Google a officiellement mis à disposition la seconde version de son navigateur Web Chrome. Il ne concerne encore que le monde Windows, mais sa souche open source Chromium évolue en parallèle en version bêta (voir l'article Visite de Google Chromium pour Mac OS X). Et puisqu'il est construit sur la même base, l'une des nouveautés mises en avant dans Chrome 2 Windows est ainsi présente également dans Chromium pour Mac OS X.
Celle de pouvoir retirer de la page d'accueil (l'équivalent du Top Sites de Safari 4) certains sites que l'on visite régulièrement, mais qu'on ne souhaite pas mettre sous les yeux de tout le monde. D'un clic on peut les ôter de cette page de sites favoris. Une fonction de restauration les réaffiche aussitôt lorsque le terrain est dégagé…
Chrome 2 inaugure aussi un mode d'affichage plein écran (présent dans Chromium Mac mais inactif) et une fonction (devenue classique chez les autres) de remplissage automatique des formulaires. Le navigateur est aussi annoncé comme plus stable et plus rapide avec une version plus récente de WebKit (le moteur de rendu de pages développé en open source par Apple) et par une accélération du moteur JavaScript créé par Google : V8. Google précise enfin que sa numéroration n'est pas à prendre au pied de la lettre (les nouveautés de cette 2.0 ne sont pas non plus sensationnelles) mais qu'il s'agit d'un simple jalon.
Celle de pouvoir retirer de la page d'accueil (l'équivalent du Top Sites de Safari 4) certains sites que l'on visite régulièrement, mais qu'on ne souhaite pas mettre sous les yeux de tout le monde. D'un clic on peut les ôter de cette page de sites favoris. Une fonction de restauration les réaffiche aussitôt lorsque le terrain est dégagé…
Chrome 2 inaugure aussi un mode d'affichage plein écran (présent dans Chromium Mac mais inactif) et une fonction (devenue classique chez les autres) de remplissage automatique des formulaires. Le navigateur est aussi annoncé comme plus stable et plus rapide avec une version plus récente de WebKit (le moteur de rendu de pages développé en open source par Apple) et par une accélération du moteur JavaScript créé par Google : V8. Google précise enfin que sa numéroration n'est pas à prendre au pied de la lettre (les nouveautés de cette 2.0 ne sont pas non plus sensationnelles) mais qu'il s'agit d'un simple jalon.
