin. Crois ce qui te plais le plus, je m'en balance un peu finalement. Ton encyclopédie en ligne préférée pourrait te servir de sources, mais commence par apprendre à mieux t'en servir auparavant. Ah au fait, très bon jeu de mot, je pense que t'as la fibre du rire en toi.
avatar marc_os | 
SarKo, tu pourrais commencer par apprendre un peu d'humilité. Ça te permettrait d'ouvrir les yeux et entre autres de comprendre ce que les gens écrivent.
avatar marc_os | 
SarKo, j'imagine que tu n'utilises absolument aucun freeware ou logiciel open-source. Car si c'était le cas, ça voudrait dire que ton sens du partage serait à sens unique : prendre, sans partager soi-même.
avatar zazthemac | 
Alors pour rester dans le sujet : Les bundle de macupdate sont de toutes manières des affaires. J'ai acheté les 2 derniers même si je n'avais pas besoin de tous. Cela m'a permis d'avoir 3 à 4 logiciels pour le prix d'un. Alors qu'ils soit shareware ou commerciaux je m'en fiche, au moins ils ne sont pas piratés et j'ai un peu contribué à aidé les développeurs (petits ou grands) qui nous fournissent les softs dont on a besoin. @ Jérome74 : ta question était pertinente et aurais pu nous éclairer mais des malotrus malpolis s'insultent en pensant tout savoir mieux que tout le monde, il faudrait un peu penser à relire la charte de bonne conduite ou demander à vos parents de vous rééduquer et vous réapprendre le respect et l'esprit de communauté. Enfin on ne saura jamais la différence entre un shareware et un logiciel commercial : Bouh sniff
avatar divoli | 
[quote]Enfin on ne saura jamais la différence entre un shareware et un logiciel commercial : Bouh sniff [/quote] Parce que sur le fond on s'en fout un peu, comme tu l'as d'ailleurs dit toi-même... :p
avatar properso | 
pour mieux comprendre les différences entre shareware, freeware et autres... http://www.april.org/fr/quelle-est-la-difference-entre-logiciel-libre-freeware-shareware-charityware-logiciel-domaine-public ne vous disputez pas pour ça, il faut relativiser, on en a rien à cirer du nom, l'important est le contenu... :-)
avatar marc_os | 
Il existe aussi des "donationWare" : On fait un don à l'auteur si on aime. (Et bien sûr j'irai me renseigner directement auprès des impôts si je veux savoir si ce genre de don est imposable, et comment, car je n'imagine pas que les donneurs de leçons partagent leur savoir ici!) Ceci dit, merci à Macgé pour l'info ! J'ai raté la dernière opportunité, mais ce coup-ci je ferais attention.
avatar BeePotato | 
@ DarKo : « Pourquoi certaines personnes se sentent obligées d'inventer des définitions (fausses) sur des termes techniques clairement définis... » Sans doute parce que dans ce cas précis, on est loin, très loin, d'un terme « clairement défini ». Ça fait une éternité qu'il y a des débats à ce sujet, parce que les frontières de cette catégorie de logiciels sont évidemment assez floues. En revanche, je me demande pourquoi tu t'es senti obligé de te lancer dans cette pratique (donner ta définition) juste après l'avoir dénoncée. :-P D'autant que, comme l'a fait remarquer properso, la définition du terme « shareware » n'est pas le plus important.
avatar Atlante | 
J'ai arrêté ces achats en bundle, je ne pense pas forcément à les graver et je me retrouve souvent embêté quand je passe sur un nouveau Mac. C'est assez difficile de se souvenir du nom de tout les partagiciels inutile qu'on a tous acheté. SI c'est payant et sans version physique, je ne vais jamais plus loin que le trial sauf poour des appli exceptionnelles comme Hazel. Et Darko, merci pour ta contribution dans cette zone d'échange, si tu décides de ne plus revenir on comprendra et on te gardera en mémoire comme le mec qui est venu passé ses nerfs sur ce site un mardi midi :)
avatar Erravid | 
+1 pour la définition de DarKo Les applications commerciales sans aucune version d'essai existent (en MAO, Cubase par exemple), et ça évite normalement les cracks (à quelques exceptions près). Dans ce cas, ils ne partagent pas leur programme, car il n'est pas librement téléchargeable sur leur site, et ça ne s'appelle pas un «shareware». Toujours en MAO, Reaper est un shareware puisqu'on peut le télécharger sur leur site et à plusieurs autres endroits, et ensuite l'utiliser, l'envoyer à ses amis, l'installer à qui on veut… pour légalement 30 jours. MacUpdate utilise sinon les termes de shareware / demo, en plus des autres commercial / free / opensource. Ça nuance le fait qu'il y ait des fonctions limitées (shareware en demo) ou qu'il soit pleinement fonctionnel (shareware simple). Voilà ce que je dirais, en essayant de faire un peu la synthèse !
avatar jerome74 | 
Quelle différence faites-vous entre "shareware" et "application commerciale"? Il me semble que la plupart des "sharewares" ne sont ni plus ni moins que des applications commerciales avec une période de démo, au delà de laquelle le logiciel ne peut plus être utilisé (comme c'est le cas avec la plupart des applications haut de gamme).

CONNEXION UTILISATEUR