Pour lui, l'énormité du marché de la téléphonie mobile et les caractéristiques techniques de l'iPhone (l'appareil embarquerait 128 Mo de RAM et un processeur cadencé à 400 ou 600 MHz) rendent possibles aujourd'hui, et demain plus encore, un usage relativement confortable d'un navigateur Web sur ces plateformes de poche. Et pour les sceptiques, il les enjoint de considérer ce qu'a réalisé Apple avec Safari. La fondation Mozilla va donc affecter des ressources humaines supplémentaires à ces développements spécifiques de Firefox. Ces derniers devraient se concrétiser courant 2008.